Au-delà de la corruption des élites économiques et politiques il faudrait un jour s’interroger sur le moteur profond de cette évolution expansionniste.
Si l’Homme n’avait pas envie de toujours plus la conquête de technologies et d’espaces ne serait pas appuyée.
A chacun de comprendre cela et au système éducatif de mettre en évidence ces mécanismes d’abord biologiques qui gouvernent à nos comportements.
L’habituation est certainement la mère de nos servitudes et bien comprise par les dominants, de notre asservissement.
Quand pour gouverner il suffit d’expansion tout est dit. Qu’elle soit matérielle d’abord pour assurer les besoins fondamentaux puis territoriale pour les assurer durablement via un « progrès » qui n’est que technologique et qui achète les arts et lettres afin de maquiller le tout en « progrès humaniste ».
Et tout ce petit monde de vouloir et pouvoir y croire tant que cela fonctionne, même quand on fine seules les guerres (la destruction) permettent de redonner cette sensation de plus et mieux !
Vouloir comprendre en s’arrêtant au « comment » est certainement l’erreur que beaucoup de spécialistes flattés par leurs lectorats ou auditoires font.
Sauf qu’à s’arrêter au comment on passe d’un dominant de telle obédience à un autre d’une obédience différentes mais ne remettant pas en cause le système.
Si l’on recherche la liberté il est essentiel de comprendre les causes profondes dans l’humain et d’aller au « pourquoi » en étudiant son système nerveux et en comprenant le rôle de son cerveau, ce qu’ont fait depuis longtemps les dominants en frottant ses élites à la psychosociologie et en utilisant toujours plus les neurosciences.
Dans une guerre de l’information qui est en réalité une guerre cognitive il faut s’armer en conséquence.
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