J'irai apporter la contradiction à nos détracteurs. C'est ça aussi la démocratie. #Entresoi #onpeutdiscuter #parlonsen @BHL pic.twitter.com/7TCqfWnTQt
— Frédéric Chatillon (@fredchatillon) 15 avril 2017
Ça pour une liste c’est une liste [1] ! On y retrouve les plus beaux spécimens de la gauche caviar antiraciste, féministe, homosexualiste et sioniste qui accaparent la parole publique depuis trois décennies.
Car il faut vous dire, et surtout aux lecteurs qui n’étaient pas nés en 1981, que dans les années 70, la télévision française était encore française. Elle se permettait d’inviter ceux qu’aujourd’hui nos flics de la pensée appelle des malpensants ou des « fachos ». Sauf que c’était justement ces gens-là qui avaient du talent, de la faconde, et un jugement bien tranché sur les choses.
Aujourd’hui, le débat est phagocyté par les éléments d’une même famille de pensée, dont on a rappelé en début d’article les principes intangibles. Des principes qui mènent la France au désastre et à la ruine, et c’est bien ça le projet : détruire le french way of life, pardon pour cet anglicisme, détruire les fondements de la civilisation chrétienne, histoire d’imposer le règne de l’individu calculable synonyme de mort du collectif, ce collectif qui peut justement s’opposer à l’oligarchie.
En voyant ces noms sur cette affiche très agit-prop, où un extincteur démocratique éteint l’incendie national (on cherche le drapeau israélien mais on ne le trouve pas, il doit sûrement être caché quelque part), on a envie de trouver les liens souterrains qui unissent ces représentants de la propagandasphère. Tout y est : Arrabal pour le faux anarchisme, Benamou pour le journalisme orienté, Cambadélis pour le trotskisme destructeur de la gauche sociale, Canto-Sperber pour la deuxième gauche (qui justifie les guerres « justes »), Filippetti pour le socialisme people, Fichelstein pour le libéralisme « social », Fourest pour le féminisme homosexuel, NKM pour le mondialisme heureux, BHL pour un peu tout ça, Miller pour le culturo-mondain, son frère pour la psychanalyse de gauche, Prasquier pour le sionisme, Sifaoui pour l’islamophobie, Sopo pour le communautarisme, et Szafran pour le journalisme de propagande.
Ce faisant, ils se coupent encore plus du peuple qu’ils s’imaginent éduquer...
Une sacrée brochette antifrançaise ! Une sacrée brochette de rageux contre la France et les Français. Et ils veulent nous faire croire qu’ils sont les représentants de la Tolérance, de la démocratie, de l’Humanisme et des Droits de l’Homme, eux qui travaillent pour l’oligarchie et qui sont grassement rémunérés pour cela, en subventions généreuses payées par nos soins, ou plutôt contre nos soins, de bons petits antifrançais qui prêchent la haine de la France à nos chères têtes blondes et brunes, par l’école, les médias et toute la production culturelle possible.
Le problème, c’est que leurs « enfants » leurs crachent à la figure et ne les reconnaissent pas, ni comme intellectuels ni comme guides de la Pensée. Alors ces gens-là tentent-ils, dans un sursaut désespéré, d’opposer les enfants de SOS Racisme aux Français qui étaient auparavant la cible de SOS Racisme...
Le problème, dans un conflit triangulé qui foire, c’est que la pointe peut se retrouver broyée par les côtés.
C’est seulement par le travail d’information et l’augmentation de la conscience que la France pourra se débarrasser de ces parasites qui altèrent son jugement, le jugement que la France porte sur elle-même et sur eux.