rouler en vélo, de nuit sur un trottoir, en effet le gus ne laisse rien passer, il rejoint verbalisator , celui qui avait défrayé la chronique municipale cannoise il y a une dizaine d’année
la veille, une simple banderole pacifique, silencieuse et inoffensive, mais déployée sur le port devant des unités qui consomment autant de gasoil en une heure que toutes les diesels de la croisette en une journée, et hop, gav per tutti ( nationaux et municipaux même combat ), à chacun ses crit’airs
quand j’étais petit il y avait un beau cinéma et une bonne police du quotidien, les deux se rejoignaient parfois afin de donner à voir de bons films, l’actualité nous démontre que cela est à verser aux rayons des souvenirs passés
tout est devenu médiocre, laid et vulgaire
bentley mulsane contre dacia sandero, comptons les points, c’est distrayant, d’autant que l’orgueil de l’un d’eux dispose de moyens autrement plus puissants que celui de l’autre
vallet (avec deux "L", à préciser tant la confusion pourrait être faite) :
Quel mépris du directeur artistique du festival de Cannes face à un policier municipal qui fait son travail.
Et si en prime vous verbalisez une célébrité, on a le droit à : "allez arrêter les délinquants dans les cités."
Pour la police, pas de citoyens plus égaux que d’autres !
appréciez la dernière phrase, à elle seule elle forme le sujet d’un très bon scénario ou celle d’une belle étude philosophique
Répondre à ce message