Nous sommes dans Quotidien, l’émission phare des communautés victimaires minoritaires qui disposent de la majorité du temps de parole dans les médias. Yann LGBT Barthès reçoit Justine Censure Ryst, la DG de YouTube France.

Impôt à la source sur la liberté d’expression

Vous allez voir que la censure est tellement ancrée dans l’esprit de ces gens-là, qu’ils ne la discutent même plus, elle fait partie de leur structure mentale, et ils ne se rendent compte de rien. Ils coupent la parole de millions de Français, sous prétexte de lutte contre la pédocriminalité ou l’antisémitisme.
Heureux les idiots, car ils nous diront qui ils sont.

LGBT : Comment vous faites le ménage ? Parce qu’il y a aussi des vidéos complotistes, y a des vidéos violentes... Comment vous faites le ménage ?

Censure : Là on va sur le sujet en fait de nos règles d’utilisation. Déjà, YouTube, au départ, ça commence avec des règles de communauté, des principes de ce que vous pouvez faire et de ce que vous pouvez pas faire sur YouTube. Donc si vous faites des vidéos qui sont complètement non conformes à nos règles d’usage, déjà on a bâti une infrastructure qui permet de manière totalement automatisée de détecter ces enfreintes.

LGBT : Ce sont des robots qui détectent, c’est ça ?

Censure : Exactement, d’ailleurs, ça fait 20 ans qu’on utilise l’IA, l’intelligence artificielle, dans ce cadre. Euh, 95 % des vidéos qui enfreignent nos règles d’usage sont détectées avant qu’elles n’aient fait 10 vues. Donc c’est vraiment à la source, voilà, incitation à la violence, à la haine, au racisme, etc. Le dernier kilomètre, on a des équipes de modérateurs, on a à peu près 20 000 modérateurs, des humains, qui sont partout dans le monde, qui sont dans les bons fuseaux, qui sont dans les langues, et qui vont faire l’appréciation du dernier kilomètre.

LGBT : Il y en a en France ?

Censure : Bien sûr, on a des réseaux de signaleurs de confiance, donc ça ce sont vraiment des partenaires comme des associations. En France on a la LICRA, on a e-Enfance, qui ont un chemin d’appel prioritaire, vraiment un bouton lorsqu’ils détectent une vidéo qui n’est pas conforme, puisse nous remonter directement.

Les bretelles ?

Au lieu de réagir à cette énormité, la censure préalable par une communauté minoritaire non élue en république sur une plateforme quasi publique, l’animateur enchaîne sur l’efficacité de YouTube par rapport à X, efficacité dans la censure, s’entend.

C’est énorme, aucun des journalistes en plateau, Barthès, mais aussi Aphatie ou la rouquine qui ne parle que de cul, ne bronche. Alors qu’ils s’agit là d’une censure oligarchique éclatante, d’une retenue à la source, et d’une mainmise de fer sur la liberté d’expression.
Dans ce cas, et selon le principe d’égalité républicain ou laïc, pourquoi pas des assoces islamiste et catholique qui disposeraient du même bouton rouge, qui permet de trapper les contenus qui leur déplaisent ?

On a stoppé là notre lecture, on avait notre butin.