En octobre 2020, le Dr Andrew Hill a été mandaté par l’OMS pour évaluer l’efficacité de l’ivermectine. Son travail consistait à faire un rapport qui se voulait une synthèse des dizaines d’études effectuées dans le monde entier qui confirmaient l’efficacité de l’ivermectine dans le traitement du coronavirus. Andrew Hill a échangé avec deux médecins américains, le Dr Paul Marik et le Dr Pierre Kory, ainsi qu’avec la scientifique anglaise Tess Lawrie au sujet des données enthousiasmantes qu’ils avaient observées en soignant les personnes.
Dans une prépublication, Andrew Hill écrivait que l’ivermectine était associée à une réduction de l’inflammation, à une clairance virale plus rapide, une hospitalisation plus courte avec une récupération clinique favorable et une baisse de la mortalité de 75%. Cependant, il concluait que l’ivermectine devait être validée par de larges essais randomisés à grande échelle afin qu’une recommandation puisse être établie par les autorités règlementaires nationales et internationales.
Des conclusions évaporées dans sa publication : face à la sévérité de l’épidémie et l’urgence de soigner, Tess Lawrie lui écrit le 17 janvier 2021 pour lui demander de retirer son article, qui pourrait causer de graves dommages en décourageant l’autorisation de l’ivermectine pour soigner le Sars-CoV-2. Le jour suivant, un échange enregistré en visioconférence révèle un Andrew Hill visiblement embarrassé qui se défend maladroitement. Face à lui, Tess Lawrie essaie désespérément de le faire changer d’avis, n’hésitant pas à user de tous les arguments culpabilisants, parlant des patients hospitalisés en soin intensifs ou en train de mourir.
Qui sont les auteurs cachés qui ont influencé le jugement d’Andrew Hill ? Pourquoi ne sont-ils pas mentionnés dans l’étude scientifique ? Des questions laissées sans réponse par un Andrew Hill qui ne peut masquer son immense gêne. Toutefois, Andrew Hill reconnaît que Unitaid, association pour laquelle il travaille, avait son mot à dire dans les conclusions de l’étude. Les trois scientifiques découvrent alors que Unitaid n’est pas l’œuvre de charité qu’elle prétend être et que de sombres intérêts se cachent derrières les nobles intentions.
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Un scandale ivermectine ? Qui se cache derrière les conclusions modifiées de l’étude du Dr Andrew Hill ?
Qui a changé les conclusions scientifiques d’un article qui aurait pu sauver des millions de vies ? Au moins, nous pourrions avoir un nom.
Lors d’un appel urgent au Dr Hill, lancé par le Dr Tess Lawrie, directrice de l’Evidence-based Medicine Consultancy, le Dr Hill a admis que l’un des commanditaires de son étude, Unitaid (Organisation internationale de l’achat de médicament), avait eu son mot à dire dans les conclusions de son article. Mais il n’a pas voulu divulguer le ou les noms de ceux qui ont modifié les conclusions de l’article.
Cependant, maintenant, "The Digger" sur Substack (alias le producteur/réalisateur Phil Harper – cf. vidéo ci-dessous) a révélé le nom de la personne qui aurait pu modifier les conclusions de l’article, ce qui a conduit l’OMS à ne pas recommander l’utilisation de l’ivermectine. Cette décision aurait entraîné la mort de millions de personnes dans le monde, mortalité qui aurait pu être évitée.
Le professeur Andrew Owen est la personne qui aurait édité l’article critique d’Andrew Hill sur l’ivermectine. Il recevait également des honoraires de consultant de la part de sociétés pharmaceutiques proposant des produits concurrents.
Il s’avère qu’Andrew Owen est professeur de pharmacologie et de thérapeutique et codirecteur du Centre d’excellence sur les thérapies à action prolongée (CELT) à l’université de Liverpool. Il est par ailleurs conseiller scientifique auprès du groupe de développement des directives Covid-19 de l’OMS. Quelques jours avant la publication de l’article du Dr Hill, une subvention de 40 millions de dollars d’Unitaid, le sponsor de l’article, a été accordée au CELT, dont Andrew Owen est le chef de projet.
Il recevait de l’argent pour la recherche de la part de Vir et de GlaxoSmithKline, qui avait un médicament sur le point d’être mis sur le marché et que l’Ivermectin aurait empêcher. Son étude sur ce médicament n’a donné aucun résultat et a rapporté 3 millions de livres à son employeur. Il a reçu des honoraires de consultant et de l’argent pour la recherche de la part de Merck, qui avait également un médicament à venir sur le marché qui aurait été empêchée par l’Ivermectin. Il a fait partie d’une étude sur ce médicament qui a conclu qu’il était sûr, en dépit de problèmes de sécurité crédibles suggérant qu’il ne l’était pas. Le fondateur de la société propriétaire de ce médicament était co-auteur de cette étude. Son département a reçu d’énormes sommes d’argent d’Unitaid, des personnes dont Hill a dit qu’elles avaient leur mot à dire dans les conclusions des documents de recherche critiques. Il était actionnaire d’une société qui cherchait à commercialiser la "technologie des médicaments injectables à longue durée d’action". Il recevait également des honoraires de consultant de la part de Gilead, qui fabrique le Remdesivir ; la sécurité, l’efficacité et les coûts-bénéfices de l’Ivermectin auraient également empêché ce projet. C’est cette personne qui a préparé les éléments de preuves sur l’Ivermectine, éléments sur lesquels l’OMS a pris sa décision.
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