"Ce qui amène a considérer que les organisateurs de ce chaos, s’ils contrôlent l’Amerique et la communauté Européenne, n’en sont pas originaires et ont leurs intérêts ailleurs. Mais QUI sont t’ils donc ? QUI contôle la meute chaotiste ?"
Pourquoi ces organisateurs n’en serait-ils pas originaires ?
Dans chaque pays il y une classe de gens, plus ou moins nombreuse, composée de beaucoup de "locaux", et qui sont bien d’accord pour semer le chaos afin d’augmenter leurs profits.
Allez à n’importe quelle activité de chambre de commerce, mêmes les petites chambres de commerces de provinces, et vous verrez des affairistes partisants de l’immigration massive. Ils se plaignent de devoir payer des salaires trop élevés pour combler les emplois de misère qui les enrichissent, et veulent de l’immigraiton qui acceptera de travailler pour moins, et tirer vers le bas les salaires que les ouvriers locaux finiront par accepter. Tout ça serait "bon pour l’économie", disent-ils.
Au Québec, le premier ministre actuel, François Legault, est un comptable aux accents patriotes (un peu faiblards, mais bon...), coincé avec l’invasion migratoire imposée par Justin Trudeau (car l’état fédéral contrôle les politiques d’immigration). Il avait dit ceci en 2021 au Conseil du patronat du Québec (CPQ), qui est l’équivalent du MEDEF en France :
« À chaque fois que je rentre un immigrant qui gagne moins de 56 000 [dollars], j’empire mon problème. À chaque fois que je rentre un immigrant qui gagne plus de 56 000, j’améliore ma situation.
Moi, mon obsession, c’est d’augmenter le salaire moyen au Québec", a-t-il précisé.
C’est important qu’on se dise les vraies choses. »
Ce à quoi le président du CPQ, Karl Blackburn lui a répondu :
« C’est faux de dire que si on fait venir des travailleurs immigrants, on appauvrit le Québec.
Une citation de Karl Blackburn, président du Conseil du patronat du Québec »
(voir site web de Radio-Canada)
Je ne connais pas l’arbre généalogique de Karl Blackburn, dont le nom est d’origine anglaise, mais je suis à peut près certain qu’il est née au Québec, comme la vaste majorité des anciens présidents du CPQ qui l’ont précédé, et qui tenaient le même discours sur l’immigration.