Avec son look bonhomme et son socialisme (de marché), il a mené une France confiante vers la soumission. Une bonne partie de nos problèmes vient de l’intégration – ou la fonte – de la France dans l’UE, cette ennemie des peuples. Jacques Delors est mort, les hommages d’en haut pleuvent. Et d’en bas ? Rien. C’est un signe, non ?
Comment transformer un euro-collabo en Jean Moulin national...
Quarante ans ou presque après sa prise de fonction à la tête de la Commission (1985), l’Europe est devenue le cercueil des peuples et des cultures européennes. L’Europe est riche, mais pour se faire piller par les États-Unis via les multinationales et l’OTAN. Aujourd’hui, c’est l’UE qui finance la guerre ukrainienne contre la Russie, un véritable suicide collectif vers lequel les agents otano-européistes nous mènent.
Mais l’UE, hormis les gouvernements de soumission, peut compter sur les médias mainstream de tous les pays. La grande angoisse du Point, qu’on devrait rebaptiser Oligarchie Hebdo, en tous points identique à L’Express ou à L’Obs, est là :
C’est-à-dire se faire baiser par les Américains. Ce qui est déjà le cas puisque la Corruption européenne de Leyen a décidé, dans notre dos et contre les intérêts de 450 millions de citoyens (plus les millions de migrants prévus par Soros & Schwab), de nous priver du gaz russe, abondant et pas cher, pour le remplacer par le gaz de schiste américain, abondant mais cher. Et en plus il faut construire des terminaux méthaniers...
Si ce n’était que le gaz, mais il y a aussi les faux vaccins, qui nous ont déjà coûté 71 milliards, sans que les peuples aient leur mot à dire. La démocratie participative est le plus grand piège politique du XXe siècle : une fois « choisis » par le peuple, les élus tournent aussitôt casaque et travaillent pour l’oligarchie.
Les européistes corrompus de la Commission nous ont baisés et ils vont encore se faire baiser par les Américains, et ce sera nous qui payerons les pots cassés. Cette ordure de Leyen, qui devrait être en prison à vie, a encore fait un chèque de 50 milliards pour l’Ukraine, pour qu’une Ukraine exsangue poursuive des combats perdus d’avance... Et toute l’engeance diplomatique des 27 ne pèse rien devant le petit Israël, qui génocide tranquillement devant les caméras du monde entier.
Nous sommes vraiment gouvernés par des assassins et des voleurs, et tout ça, au nom de leur sacro-sainte eurodémocratie. C’est pourquoi les peuples finissent toujours par tomber dans le fascisme, ou le totalitarisme. Le pire, c’est que les tyrans de la Commission savent l’Ukraine dans le rouge, car c’est nous qu’ils veulent aussi saigner ! C’est encore Le Point qui l’écrit :
Et Delors, dans tout ça ? Bah, c’est Leyen 1.0, le traître originel, celui qui a compris, comme l’écrit Nicolas Gauthier sur Boulevard Voltaire (Pourquoi Jacques Delors a dit non à la présidentielle de 1995 !), que le pouvoir de décision allait quitter la France pour Bruxelles :
Jacques Delors n’était pas taillé de ce bois. Ce qui ne l’empêchait pas d’être lucide quant à l’évolution des institutions de la Cinquième République, sachant mieux que personne que dans celles à venir, européennes et par lui en grande partie concoctées, le Président serait effectivement – majorité au Parlement ou non – un « fantoche ». Il savait déjà où se nichait le véritable pouvoir : dans ces instances européennes cooptées en totale consanguinité et se moquant comme d’une guigne de la volonté populaire.
La preuve, le Français Moscovici, quand il était à la Commission, avait plus de pouvoir que le président Hollande. On peut donc parler d’une double trahison, sociale et nationale.
"Hommage national" à un des grands liquidateurs de la Nation, Jacques Delors.
La symbolique est redoutable : le drapeau français dans un cercueil sous le drapeau européen. pic.twitter.com/ajEH8k7M3J— Philippe Murer (@PhilippeMurer) January 5, 2024
Où est le peuple ?
On dirait la même équipe que le 11 janvier 2015, lorsque toute l’oligarchie, et les hauts indignitaires des loges, ont manifesté pour Charlie. Il ne manque plus que Netanyahou, sur cette cour pavée de bonnes intentions... Mais il est très très occupé, et occupant.