L’annonce de la démission du gouvernement Iatseniouk a fait mettre bas les masques au FMI et à sa mainmise sur les finances du pays.
Après l’annonce de l’ambassadeur américain la semaine dernière, déplorant la démission du gouvernement, c’est Christine Lagarde, directrice américaine à passeport français du FMI qui a mis les points sur les « i », le 30 juillet, à l’establishment politique de Kiev :
« Nous attendons les résultats de la session extraordinaire de la Verkhovna (rada d’Ukraine), le 31 juillet. S’il y sera appelé à la tenue plus tard dans l’année d’élections générales, nous pousserons certainement, les dirigeants politiques ukrainiens à confirmer le programme de soutien actuel, et de montrer qu’ils s’engageront à respecter les obligations souscrites dans ce cadre. »