Les donneurs de leçons ont souvent le slip sale. C’est le cas de Gilles Clavreul, délateur en chef qui a été à la tête de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (DILCRA), bref, l’annexe officielle de la LICRA au gouvernement, et qui a entretenu la haine sioniste sur les réseaux sociaux grâce à des protections haut placées et un budget pharaonique (100 millions d’euros sur trois ans pris aux Français). Ce pistonné n’était que menaces (de procès), insultes et jugements lapidaires ; le voici sur la sellette après une mission extrêmement douteuse pour la ville d’Argenteuil.
Le Parisien a parlé de ce scandale dans son édition payante du 8 juin 2020, mais le site Cinquième Colonne avait déjà mis en doute la prestation du sioniste le 26 mars après avoir épluché les minutes du Conseil municipal de la ville d’Argenteuil en date du 25 septembre 2018.
Un an plus tôt, jour pour jour, nous apprend Wikipédia, Clavreul était « chargé d’une mission auprès du secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Denis Robin, pour la mise en œuvre d’une recommandation de ce dernier sur la “coopération entre administrations et collectivités locales” ». Les jobs rémunérateurs bidon ont toujours des titres aussi ronflants que fumeux.
Et les pistonnés retombent toujours sur leurs pattes grâce aux nombreux fromages de la République (sioniste).
Voici l’extrait du compte-rendu et la question de 5e Colonne :
« En 2018, le préfet et ex-DILCRAH Gilles Clavreul a créé son auto-entreprise de "conseil" sur ses thèmes habituels (citoyenneté, laïcité, République, radicalisation, islam(isme)... etc).
Le 6 août 2018, il a décroché un juteux contrat de 82 500 euros HT avec la mairie d’Argenteuil, en théorie pour la conseiller et l’assister dans la réalisation d’un "plan d’action en faveur de la citoyenneté".
Presque 2 ans après, difficile de savoir ce qui a été fait concrètement de tout cet argent, qui constitue un joli pactole pour l’auto-entreprise de Gilles Clavreul. Interrogé lors du conseil municipal du 25 septembre 2018, le maire d’Argenteuil Georges Mothron a été plutôt flou dans ses réponses, posées notamment par son opposant Philippe Doucet.
Cofondateur du Printemps républicain, Gilles Clavreul s’est donc lancé dans un business qui semble rentable, du moins pour lui, pas forcément pour les contribuables d’Argenteuil.
La question reste donc pour l’instant en suspens : où est passé tout cet argent, ou plutôt quels sont les si précieux conseils qu’a pu donner Gilles Clavreul pour mériter un tel pactole ? »
On a une petite idée mais on va attendre la fin de l’enquête, si enquête il y a. Sinon on la fera nous-mêmes.
Pour donner une idée de l’idéologie du Clavreul, ce petit passage de Wikipédia, qui n’a pas encore été nettoyé :
Ses actions et prises de positions dans sa fonction de Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (Dilcra) font l’objet des critiques de l’essayiste Guillaume Weill-Raynal. Celui-ci écrit, à la suite de prises de position de Clavreul lors d’un voyage de ce dernier en Israël qu’il a « lié de manière scandaleuse le soutien unilatéral à Israël contre les Palestiniens et la lutte contre l’antisémitisme en France. Sans le moindre rapport avec ses fonctions officielles ».
Et c’est un Français de confession juive qui le dit. C’est donc irréprochable et incomplotable :
Il est frère jumeau de Clément Weill-Raynal, journaliste et essayiste, avec qui il est en profonde divergence, et le petit frère d’Aude Weill-Raynal (vice présidente de l’association pro-israélienne Avocats sans frontières), le petit-fils de l’homme politique Étienne Weill-Raynal (1887-1982) et l’arrière-arrière-petit-neveu du ministre et député de la Gironde David Raynal (1840-1903) et de l’homme d’État Léon Gambetta (1838-1882).
Naturellement, c’est dans Faits & Documents que vous en apprendrez un morceau sur Clavreul, ce fils de psychanalystes... On comprend dans cette affaire que l’antisémitisme ou la lutte pour la laïcité, c’est-à-dire contre l’Église et contre l’islam, n’est qu’un business. Il n’y a pas de foi là-dedans, pas de morale. Qu’on se le dise !