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Laurent Guyénot – Rome et Jérusalem : l’inextricable nœud civilisationnel

E&R Midi-Pyrénées recevait Laurent Guyénot à Toulouse le samedi 1er juin 2024 pour une conférence intitulée « Rome et Jérusalem : l’inextricable nœud civilisationnel ».

 

 

La partie questions/réponses (plus de quarante minutes d’échange avec le public) est disponible pour les abonnés au financement associatif de la Rédaction, ainsi qu’à ceux d’Alain Soral, à partir de 20 €/mois

 

La chaude actualité de Laurent Guyénot

 






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27 Commentaires

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  • Au top !

    Ça me fait penser à un bouquin de Nietzsche...

     

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  • Oui, M. Guyénot, la seule et unique solution pour éradiquer ce qui doit l’être et les mensonges qui vont avec, est une alliance Islamo-Chrétienne. Une alliance qui doit passer en priorité par le Shiisme, courant musulman qui a été le moins corrompu par le matérialisme occidental et le plus proche des fondamentaux Chrétiens authentiques.
    Il faut se mettre au travail dès aujourd’hui et près à y contribuer...

     

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  • Jérusalem s’appelait Ur-Salem aux origines, fondée par les Jebuséens Cananéens bien avant Abraham et donc avant l’existence de la race juive, puisque les juifs n’existaient pas au temps d’Abraham.

    D’ailleurs Melkisédek roi Cananéen de Ur-Salem a même rencontré Abraham.

    Donc les israeliens peuvent dire ce qu’ils veulent, les palestiniens étaient là bien avant eux. Et puis non je vous vois arriver. Ce n’est pas une poignée de cavaliers saoudiens au VII siècle avec leur penis magique qui ont effacé le monde entier de la Perse jusqu’en Espagne ! C’est mathématiquement, démographiquement et temporellement impossible.
    Donc les palestiniens sont bien les descendants des Philistins Cananéens
    Tout comme les libanais sont génétiquement composés à 93 % de Cananéens selon les dernières études ADN.
    Donc si les libanais sont génétiquement Cananéens, les palestiniens le sont aussi forcément.

     

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  • Il y a eu des papes véreux, luttant pour le pouvoir comme si ils étaient des rois ou des emprereus, ça c’est une certitude. Mais aucun n’a accepté de réaliser des croisades au profit de la recréation d’un état hébreux ou de la reconstruction du temple des juifs. En ce qui concerne les rois Catholiques, c’est pareil. Charles V par exemple a fait éxecuté le David Reiveni qui portait un tel projet.

    Tout les démarches sionistes réussies ont eu lieu APRES la perte de pouvoir de l’église et des rois Catholiques.

    Le seul dirigeant ayant tenté un tel projet avant cela était l’empereur Justinien, un empereur anti-chrétien, dit l’apostat.

    Bizarrement, il semble que la logique de Laurent Guyénot ici se base plutôt sur de la philosophie abstraite, et ait choisi de se passer des faits historiques qui eux sont bien réels. Aussi, il semble mettre un peu les Chrétiens tous dans un même panier, alors que les Protestants Calvinisés sont très différents de tous les autres Chrétiens, et n’ont du coup plus vraiment une démarche chrétienne.

     

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  • #3429819

    Le plus simple est de considérer que Jésus amène une nouvelle religion et donc un nouveau Dieu, édifiée il est vrai sur les ruines du judaïsme. Qui n’a jamais été dévolu à un peuple qui existe à peine, n’a jamais eu de royaume et dont les croyances viennent en droite ligne des Babyloniens.
    Il n’y a aucune trace archéologique d’eux (même la télé a été obligée de l’admettre) mais il y en a plein sur le christianisme. Dont les écrits datent à peu près tous du Ier siècle et donc sont contemporains alors que les leurs écrits au premier millénaire (av. JC) parleraient d’évènements du second.
    Ses préceptes de paix, de pardon, de mépris de la richesse et donc des chefs temporels sont sans équivalent nulle part et ont amené le monde moderne. Enfin, tel qu’il devrait être.
    Le protestantisme aurait dû se résumer au luthéranisme et aux débuts du calvinisme avant sa récupération par les anglo-saxons et donc son dévoiement total en serviteur du pouvoir établi (éclatement en nombreuses sectes). Comme le catholicisme qui a péché en établissant un pouvoir religieux central, ce qui est une grave hérésie et l’orthodoxie qui donne le pouvoir spirituel à un empereur, ce qui est encore pire.

     

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  • Remarquable exposé de Laurent Guyénot, qui fait preuve ici d’une grande maîtrise de son sujet et de la langue française, avec des personnes comme lui, on peut espérer mieux comprendre l’histoire de l’Antiquité gréco-romaine avec toutes ses implications contemporaines, et je ne parle même pas ici des falsifications talmudiques, qui ont permis aux juifs d’exercer leur ascendant jusque à nos jours, ce qui est pour moi totalement incompréhensible.

     

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  • M Guyenot est très agréable à suivre en conférence, ne loupez pas son passage si il vient près de chez vous. On en ressort pas le même avant qu’après. Merci ER de donner de la visibiliité à des personnes qu’on ne voit nulle part ailleurs hélas.

     

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  • #3430884

    Monsieur Guyénot fait l’impasse sur le syncrétisme majeur opéré par les grands théologiens de l’église en particulier Saint Thomas d’Aquin qui font le lien entre les philosophes Grecs, Romains et Chrétiens.

     

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  • • A propos de Yahweh, choisissant lors de l’épisode de la Tour de Babel la dispersion-séparation des peuples, entravant ainsi le tour que prenait leur ascension céleste, il faut noter que Zeus lui aussi est mythiquement chatouilleux quant à cette propension “humaine trop divino-humaine” : cf. Prométhée, Icare, etc., comme si l’intimité et l’humilité étaient le véritable “passeport” pour cette “dive-rencontre”.

    • A propos de “La mort féérique, Laurent Guyénot, visiblement en quête de la richesse spirituelle médiévale, affirme qu’alors la pensée écrite était encore rare, étant surtout orale.
    En effet, mais elle était aussi sculpturale (également imagée : dans les enluminures, etc.).
    Dès lors, une autre “clé de lecture”, plutôt négligée, s’offre à l’analyse.

     

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  • Il faudrait peut-être que ER fasse une conférence sur la Sainte Inquisition plutôt que de répéter les bêtises répandues par les gauchistes, voilà pour le fond. Quant à la forme, les noms et adjectifs masculins en EL ne font pas leur pluriel en AUX.

     

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