« Il ne suffit pas de nous entraider, il faut, à notre tour, les éliminer. »
C’est avec stupeur que nous avons découvert le dernier livre d’Alice Coffin, la pigiste de 20 Minutes devenue élue EELV au Conseil de Paris, le truc qui sert à rien (163 conseillers !) à part bouffer des millions aux Parisiens. Elle s’autoproclame féministe, ce qui ne veut rien dire, et lesbienne, ce qui devrait rester dans le domaine privé. Mais aujourd’hui, que voulez-vous, comme dit le poète contemporain Félix Niesche, tout le monde s’exprime, même quand il n’y a rien à exprimer. Alors on exprime des différences, qui sont évidemment toutes les mêmes, ça ne mange pas de pain ! Ce qui est intéressant c’est d’exprimer de vraies différences, pas du tout dans l’air du temps. Mais ça, c’est une autre histoire...
Alice se dit journaliste féministe et lesbienne, ce qui est un énorme contre-sens : quand on est journaliste, on ne peut être que journaliste, et pas féministe, antiféministe, lesbienne ou hétéro (elles disent hétéra maintenant) puisque ça fout tout de suite par terre la déontologie. C’est pourquoi on préférera dire propagandiste que journaliste.
Ceci étant dit, la haine anti-hommes est tendance, chez les gousses. On voit avec Ernotte, la fausse dirlo de France Télévisions, que l’homme n’est plus trop persona grata, plutôt persona casse-toi, sauf pour Michel Drucker, car il a souffert. Mais nous savons tous qu’à l’origine de cette haine, il y a un amour contrarié, impossible, donc on ne prend pas ça trop au sérieux. Le livre d’Alice est une justification de sa haine, on peut imaginer ce qu’il y a dedans : un long cri, le procès de l’homme blanc hétéro patriarcal et compagnie.
Imaginez Alice qui se retrouve nez à nez avec un gros chasseur un jour, dans la forêt de Rambouillet. Normalement il y en a un qui ne sort pas vivant. On ne dit pas une car Alice n’est pas exactement une femme au sens où on l’entend (douceur, féminité, compréhension), elle est autre chose, une créature dégenrée, et dérangée aussi. L’absence de traits féminins explique probablement son orientation politique, même si être féministe lesbienne n’est pas une posture politique : par exemple, que dirait-elle sur le conflit du Haut-Karabakh ? Sur l’élection américaine, à part que le sauveur de l’emploi national Donald est un vilain gros nazi et que Joe-la-tripote (ça rime avec Manu-la-tremblote et Frédo-la-frotte) est le gentil ?
Vous l’aurez compris, toutes ces anti-femmes sont tristement prévisibles, et elles se mettent elles-mêmes hors du domaine de la féminité, de l’amour et de la fécondité. Justement, Alice a milité pour la PMA, c’est-à-dire la GPA, car elle n’aurait pour rien au monde copulé avec l’ennemi politique pour procréer. En même temps, Alice comme mère...
Comme nous n’avons pas lu son livre et que nous sommes malgré tout journalistes, donc pas lesbiens, nous allons laisser notre amie (normalement, sa carrière devrait s’arrêter là) Pauline Delassus de Paris Match commenter l’œuvre.
La haine de l’homme est donc tendance, mais les hommes s’en foutent un peu : les lesbiennes du type Alice ne les intéressent pas, et les fans de la haineuse se mettent elles-mêmes hors l’amour, avec un grand a. On a trouvé une autre coffinette, elle s’appelle Pauline (pas la journaliste de Match), et son blog explique pourquoi elle déteste les mecs. Elle a sorti un livre qui s’appelle Moi les hommes, je les déteste. On attend qu’un migrant se tripote devant elle dans le métro pour savoir si un mec détesté aura le droit d’intervenir pour la sauver des griffes du progressisme en branle...
« Parce que sans vouloir me vanter, je trouve que cet essai arrive à point nommé.
Ce n’est pas pour rien non plus que j’ai décidé de me lancer dans l’arpentage de Backlash : la guerre froide contre les femmes de Susan Faludi à la rentrée. Après les mouvements de libération de la parole comme #MeToo et #BalanceTonPorc, les succès des dernières grandes manifestations féministes, le début des collages féministes dans diverses villes de France… Ces dernières années ont été fortes pour le féminisme (en France comme ailleurs), et comme à chaque fois, nous sommes sur le point d’entrer – ou nous sommes déjà dedans — dans une période de retour de bâton.
La violence antiféministe et misogyne est puissante en ce moment. Par des actions symboliques ou par la haine que reçoivent directement les militantes et les femmes en général, les hommes ne cessent de nous rappeler qu’ils n’ont pas beaucoup d’intérêt pour notre cas. Et qu’ils aimeraient mieux qu’on la ferme, si possible.
En réponse à cette attitude, je vous propose la misandrie. »
C’est vrai que les hommes s’en foutent un peu, de ces délires monomaniaques, de cette haine qui se bave dessus et qui ne nous empêche pas d’avancer. Quelque part, c’est bien que des malheureuses révèlent leur détestation, ça fait psychanalyse en public mais aujourd’hui, les malades de l’esprit se soignent devant tout le monde. Il faut que ça se sache que je souffre ! Je Suis Souffrance ! Surtout, cette souffrance efface toutes les autres, elle est tout simplement incomparable :
« On ne peut pas comparer misandrie et misogynie, tout simplement parce que la première n’existe qu’en réaction à la seconde » (Extrait de mon livre)
La souffrance des enfants battus, violés, maltraités ? Nada, ce qui compte, c’est la souffrance des vilaines lesbiennes. Nous avons retrouvé un documentaire sérieux dans lequel Alice intervient pour défendre une faible femme prisonnière d’un homme par trop entreprenant.
Nous avons sorti notre appareil critique – le petit, pas le gros – car la thèse politique d’Alice ou de Pauline est si ténue qu’elle ne mérite pas une grosse analyse en profondeur. Ce vaginisme idéologique est à la fois son origine et sa fin, il tourne en boucle sur lui-même et même si on voulait aider sincèrement Alice à sortir de sa haine communautaire, elle ne nous le permettrait pas. Et curieusement, on ne la déteste pas, ne la plaint pas non plus, on s’amuse de ses divagations qui mettent un peu de piment dans la vie politique et qui parfois créent des bugs dans la matrice mondialiste, comme quand Alice a éjecté Christophe (Girard) de la mairie de Paris.
Si on l’utilise bien, cette lesbienne est capable d’attaquer bille en tête Finky, parce qu’il est hétéro, marié et copain d’Élisabeth Lévy, une femme qui adore les mecs, mais aussi Zemmour parce qu’il est antiféministe, ou même le CRIF, parce que y a pas une gonzesse ou une lesbienne dedans !
Il ne sert donc à rien de détester Alice, qui est plutôt marrante, il faut l’utiliser à bon escient. Comme le font les services de renseignement avec les hybrides (mi-délinquants mi-islamistes) formés en prison par des infiltrés pour aller provoquer chocs et retournements politiques dans l’opinion...
Pour en revenir au sexe, Éric n’a strictement aucune chance de coucher avec Alice, qui est pourtant blonde (mais à faible poitrine). Alors pourquoi irriter une brune, il est vrai typée, mais à très forte poitrine ?
Rions un peu avec celles qui détestent les hommes
Bonjour je suis une féministe.
Je déteste les hommes et c’est pourquoi je cherche à tout prix à ressembler aux pires d’entre eux. pic.twitter.com/6Ic1VB5Q1v
— Christopher Lannes (@c_lannes) October 2, 2020
Rappel de la loi sur les discriminations
Le Code Pénal français définit la discrimination comme « toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation ou identité sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». (Article 225-1§1).
Alice tombe bien pour discrimination à l’encontre des hommes en raison de leur sexe mais vous savez quoi ? Ici c’est pas écrit balances, on ne dira donc rien aux associations communautaires anti-discrimination et rien non plus au ministre de la Justice. Alice, tu peux repartir, tu es libre !