Les manipulations génétiques visent à améliorer la santé sur du matériel existant, défectueux génétiquement ou par accident : réparation de foetus conçu naturellement, par exemple, auquel il est possible d’ôter ou d’ajouter ou de modifier une microparticule d’ADN.
La recherche nationale-socialiste visait à améliorer la santé et l’esthétique d’un groupe d’individus existants (les Allemands et blonds en général), afin qu’ils naissent au mieux de leur forme. Elle ne procédait pas par manipulation génétique, mais par "croisements", plus ou moins volontaires dit-on (à vérifier, le sujet est intéressant). Cela fit et fait beaucoup scandale, mais l’objectif n’était pas la création à tout prix d’individus forcés sur la Nature - qui traîne ses pieds ailés de magicienne, et sabote les entreprises de l’apprenti, aussi doué qu’il soit. Au contraire, la recherche suivait la Nature (les meilleurs avec les meilleures).
Quand la recherche porte sur la création d’individus (privilège divin), ça coince. Le ligre est difforme (mélange contre nature de tigre et de lion) : pattes courtes, grosse tête, grande taille, fragilité générale : l’homme qui voulait créer une bête de combat obtient un résultat miteux les trois quarts du temps. Il a aidé à produire une sorte d’infirme, de bâtard qui ne se reproduira qu’à grand peine ou ne se reproduira pas, adapté à rien de particulier, malheureux en milieu désertique autant que dans la jungle.
https://www.youtube.com/watch?v=YZx...
Ici, il apparaît que les beaux enfants-éprouvettes présentés ne seront pas aussi bien pourvus sanitairement que d’autres enfants nés naturellement de parents sains, bien nourris et soignés (car c’est le plus important : les parents). De même qu’il n’est pas souhaitable que des sourds profonds se reproduisent, il vaut mieux ne pas tenter de procréer quand la Nature le refuse ou se révèle déficiente ou a prévu autre chose. Du moins à notre époque de surpopulation. La Chine a étudié les moyens empiriques de NE PAS procréer une marée humaine étouffante.
En cas de dépopulation accidentelle, catastrophique, ou de métissage épidémique, Dieu laisse les moyens à l’homme intelligent, par une démarche scientifique, de remédier à la situation : c’est le bon côté de cette recherche, à ne pas jeter avec l’eau du bain.
Répondre à ce message