L’Inde est un vieux pays complexe et compliqué, d’où sa beauté, sa lenteur et sa corruption. Il y a des lignes de tensions entre différentes ethnies et religions, entre les egos de divers fiefs, le séculier et le religieux, l’évident et le caché, la beauté et la saleté, la famille et l’individualisme, la ville et la campagne, le reculé et le favorisé, le sud et le nord, le développement matérialiste jouisseur et le développement matérialiste frugal, la modernité et la tradition, la décolonisation et l’insinuation américaine.
L’Inde a fait de grands bonds depuis le développement de l’informatique. C’est aussi par là que pénètre la décadence qui va corrompre les esprits. La diaspora anglophone influence grandement les mœurs et pèse économiquement. La diaspora reste indienne et 100 % acquise au pays où elle réside. Les médias regardent vers les USA et l’Angleterre. L’Inde doit revenir à un équilibre qui favorise les campagnes et soutient son agriculture.
Les atouts de l’Inde : son attractivité, sa réceptivité, sa positivité, son énergie, son enthousiasme, sa confiance, sa modestie, son envie de bien faire pour eux et pour les autres (comme la Chine), son suivisme (comme la Chine).
Les choses à améliorer : la corruption, le manque de réalisme, les rêves délirants, le bien commun, les querelles de clans, la persévérance.
L’Inde est en phase de développement accru. Il lui faut donc aujourd’hui de la patience, de la sincérité, de la préparation et de la réflexion (sortir de la défensive). Donc favoriser une ouverture. La différence entre une réaction et une réponse est le fait de se servir plus de ses sens que de sa mémoire. Être réceptif, c’est attirer à soi.
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