Dans un jugement aussi inédit que scandaleux, la Cour d’appel de Buenos Aires a réduit la peine d’un violeur en précisant que la victime, âgée de six ans à peine, « était gay ».
Les juges Horacio Piombo et Ramon Sal Llargues ont pris la décision controversée de réduire la peine d’emprisonnement de Mario Tolosa à trois ans et deux mois.
Le tribunal a fait valoir que l’enfant avait « une orientation sexuelle gay et était habitué à ce qu’on abuse de lui ».
Le violeur pédophile Mario Tolosa était vice-président du Club Florida et a abusé sexuellement d’un enfant de six ans, le 6 mars 2010 à Florida (quartier Vicente Lopez à Buenos Aires). Le pédophile, ainsi qu’il l’a expliqué à la Cour, a conduit l’enfant dans une salle de douche pour l’abuser sexuellement.
En rentrant chez lui, le garçonnet a dit à sa grand-mère ce qui s’était passé. Sa grand-mère, en voyant les blessures et lésions, a porté plainte. Ensuite, la justice a condamné Tolosa à 6 ans pour « abus sexuels avec rapports sexuels », mais la Cour d’appel de San Isidro a réduit la peine à trois ans et deux mois.
Parlant de ce petit enfant d’une façon ignoble, la Cour a déclaré : « Il était habitué à avoir des relations sexuelles. Il est gay et a déjà sa sexualité définie. L’abus est réel, mais il n’a pas été tellement scandaleux » !
Les juges avaient déjà réduit la condamnation d’un pasteur évangélique accusé de viol de mineurs en 2011. À cette époque, les juges avaient fait valoir que les victimes vivaient dans des communautés dans lesquelles le milieu social « accepte les relations à des âges très précoces »…
Tout cela entre parfaitement dans la logique du nouvel ordre sexuel mondial et légitime les pires déviances sexuelles comme des orientations parmi d’autres.