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L’effondrement du discours victimaire de Godrèche devant la tenue de sa fille Tess

Qui c’est qui promeut la culture du viol, là ?

Ce qui devait arriver arriva, ou, comme le disent les philosophes, l’éternel retour du réel. Le ciel est tombé sur la tête de la Goldreich qui commençait à prendre celle de toute la France avec ses très opportunistes pleurnicheries post-féministes : sa fille, habillée de mœurs légères – ça n’a pas dû échapper à la mère – a déclenché un shit storm sur les RS.

 

En gros, tu nous infliges des leçons de morale anti-violences faites aux femmes, et ta fille on dirait toi à 15 ans ! Foutage de gueule intégral ou inconscience manifeste ?

 

 

Les mecs en ont marre de se faire insulter par ces professionnelles de l’hypocrisie qui exploitent et pervertissent le vrai féminisme. Tout pour leur gueule, les autres femmes, elles n’en ont rien à battre. C’est vraiment un truc de bourgeoise oisive, qui passe son temps à accuser les hommes qui seraient à l’origine du bannissement des femmes dans la société.

Mais quel bannissement ? C’est une société anti-patriarcale au possible qui protège les femmes comme jamais, avec quelques ratés du côté des flics, mais ces derniers sont aujourd’hui en sursaturation. Et ça ne concerne pas que les femmes victimes. Le problème n’est donc pas que les flics seraient sexistes, bien au contraire : comme les juges, ils donnent à 99 % raison aux femmes dans les conflits conjugaux.

On l’a vu, de nos yeux vus, chez un frérot qui n’avait pas touché sa femme, qui, elle, avait compris qu’elle avait le droit de se victimiser aux yeux de la police, en toute tranquillité, afin de réclamer le maximum contre son ex. C’est ça, la réalité derrière les féminicides, aujourd’hui. Une réalité qui ne compte pas aux yeux des féministes, car le détournement par les femmes de la loi Schiappa ferait mauvais genre...

 

 

Au-delà de cette perversion généralisée, qui voit dans chaque homme une possible source de revenus, pendant et après le couple, le cas Goldreich interpelle. Les médias et le politique, qui ont relayé sa pleurniche avec une complaisance empreinte de culpabilité, l’ont aujourd’hui dans le cul, et bien profond. La pomme ne tombant jamais loin de l’arbre, on voit la mère à travers la fille, et la fille à travers la mère. Les RS, ce tribunal populaire, ont parlé :

« Pour une femme qui dénonce les abus et agressions sexuelles dans le cinéma… Elle exhibe sa fille quelque peu déshabillée. »

« Hilarant, maman va présenter sa fille à poil à des producteurs réalisateurs. »

Ces réactions pourtant naturelles ont remis une pièce dans la machine à godréchiser :

On écoute maintenant Tess, ce génie pistonné, qui on l’espère, dans 30 ans, ne fera pas la même tournée que sa mère...

 

 

Ella Kelian, qui se dit conseillère en com’ à l’Assemblée et au Sénat, a voulu défendre les Goldreich en dénonçant la « fachosphère », ce qui permet d’éviter toute remise en question féministe :

« Elle s’appelle Tess Barthélémy, elle est la fille de Judith Godrèche, elle a 19 ans, et elle fait ses premiers pas au Festival de Cannes….

Jusqu’à là rien d’anormal, sauf que la fachosphère, celle-là même qui s’étouffe dans son vomis à la vue d’une femme voilée, s’étouffe également à la vue de cette jeune femme à cause de sa robe au dos entièrement décolleté…

Pourtant depuis 1972, cette même fachosphère du "c’était mieux avant" glorifie encore Mireille Darc, dans le Grand Blond avec une chaussure noire, film devenu mythique, précisément grâce à une robe au décolleté identique..

Mais pour la robe de Tess Barthélemy, la fachosphère a un avis bien différent, à longueur de tweets, les extrémistes expliquent "qu’il ne faudra pas venir pleurer si cette jeune femme se fait violer" que "cette robe est une incitation au harcèlement", et autres joyeusetés…

En 2024, la "femme libre" est aussi insupportable aux Mollahs Iraniens qu’aux fascistes français, présentée comme un être condamnable, son corps est perçu tel un instrument maléfique que l’homme du haut de sa "toute puissante virilité" ne pourrait donc que châtier, offrant à cet indigne objet du désir une sanction bien méritée… »

Faut quand même pas exagérer, Ella : la mère nous fait la leçon du matin au soir sur les violences faites aux femmes dans un monde du cinéma bourré de prédateurs, et soudain, grisée par sa tournée triomphante, voilà qu’elle y fourre sa fille à moitié à poil ! Faut savoir... Ou alors le rôle de la Judith est plus tordu qu’on ne l’imagine.

Il n’est pas question de fachosphère ni de mollah mais simplement de bon sens. Pour les féministes, quand le corps de la femme peut servir son pouvoir, ça fait partie du droit de « la femme libre » ; mais quand la séduction se retourne contre elle, c’est soudain de la culture du viol.
Heureusement qu’il reste des femmes honnêtes !

L’arnaque Godrèche

 






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  • Il est clair que la jeune Gottreich dans cette tenue va plutôt à la pêche au producteur (Weinstein, Benchamoul, Polenski…) qu’à un concours d’éloquence poétique.

    Il n’y a pas si longtemps, les « actrices » était aussi des « mondaines » c’est à dire que la proximité de ces femmes publiques avec le monnayage de leurs talents était admis.

    Pauvre Judith, tout tombe à plat.

     

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  • Quel "vrai féminisme" ? Les femmes ont déjà tout ce qu’elles veulent, mais pas ce dont elles ont besoin, à savoir le patriarcat. Je crois que Maman Godrèche est complètement perchée et que fifille suit exactement le même chemin, dans un sens c’est triste et pitoyable.

     

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  • #3367229

    Le cinéma, c’est le règne de l’ambiguïté (euphémisme) : si on ne connaît pas Judith Godrèche et sa fille, on peut penser en regardant les deux premières photos qu’il s’agit d’un couple d’homosexuelles qui se tiennent par la main (l’une avec des cheveux très courts et un tailleur-pantalon, l’autre avec de longs cheveux ondulés et une robe décolletée).

     

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  • On voit bien que Judith Godrèche n’a pas inventé l’eau chaude et qu’elle est grisée par toute l’attention qu’elle reçoit…

    Personnellement, je suis plus choquée par Bella Hadid qui montre ses seins à Cannes dans une robe transparente alors que le carnage continue en Palestine que par Judith Godrèche et sa fille…

     

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  • Le roman de T. Gautier "le Capitaine Fracasse" relate les tribulations de (vrais) comédiens de théâtre, action située vers le 17e ou le 18e siècle.
    Il fallait du courage, de l’endurance à la faim et au froid et parfois à l’opprobre de familles, pour exercer ce métier.
    Les jolies comédiennes, si elles pouvaient échapper à l’errance du métier (de ville en ville) en se faisant remarquer par un noble personnage ou un bon bourgeois, n’hésitaient pas à sauter le pas.
    Ce n’est pas, ne peut être et n’a jamais été un métier très vertueux ; la plupart du temps, on y gagne la misère.
    Une femme n’est pas obligée de le faire. Si elle fut star en son temps, c’est déjà beaucoup. Combien, talentueuses ou belles pourtant, ne le seront jamais. Car le talent n’est pas tout. Il faut un coup de pouce ou deux, un impresario intelligent. De la prospérité générale.
    BB se retira lorsqu’elle estima que son âge ne collait plus avec son image d’ingénue libertine.

     

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  • Un truc qui m’interpelle, et qui devrait être pointé par les féministes sérieuses :
    Il faut choisir, soit assumer la frustration qu’on génère et les réactions que ça engendre, soit renoncer à se présenter hypersexualisée dans l’espace public...
    Dans ce genre de cérémonies, je crois que les hommes sont censés porter une tenue "décente", mais ça a pu changer avec le temps, tout ça m’est complètement étranger.
    Il semblerait logique que les femmes, dans une logique d’égalité de traitement, en fassent de même. Ou a contrario, qu’on accepte que les bonshommes y aillent en moule-burnes avec un concombre dans le slibard.
    Cette Tess valide juste un souhait d’être reconnue comme objet de désir, en exhibant le maximum de peau. Et ça coince parce que ça se fait aux yeux du monde entier, de tous les frustrés qui n’auront jamais accès à une jeunette bien-née.
    Après, il suffit de pas regarder tout ce cirque du showbiz, on s’en fout non ?

     

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    • Effectivement on s’en fout, surtout du côté du showbiz français sans talent, sans beauté, consanguins et chiant comme la pluie, le showbiz américain est nettement plus intéressant selon moi. Pour répondre à ce que tu dit sur le féminisme, toujours selon moi, en fait normalement c’est le sexe opposé qui décide de ce qu’est une personne attractive ou non ou si c’est un tapin ou non etc puisque c’est lui qui s’imagine être avec ou non et ses critères découlent de sa nature ainsi que de traditions qui ont apporté une structure à sa nature afin de s’élever. Mais aujourd’hui le féminisme est tellement dans un suprémacisme hors sol qu’il veut que seulement lui et lui seul décide de qu’est-ce qu’un homme attractif ou non et également pour les femmes, et on voit bien qu’en plus pour les femmes c’est carte blanche absolue peu importe leur tenue, attitude, manière de se parler, de se tenir, de s’entretenir etc...les hommes doivent obligatoirement les considérer comme des déesses et eux à l’inverse, peu importe qu’ils soient les plus exemplaires et aient effectuer le travail le plus difficile sur eux, s’ils ne se soumettent pas à ce délire ce sont alors de facto des ignobles fachos. Donc voilà, le féminisme veut décider pour les deux sexes de ce qui est attractif ou pas avec permission absolue pour les femmes bien évidemment et soumission à cette paresse sadique pour les hommes et c’est pourquoi ça coince de plus en plus (et bien évidemment, dépendemment de l’originie ethnique des hommes cela varie puisque plus ils sont bestiale et bronzé plus elles mouilles. A force de niveler par le bas elles se rapprochent toujours plus de leur aspect bestial tourné uniquement sur la chaire finalement. Et avec les wokes, elles en rajoutent une louche sur l’incohérence).

       
  • Elle est mieux de dos que de face la Tass...Tess.

     

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  • Pour ceux qui comparent la robe de Mireille Darc et celle de la fille de Judith Godrèche, il y a plusieurs différences qui ne permettent pas cette comparaison : M.Darc porte cette robe dans un film pour une situation bien précise du film et dans l’intimité d’un salon même si le film a été vu par des millions de gens le contexte est différent... De plus la robe a un côté très austère devant et un côté très dénudé derrière, c’est ce contraste qui rend la tenue belle et intéressante. Mireille Darc , elle, a par ailleurs un age qui lui permettrait de se défendre si besoin était et si on transposait cette scène dans la réalité. La fille de J. Godrèche est aussi ""décolletée" devant que derrière...Cela finit par faire trop (question d’équilibre, d’esthétique, de classe, et la robe est portée pour être vue par le plus de monde possible, lors d’une présentation au monde en quelque sorte et par une jeune fille certainement encore ""influençable"" si l’on en croit les récits de sa mère. C’est une vraie faute de goût et d’intelligence. Toutes ces robes finissent par être ""trop "", beaucoup trop, comme celle que portait une réalisatrice actrice Américaine que Camille Cottin a présentée lors de l’ouverture (le seul petit moment au j’ai regardé) ...Sa robe était tellement décolletée qu’on se demandait comment la femme qui la portait pourrait bouger sans risque...De plus esthétiquement la femme ressemblant à une nageuse Soviétique cela n’était pas joli.Un peu de bon sens, de lucidité et de personnalité serait tellement agréable à regarder plutôt que cet étalage de chair...toujours plus et encore plus....

     

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  • J’ai copié quelques lignes de cet article que j’ai publié en commentaire sous des vidéos youtube et à ma grande surprise, j’ai recudes réponses de femmes me disant être d’accord.
    Ca fait du bien et permet de garder espoir.

     

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  • La frontière entre "culture du viol" et "marchandisation du corps" c’est seulement le chiffre sur le chèque.

    Problème : le Capital est en crise mondiale ... et les chèques se font rare.
    Alors les prostituées du Capital jouent leur dernière carte.
    Qui ne fait qu’accélérer la chute de la société du spectacle.

    Admirez le spectacle, en mangeant du saucisson et en buvant du gros rouge qui tâche.
    Leur monde est fini.

     

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