Les forces de l’OTAN engagées dans les opérations aériennes en Libye sont à court de munitions. C’est le constat surprenant que dresse, samedi 16 avril, le Washington Post, qui cite, sans les nommer, de hauts responsables américains et de l’Alliance atlantique.
Pour le journal, cette pénurie met en lumière les limites du Royaume-Uni, de la France et des autres pays européens à mener dans la durée une opération militaire relativement modeste.
Depuis le début des opérations, fin mars, 800 missions de bombardement ont été menées par la coalition. En première ligne au début des opérations, les Etats-Unis ont abandonné les frappes à leurs alliés – France, Grande-Bretagne, Belgique, Norvège, Danemark, Canada – pour se concentrer sur des missions de reconnaissance et de soutien logistique.
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