« Face à l’urgence climatique, nous devons poursuivre nos efforts et accélérer tous ensemble. Avec nos partenaires du Conseil européen, nous proposons une ambition nouvelle : réduire d’au moins 55% nos émissions de CO2 d’ici dix ans. Allons-y ! » (Manu 1er, le 15 octobre 2020))
Nous profitons de ce que notre spécialiste du climat a le dos tourné pour rappeler deux ou trois trucs fondamentaux sur le délire réchauffiste, qui est évidemment une des conditions du Grand Reset, cette destruction programmée par les tarés de Davos de l’économie productive.
Ce sont surtout les jeunes qui tombent dans ce piège, car ils n’ont pas de vision globale ou profonde. Ils sont dans l’instant et dans l’instinct (la peur), et c’est l’instant et l’instinct qu’ils sont manipulables. La raison et le temps sont plus durs à tordre. D’où cette épidémie d’urgences...
« Pourquoi attendre la catastrophe pour agir et pourquoi ne pas déclarer l’état d’urgence écologique ? C’est la question que me pose Marie-Ange dans le courrier qu’elle vient de m’adresser... »
Après l'état d'urgence sanitaire
L'état d'urgence de la guerre en Ukraine
Voici :
L'état d'urgence climatiqueSi t'as toujours pas compris, désolé, on ne peut plus rien pour toi ! pic.twitter.com/buKS1AdcC4
— On m'appelle 404 (@Red_Pill_Report) November 5, 2022
Le pays se casse la gueule, en partie sous sa responsabilité, et l’Autre nous parle de l’état d’urgence climatique.
En plus, cette « Marie-Ange », ce ne serait pas le pseudo d’un certain Klaus ?
Dans le narratif réchauffiste, même Greta n’est plus crédible. Dès que l’élite mondialiste la fout devant les caméras, ça fait plus de pouces en bas que de pouces en haut. Les narratifs officiels ne tiennent pas deux ans, en général. Certes, ça suffit pour faire du mal aux populations crédules terrorisables et pour faire avancer la doctrine maléfique des tarés de Davos, mais la résistance commence à rattraper l’agenda. Il y a toujours un décalage de comprenette entre les manipulateurs et les manipulés. C’est dû à la planification secrète, à la frappe soudaine et à l’intoxication médiatique qui en est la condition.
Dans le cadre de la résistance à cet état d’urgence écolo-climatique, des voix scientifiques s’élèvent.
Vincent Courtillot Réchauffement climatique…. une vision bien différente !! pic.twitter.com/HJm1TRhQDy
— P/ (@Vpauline006) November 6, 2022
On attend maintenant que le petit soleil de l’Élysée s’attaque au grand Soleil (il est capable de foutre le système solaire en l’air) afin d’en limiter les excès. En même temps, si le (vrai) Soleil nous chauffe un peu plus, ça nous coûtera moins cher en gaz russe.
On rappelle aux jeunes qui ont gobé le discours du Président et des écolos à deux balles qu’au tout début du XIVe siècle, une sécheresse sans précédent a frappé la France (mais aussi tout le pourtour méditerranéen). La récolte de blé a chuté, et une famine a décimé – au sens littéral – les populations : on parle de 3 à 7 millions de morts en Europe.
Le site réchauffiste climato-ralistes.fr compare la sécheresse ou le réchauffement d’aujourd’hui à ceux du Moyen Âge : dans ce cas, il ne s’agit pas de la main humaine, ce qui veut dire que les intensités seules sont identiques, pas les causes.
L’article montre qu’une sécheresse multi-saisonnière de près de 2 ans s’est produite en Méditerranée entre 1302 et 1304, qui a été suivie par une série d’étés chauds et secs au nord des Alpes de 1304 à 1306. Les auteurs suggèrent que cette anomalie sèche exceptionnelle, unique aux XIIIe et XIVe siècles, associée aux anomalies froides des années 1310 et 1340, marque le basculement climatique de l’Optimum médiéval (OM) au petit âge glaciaire (PAG).
Des scientifiques parlent de deux grandes tempêtes solaires vers 774/775 et 993/994. En attendant qu’ils accordent leurs violons sur les dates, et la corrélation entre tempêtes solaires et réchauffement, malgré l’intense propagande anthropo-réchauffiste (le réchauffement dû à l’homme), la science avance, et met à mal les théories des mondialistes.
Libération narre les canicules de notre histoire pré-industrielle...
Vous avez aussi des séries d’étés caniculaires consécutifs, des microères climatiques : 1331-1334, quatre étés de suite, 1383-1385, trois étés, ou encore la première moitié du XVIe siècle, particulièrement douce, où l’on peut parler d’un petit âge du réchauffement. L’été, les glaciers reculent beaucoup, la neige fond très haut. En 1540, beaucoup de témoins habitant les Alpes l’ont noté. À partir de 1560, on entre dans une autre période climatique, le « petit âge glaciaire », les étés caniculaires se font plus rares. Il y en a cependant encore, par exemple en 1636, l’été du Cid, où les témoins évoquent « un effroyable harassement de chaleur » pendant plusieurs semaines à Paris.
En cas de forte chaleur, quel est l’ennemi principal des Français ?
D’une part, la précocité et le faible rendement des récoltes, donc la rareté du grain, son prix qui flambe. D’où des phénomènes de disette, voire de famine. Mais la pluie est l’ennemi numéro 1, davantage que la chaleur : l’été pourri est plus redouté que l’été trop chaud. En revanche, la mortalité grimpe lors des étés trop chauds à cause de la dysenterie. Le niveau des fleuves et des cours d’eau baisse, l’eau puisée pour vivre et boire est plus vaseuse, infectée, polluée, et la mortalité est spectaculaire. 500 000 morts lors de l’été 1636 ou de l’été 1705, 700 000 lors des étés caniculaires de 1718-1719, avec même l’apparition de nuées de sauterelles et une forme de climat saharien sur l’Île-de-France.