Depuis plusieurs semaines, l’élection américaine semble pliée : les dernières allégations sur le comportement sexiste de Donald Trump ont coupé le candidat de son parti tandis que les sondages s’annoncent sous les meilleurs auspices pour Hillary Clinton. Un homme continue de croire en la victoire de Donald Trump. Il n’est pas encarté chez les Républicains mais peut se targuer de taper juste, depuis 30 ans, dans ses prédictions.
Professeur d’histoire à l’American University, Alan Lichtman réduit la victoire à la présidentielle à 13 facteurs « vrai ou faux ». Si 6 de ces facteurs sont « faux », le candidat du parti en place rate le coche. « Une réponse favorable à chacune de ces questions favorise toujours la réélection du parti en place », explique-t-il au Washington Post. Depuis 1984, son analyse a fait ses preuves aux États-Unis.
Voici [quelques unes de] ces affirmations :
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5 - L’économie n’est pas en récession pendant la campagne
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9 - Le pouvoir en place est visé par le scandale majeur
10 - Le gouvernement sortant ne souffre pas de défaillance majeure dans le domaine des affaires étrangères ou militaires
12 - Le candidat du parti au pouvoir est charismatique ou un héros national
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Selon Jean-Michel Vernochet, Hillary Clinton rime avec guerre... contre la Russie :