« L’Inde est-elle le premier pays au monde à avoir vaincu la pandémie ? », ainsi titre Le Figaro du 17 décembre, qui y répond bien sûr, ceteris paribus, par l’affirmative, mais sans citer une seule fois... l’ivermectine. Cela relève d’un véritable tour de force que seuls nos journalopes de compétition, serviles valets des pouvoirs, peuvent réussir sans frémir. Le 15 décembre déjà, nos amis belges avaient eu droit au même (à un mot près) « L’Inde est-elle le premier pays au monde à avoir vaincu la pandémie de coronavirus ? » avec le même narratif. Les Échos pour leur part déclarent : « Covid : l’Inde regagne la croissance perdue », mais toujours pas un mot sur le mot interdit, l’ivermectine ! Il faudra bien un jour juger cette « meute médiatique » comme disait le général chez Morandini.
À ce propos, justement, Paul Craig Roberts a commis récemment un texte sur l’Inde et l’ivermectine, dont nous vous proposons ci-dessous notre traduction.
Les mesures extraordinaires auxquelles nous assistons en Autriche et en Europe et la nouvelle selon laquelle l’Australie déplace les patients atteints du covid et leurs contacts dans des camps de quarantaine constituent la preuve que les mesures contre le covid n’ont aucun rapport avec la santé publique. (Twitter)
Le HCQ et l’ivermectine sont des remèdes et des moyens de prévention connus contre le covid. Les preuves sont accablantes. Dans la plus grande province de l’Inde, l’Uttar Pradesh, avec une population dense trois fois plus importante que la population combinée de l’Australie, du Canada et de la Nouvelle-Zélande, le covid a été contenu par l’utilisation de l’ivermectine. (Indian Express)
Dans aucun pays la vaccination contre le covid n’a connu de succès, et encore moins un succès comme celui de l’ivermectine en Inde.
De faux sites de « vérification des faits » financés par Big Pharma ont tenté d’enterrer la nouvelle du succès de l’ivermectine en Inde en la couvrant de désinformation afin de protéger les profits de Big Pharma.
Dans l’Uttar Pradesh, l’ivermectine a été utilisée aussi bien à titre préventif que curatif. Une pilule par semaine éloigne le virus. De plus, il est parfaitement établi que la mortalité due au covid est essentiellement limitée aux personnes atteintes de maladies graves qui ne sont pas traitées avec de l’HCQ ou de l’ivermectine lorsqu’elles attrapent le covid, mais sont laissées à elles-mêmes pour se rétablir et lorsqu’elles ne le font pas, elles sont tuées dans les hôpitaux à l’aide de respirateurs ou de remdesivir, deux « traitements » dont l’échec est avéré.
Le confinement autrichien n’a aucun sens pour plusieurs raisons. La plus évidente est que le confinement autrichien ne s’applique pas aux personnes qui vont travailler. Un grand pourcentage d’Autrichiens sera donc libre de se déplacer. Quel est l’intérêt de permettre aux gens de se rendre au travail mais pas dans un restaurant ? C’est trop bête pour être dit et cela doit avoir un autre but.
Dans Law, Legislation, and Liberty, Friedrich A. Hayek a écrit que les situations d’urgence sont les prétextes que les gouvernements utilisent pour réduire les libertés civiles et que les effets persistent une fois que la situation d’urgence est passée ou que la prétendue situation d’urgence est révélée. Au cours des 20 dernières années, nous avons assisté à l’érosion des libertés civiles à cause de la « guerre contre le terrorisme » et maintenant à nouveau sur la base d’une fausse « pandémie de covid ». Le président George W. Bush a utilisé le 11 Septembre, une attaque sous faux drapeau évidente, pour mettre de côté la protection constitutionnelle de l’Habeas corpus et détenir des personnes indéfiniment sans présentation de preuves devant un tribunal. Le président Obama a utilisé la fausse guerre contre le terrorisme pour exécuter des citoyens sur la base de simples soupçons, sans procédure légale régulière. Aujourd’hui, des gens perdent leur emploi, leur entreprise et leur liberté à cause d’un virus parfois mortel, dont la prévention et la guérison sont bloquées par Big Pharma et le protocole covid de Big Médecine.
Lorsque l’Union soviétique s’est effondrée et que la Chine a abandonné le communisme, les gens s’attendaient à ce qu’un règne de liberté en résulte. Au lieu de cela, le monde occidental a assisté à une attaque contre la liberté civile qui rappelle la vie sous Staline et Mao. En Amérique aujourd’hui et dans tout le soi-disant « Occident libre », les gens sont punis pour avoir exercé les droits du premier amendement. La Constitution et les lois sur les droits de l’homme ne les protègent pas. Le journaliste Julian Assange est détenu en violation de l’Habeas corpus anglo-américain depuis une décennie, et aucun tribunal n’a fait quoi que ce soit à ce sujet. Il n’y a pas de protestations de la part des facultés de droit, des associations d’avocats ou des journalistes. Une conclusion évidente est que les membres des institutions conçues pour soutenir la liberté civile ne croient plus en la liberté civile.
Comme la croyance en la liberté s’est affaiblie en Occident, à moins que nous ne nous unissions pour la raviver en refusant d’accepter les confinements et les « vaccinations » obligatoires, nous ne serons plus très longtemps libres.