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Laurence Bloch ou le racisme de classe

Il faut être complètement déconnecté du peuple français pour sortir une connerie pareille, même si on le pense. Il y a des choses qui se pensent, comme le racisme, l’antisémitisme, le sexisme, le grossophobisme, le transphobisme, tous les trucs socialement interdits, mais qui ne se disent pas, ou alors en petit comité, sans taupe si possible.

 

Les amis, ça sert à ça : on peut tout leur dire, comme au psy (essayer de faire pote avec son psy pour lui causer sans payer). D’ailleurs, quand on a des amis, ça économise souvent le psy. Il y a toujours, surtout chez les femmes, une copine compatissante pour écouter ses jérémiades.

 

 

Cette mépriseuse de classe nous explique que le SPA doit rattraper les « CSP moins », c’est-à-dire les beaufs, les cons, les sous-hommes au sens de la gauche, au sens intellectuel, pas racial, évidemment. C’est mal parti, avec ce que France Inter leur met dans la gueule depuis vingt ans. Le service public audiovisuel est devenu la chasse gardée des gauchistes, des socialistes, des écolos, tous des faux intellos ou des intellos limités. C’est leur radio, ils y sont bien sans nous, c’est-à-dire sans 60 % des Français, électoralement et démographiquement parlant.

Le problème, c’est que ce sont surtout ces Français, écartés ou salis à l’antenne, qui financent majoritairement cette station. Et il faut en plus se fader le mépris d’une gâteuse, baronnasse qui a vécu grassement de nos subventions pendant toute sa carrière de parasite. Au fond, ce sont tous des voleurs, des menteurs ou des assassins, souvent les deux premiers, parfois les trois.

La digne consœur de la Bloch, c’est la Ernotte. Elle incarne le management moderne, woke et destructeur. Elle a commencé le massacre chez France Télécom, elle poursuit son œuvre chez France TV. Derrière, y a plus rien qui pousse. Notez bien que chez Orange, ils poussent encore aujourd’hui tous les cadres à l’ancienne dehors.

 

 

La gynécocratie est en train de montrer un bien hideux visage. La gynécocratie, c’est Brigitte, ou le règne d’une folle ; Hidalgo, qui a réussi à éteindre la ville lumière ; Ernotte, un masque mortuaire et des programmes insultants pour l’intelligence ; la présidente du Louvre et sa salle à manger privée à 500 000 balles ; les partouzards LGBT à la tête des JO et ses cérémonies méphistophéliques ; Fourest et sa négation du génocide ; Loiseau et sa haine de la Russie ; Tondelier et sa déclaration d’amour à la con...
On pourrait continuer des heures comme ça, avec les victoires du féminisme.

 

 

Le masculinisme est la rançon du féminisme

 






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6 Commentaires

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  • #3570745
    Le 24 octobre à 21:24 par Robert
    Laurence Bloch ou le racisme de classe

    "Patrimoine culturel pour être en tranquillité avec ce monde."
    Cette vieille peau qui n’a jamais vécue parmi le peuple français, à ne pas confondre avec les siens dans le ghetto, se permet d’expliquer aux français comment ils doivent penser pour soutenir le racket, le foutage de gueule permanent, le pillage de notre pays par les siens.
    Il en faudra du goudron et des plumes pour tous ces gredins !

     

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  • #3570751
    Le 24 octobre à 21:38 par ANONYME
    Laurence Bloch ou le racisme de classe

    Ce "management par la terreur" a provoqué 35 SUICIDES de salariés.



    Il est étrange que ceux qui sont harcelés ou menacés de perdre leur emploi préfèrent mettre fin à leurs jours plutôt que de se venger en éliminant la cause de leur problème puisque, de toute façon, ils estiment n’avoir plus rien à perdre...

     

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  • #3570766
    Le 24 octobre à 23:25 par koussikoussa
    Laurence Bloch ou le racisme de classe

    Faut-il encore s’étonner, en 2025, de la façon dont la bourgeoisie parle au peuple, comme à une espèce qu’il faudrait instruire, dresser, civiliser ? Ces sociologues au ton sucré, bardées de diplômes inutiles, s’adressent aux migrants comme à des enfants attardés. Elles les félicitent de leurs progrès, corrigent leurs écarts, compatissent à leurs malheurs, mais tout en les tenant à distance. Sous leur compassion se cache une domination polie : elles parlent pour les autres afin qu’ils ne parlent jamais eux-mêmes. Elles croient comprendre, elles dissèquent. Elles prétendent aimer, elles classent. Leurs mots ne libèrent rien, ils fixent la hiérarchie.

    Asselineau l’a rappelé : en 1940, aucun haut fonctionnaire, aucun notable n’a rejoint la Résistance. La bourgeoisie, elle, s’est adaptée, fidèle à son confort. Pendant que les humbles risquaient leur vie pour sauver l’honneur du pays, on dînait au restaurant sous l’Occupation. On trinquait à la survie, on se parfumait à la docilité. L’élite a préféré la signature à l’épée, la soupe chaude à la liberté. Les rideaux se fermaient sur les rafles, mais le dessert était servi.

    Aujourd’hui, la même caste se proclame « résistante » parce qu’elle pleure sur les plateaux, s’indigne sur les réseaux, signe des tribunes qu’elle ne lit pas. Elle se dit alliée du peuple sans jamais le fréquenter. Elle théorise la misère depuis les terrasses où le café coûte huit euros. Son progressisme n’est qu’un miroir où elle contemple sa propre bonté.

    Elle parle d’égalité pour mieux rester au-dessus, d’ouverture pour mieux contrôler, de justice pour mieux dormir. Ces gens n’ont pas d’idéaux, seulement des positions. Leur humanisme est un luxe moral, une parure de saison. Ils se croient libres parce qu’ils se croient du bon côté de l’Histoire, mais l’Histoire, elle, ne garde jamais mémoire des hypocrites.

    Le peuple, lui, se tait encore, mais il observe. Il sait que ceux qui prétendent l’éduquer vivent de son silence. Et viendra l’heure où les salons se tairont, où les masques tomberont. Ce jour-là, la vertu affichée des bien-pensants se révélera pour ce qu’elle est : le dernier refuge de la peur.

     

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  • #3570767
    Le 24 octobre à 23:31 par FREDERIQUE
    Laurence Bloch ou le racisme de classe

    "La gauche bourgeoise France Inter"
    Disons plutôt "la gauche bourgeoise de (F)rance Inter" !!
    Exactement comme les """dissidents""" du Comité de (F)rance Soir, ou les """journalistes" de (F)rance Télévision !

    Quant à la morue méprisante osant parler de CSP- , et la débile tentant de trouver des excuses à son absence totale d’efficacité au Louvre, on peut dire - compte tenu de leur évidente vacuité professionnelle et cérébrale - qu’elles ne sont là où elles sont QUE parce qu’elles sont membres actifs des deux lobbys les plus puissant de France :
    - celui des arrogants victimaires pour la première,
    - celui des gay-trans-etCie pour la seconde !

    Dans les deux cas de figure le vase est plein - inutile de préciser de quoi, tout le monde l’aura compris... - et donc : attention à la fameuse goutte...

     

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  • #3570799
    Le 25 octobre à 04:31 par Vib
    Laurence Bloch ou le racisme de classe

    Il ne s’agit pas de gynocratie, mais d’un régime corrompu jusqu’à la moelle qui se contente de piocher dans l’inépuisable vivier de soumis, corrompus, tarés et consanguins, hommes ou femmes pour une glorieuse parité !

     

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  • #3570818
    Le 25 octobre à 06:42 par Kal
    Laurence Bloch ou le racisme de classe

    On écoute cette Laurence Bloch, gauchiste bourgeoise de service sur France Inter parler avec mépris des CSP-. Sans le moindre complexe.

    On comprend mieux pourquoi la gauche n’a jamais rien fait de social pour les Français mais inversement tout pour les contrôler socialement.

    Dernière en date, ce sont les retraités qui vont payer la suspension de la réforme des retraites. Ça c’est la marque de fabrique du social façon PS.

    Et dans la foulée, pour mieux contrôler socialement les vieux façon Commission Européenne, on leur suprimera le permis de conduire.

     

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