Venant de ce genre d’institutions, on peut deviner au-moins deux niveaux de raisonnement implicites :
premier niveau, celui des sous-fifres naïfs : "seuls les Blancs sont racistes".
Certes, les racistes n’ont pas de couleur, et ils souillent tous azimuts. Il n’y a qu’à vivre un peu à l’étranger (ou parmi les étrangers) pour le vérifier. C’est encore plus manifeste sur Internet.
Mais en dépit de cette évidente réalité, une propagande massive et bien culpabilisante parvient à convaincre les masses que, décidément, seuls les Blancs sont racistes. Finkelkraut et Bouteldja jouent finalement dans la même pièce de théâtre...
second niveau de lecture, celui des commanditaires : "seuls les Blancs doivent être traités" pour docilement se laisser ensevelir sous des coulées migratoires. Coincés entre un endoctrinement sinistre et une haine stérile, ils n’ont pas le droit de comprendre.
Dans ce scénario, les peuples du Tiers-Monde doivent être humiliés et victimisés. Ils attendent leur départ, assommés de propagande hollywoodienne, d’ignorance, de corruption, de misère, et parfois de bombes.
La mer franchie, ils échouent presque toujours dans des banlieues tristes, prisonniers perpétuels d’emplois médiocres. Leurs enfants vivotent de petite délinquance ou de petits boulots, et s’enlisent dans une acculturation débilitante et aliénante, dans un désespoir aussi toxique qu’inoffensif.
Les Blancs et les non-Blancs, ce sont les rats de Laborit (à partir de 7’25). Désorientés et abrutis, ils se tapent inutilement sur la gueule pour mieux supporter leur condition d’esclave...
Enfin les captifs lucides de tous bords et de toutes origines doivent passer pour des fous, marginaux ou monstres.
Par ce jeu pervers, et sous l’influence de forces qui la dépasse, "l’élite" prédatrice transnationale, insensible, décomplexée et auto-satisfaite, cherche l’épuisement et la résignation du monde pour étendre enfin son pouvoir sur toute chose.
Dans sa folie, elle oublie Dieu. Mais Dieu ne l’oublie pas...
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