Outre, que vous soyez un Conseil captivant ;
Permettez, Maître, que votre cadre - où l’on ne se drogue pas - destiné aux « Commentaires », soit accueillant pour l’un de ceux destinés au cadre de la publication de M. Félix N. traitant de Baudelaire.
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On ne peut croire que Baudelaire croyait être autre (chose) que la chose observée. Ici la prise du haschisch qui ne révèle à l’individu rien que l’individu lui-même.
C’est ainsi, qu’observateur observant que « Le haschisch ne révèle à l’individu rien que l’individu lui-même », il ne tentait pas, pour s’en rendre maître, de s’en débarrasser.
Savait-il, à l’évidence ou l’apprit-il chemin faisant, que se débarrasser des effets de la prise du haschisch le conduirait à une séparation. Donc, à un conflit interne entre ce qui ne révèle pas l’individu et l’individu lui-même qui veut s’en débarrasser ; Et, dont la contradiction ne ferait que renforcer le conflit.
La sensibilité des poètes n’est pas sensiblerie, ni la compassion qui nait d’elle (à la fome contractée Compassionnelle) complaisance.
La sensibilité des poètes perce les vapeurs de la peur qui détruit l’amour ;
Accueillant la vulnérabilité de vivre le courage comme une résistance à la peur qui détruit l’amour.
Ainsi vont les relations humaines dans la peur que survienne dans un véritable inédit, la parole décontaminée de l’inné disant que dans l’inédit il n’y a plus de peur du Tout.
Pas même la peur d’être l’alcoolique authentique qui ne blesse, ni n’implique Autrui ; Autre que celui qui jouant à l’alcoolique, empoisonne l’avis et la vie des autres par altercation(s) après avoir bu. Ni celles, d’ailleurs, de l’acteur authentique au service de la vie ; Autre... du joueur à l’acteur qui ne rêve que d’un public.
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Croyez bien, Maître Viguier, qu’il ne fut pas question de négliger votre intérêt pour La constitution.
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