Simplement, si l’Allemagne avait des difficultés en France, c’était bon pour la Russie. D’autant plus si l’influence soviétique devait perdurer après la libération.
J’ai personnellement toujours été pro-Russe à cause de son image glorieuse transmise de deuxième génération(la résistance de gauche), puis, grâce à E&R, j’ai modéré mes ardeurs staliniennes avec une autocritique sur mon point de vue de petit bourgeois qui n’a jamais connu l’oppression. Et une image elle aussi héritée mais renouvelée de Dieu.
Fin de ma digression, Poutine semble m’avoir réconcilié avec moi-même définitivement.