Tout le monde l’a remarqué, mais c’est bien de le graver dans le marbre. Ou, à défaut, dans le béton frais.
Au moment où la liberté d’expression, notamment sur le lobby juif français, à savoir le CRIF, qui donne ses ordres à la république, que disons-nous, à sa république, se réduisait comme peau de banane (relire Balzac ou Balzec), le génocide des Palestiniens opéré par les Israéliens est venu tout mettre par terre, toute la belle ingénierie, qui avait commencé avec la loi Pleven, puis la loi Gayssot, puis la loi Avia, en enfin le chat control européen. On en oublie.
Masse fait loi
Au bout du compte, alors qu’il y a dix ans personne n’osait écrit « lobby » et « juif » sans mot tampon, ou sans euphémisme, aujourd’hui, tout le monde se lâche. On a même souvenir d’un tweet de la LICRA ou du CRIF qui disait attaquer tous ceux qui oseraient écrire lobby juif. Là, on rêve, parce que c’est quand même un concept explicatif. Il n’y a évidemment pas que ça, dans la politique française, mais c’est un beau morceau de viande de l’organisme entier. S’en passer, c’est écrire soit des âneries, soit des choses incomplètes, et là, pas question : déjà qu’on est persécutés (mais quand même moins seuls sur le mur des condamnés), si en plus il faut mourir pour des idées frelatées...
Ainsi, c’est encore la quantité qui l’a emporté sur la qualité, une forme de logique en territoire (théoriquement) démocratique, c’est-à-dire où la majorité dicte sa loi à la ou aux minorités. En France de 2025, tout le monde sera d’accord, même Élisabeth Lévy, ce sont les minorités qui dictent leurs lois à la majorité, et c’est bien pour ça que tout va mal.
Les écolos débiles détruisent notre souveraineté énergétique, les gouvernements LGBT pourchassent les hétéros, le CRIF traite tout le monde d’antisémite, même des juifs (Zemmour, Brauman, Gresh), l’état-major se soumet à l’OTAN qui veut attaquer la Russie, les sénateurs valident les réformes les plus liberticides, les employés du service public audiovisuel travaillent pour l’oligarchie et non pour le peuple, le grand patronat prend 200 milliards par an dans la poche des Français qui n’ont plus de services publics, que le nom, des pédophiles déguisés en femmes lisent des histoires porno aux enfants dans les écoles...
L'automobile s'est finie
@PhdeVilliers : quand vous regardez bien l' ces dernières années :
avec le Mercosur, l' est en train de sacrifier l'agriculture , en particulier la , il ne resterait plus rien, les élites ont décidé de déléguer notre alimentation au… pic.twitter.com/DGZ6vPHFaC— fred le gaulois Uniondesdroites (@FredGaulois) October 24, 2025
La colère française est telle que même un Reynié, pourtant normalisé au possible, sent pointer une grève de l’impôt, car tout tient sur ce consensus.
ALERTE : Dominique Reynié prévient que la rupture du consentement à l’impôt arrive.
"Les Français ne sont pas amoureux des prélèvements obligatoires qu’ils subissent. Nous sommes au bord de la rupture du consentement à l’impôt." (LCI)
On a assez payé. Ça suffit ! pic.twitter.com/iUIZPo336y
— Sir (@SirAfuera) October 24, 2025
Si ça continue, les oligarques et les minorités agressives devront aller chercher notre fric avec les dents. Même un Consigny, un bourgeois bien-pensant, parle de « désobéissance civile » devant les délires de la Commission européenne, cette entité parasitaire qui passe son temps à persécuter les travailleurs.
WC désormais obligatoires dans les bateaux des ostréiculteurs : "À ce stade de connerie, il faut de la désobéissance civile."
@CharlesConsigny : "À Bruxelles, on a concentré les plus cons de tout le continent et ils font des normes toute la journée." #GGRMC pic.twitter.com/jtxfSyCCMr
— Les Grandes Gueules (@GG_RMC) October 23, 2025
Un bouchon a sauté, toute une société se réveille, on l’écrit chaque semaine, mais le niveau d’exaspération monte chaque semaine. On est bien obligés d’en parler. Le seul problème, c’est que des collabos d’hier seront des résistants demain, mais ça, c’est le lot de toute révolution ou contre-révolution.
En résumé, le CRIF est paralysé moralement et médiatiquement par le génocide opéré par l’armée israélienne, et toute tentative de soutien d’Israël en France voit se lever une tempête d’indignation. La répression, via les relais médiatico-politiques amis ou soumis, augmente d’autant, mais elle est condamnée : contre tout un peuple, qui aime la liberté et la justice, elle a perdu d’avance. L’histoire nous apprend que ceux qui passent leur temps à condamner les autres se condamnent tout seuls, à l’isolement, puis à la réprobation.
Remplacer « vie » par la « liberté » dans les propos de Jeff Goldblum








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