On découvre, dans cette affaire claire comme de l’eau de roche, toute la soumission à l’oligarchie de la presse mainstream, qu’elle soit en papier (L’Express) ou en ligne (Mediapart).
Ces deux titres ont tourné leurs fusils contre le seul chercheur français qui a eu le courage de s’opposer aux mensonges d’État et à leurs conséquences pendant l’opération covid.
L’audience était dépaysée en Nouvelle-Aquitaine car l’Ordre des Bouches-du-Rhône, en raison d’un conflit d’intérêts, n’a pas souhaité traiter cette affaire. Cette convocation ne concernait pas les derniers manquements dont sont suspectés Didier Raoult et l’IHU. L’Express révélait en juillet puis en octobre la réalisation d’essais cliniques sans autorisations légales auprès de SDF ou d’étudiantes. Il y a quelques jours seulement, une autre enquête, de Mediapart, levait le voile sur une expérimentation sauvage contre la tuberculose, là encore au détriment de populations fragiles ou défavorisées. Des suites judiciaires sont en cours dans ces deux dossiers.
Il va de soi que les malades en particulier et les Français en général sont du côté du prof, à l’inverse du corps très politique des médecins, sans oublier, évidemment, la hiérarchie politico-médicale (Buzyn, Véran, delfraissy, Hirsch et cie), totalement inféodée au Big Pharma.
L’avenir donnera raison à Raoult, et toute la clique anti-Raoult finira dans les pages sombres des livres d’histoire. Mais nous n’en sommes pas encore là.
Simple avertissement, suspension temporaire, ou pire, radiation ? Poursuivi pour des infractions possibles au code de déontologie médicale – dont sa promotion du traitement contre le Covid-19 à base d’hydroxychloroquine et le manquement à son devoir de confraternité envers d’autres médecins – le Pr Didier Raoult faisait face à l’Ordre des médecins ce vendredi [5 novembre 2021], une épée de Damoclès au-dessus de la tête.
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À propos du Covid-19, à l’inverse, la « communication générale » de l’IHU et de son directeur a permis notamment de mettre en évidence l’intérêt de recourir à « des tests massifs de patients » ou d’identifier « la problématique des cycles » du virus pour mieux gérer la crise sanitaire en France, a plaidé Me Di Vizio.
« On fait le procès de la réussite », s’est lui-même défendu le professeur marseillais de 69 ans, debout, pull vert et chemise à carreaux. « Ce sont les médecins qui se plaignent de nous, pas les patients » a aussi rétorqué Didier Raoult, assurant avoir reçu « plus de 600 000 patients » au sein de l’IHU durant la crise sanitaire,« sans aucune plainte ».
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« Touche pas à mon Raoult »
Le Pr Didier Raoult arrive à la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins à Bordeaux pic.twitter.com/UKmrNReVBq
— Le Live Toussaint (@LeLiveToussaint) November 5, 2021
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Fabrice di Vizio a opposé que Didier Raoult est jugé « comme un criminel », essentiellement pour ses prises de positions critiques sur la gestion de la crise sanitaire par les autorités.
À noter que la juridiction bordelaise a également examiné une troisième plainte déposée cette fois par le professeur marseillais lui-même, contre le vice-président de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône, le Dr Guillaume Gorincour, pour « non-confraternité ». Didier Raoult reproche à ce médecin chargé de la déontologie au sein de l’instance une cinquantaine de tweets le dénigrant, postés au long de l’année 2020.
Là encore, la décision a été mise en délibéré et sera publiée le 3 décembre.
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