Même la presse mainstream s’en fout, c’est dire. Plus grand-monde ne tente d’intoxiquer les esprits et les corps avec ces faux vaccins, puisque la communication sur les effets secondaires a saturé les RS. La plupart des octogénaires, malgré la pression des médecins, qui sont intéressés au piquage, ne s’y risquent pas.
Ce matin, ont été remis les dossiers des victimes des effets secondaires à l’ordre des médecins à Grenoble, ville chère à monsieur Veran pic.twitter.com/MMOknCXxra
— VERITY France (@verity_france) October 19, 2023
Les centres d’injection géants ont disparu, comme ces collabos zélés qui faisaient la retape des produits du Big Pharma sur les trottoirs, avec tentes et tables. Quelques pousse-mousse à gel sont réapparus dans des restos et commerces, mais seuls les paranoïaques intoxiqués au dernier degré s’en servent. Une sorte de gel contre la lucidité...
L’Express, en pointe dans la collaboration avec le ministère de la Santé, lui même en lien avec le Big Pharma, pleurniche : seuls 1,8 % des Français de plus de 65 ans, la catégorie prétendument à risque, est allée se faire shooter l’épaule avec un produit peu utile dans la plupart des cas, risqué dans les autres.
Cela n’empêche pas le canard (encore) contrôlé par Drahi (via Alain Weill) de regretter que le chiffre soit « en deçà des attentes des autorités sanitaires dont la stratégie pour éviter un nouvel engorgement des services de réanimation cet hiver repose essentiellement sur la vaccination ». Sauf que ces autorités, plus personne ou presque ne les écoute : le lent travail d’information et de réinformation sur les réseaux sociaux a atteint son but, soit le cœur de la population, le fameux grand public, celui qui se précipitait fin 2021 pour sauver sa peau ou celle des autres, et qui en réalité la risquait avec l’ARN messager...
Signe de l’effondrement de la confiance, cette stat :
À titre comparatif, au 17 octobre 2022, 74,5 % des 18 ans et plus, ainsi que 82,5 % des 65 ans et plus avaient reçu leur première dose de rappel, et 31,3 % des 60-79 ans ainsi que 38,3 % des 80 ans et plus avaient reçu leur deuxième dose de rappel.
En un an, on est passés de 80 % de la population à risque à moins de 2 %. C’est même plus un effondrement, c’est un désaveu total des autorités sanitaires, qui ne méritent plus ce nom, puisqu’elles n’ont plus aucune autorité sur les gens. C’est une victoire totale des antivax, un Austerlitz.
La preuve, le nouveau (ils se crament tous à vitesse grand V) ministre de la Santé passe pour un bouffon. Il faut dire qu’il a déclaré que le nouveau vaccin était sans effets secondaires... Autant se faire hara-kiri en place publique.
Seuls 20% des plus de 60 ans éligibles à la nouvelle dose de vaccin anti-Covid avaient été vaccinés l’an passé. "On a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il n’y a pas d’effets secondaires", assure le ministre de la Santé Aurélien Rousseau. pic.twitter.com/1OVjkn2g22
— France Inter (@franceinter) October 3, 2023
Quel Français est assez débile pour suivre les conseils de « prévention » d’un type qui a le cul plus large que les épaules ? https://t.co/2f6Ncy2652
— Strategieduchoc (@strategieduchoc) October 18, 2023
Le karma, le karma !
Dévbut 2019, Alain Weill reprend l’hebdomadaire. Un au plus tard, au début du covidisme, l’homme d’affaires veut doubler les ventes numériques. Deux ans plus tard, l’objectif a été divisé par deux. Fallait pas pousser les gens à la piquouze !
Wikipédia raconte la chute de popularité du titre.
En janvier 2020, Alain Weill annonce son plan pour L’Express. L’hebdomadaire ambitionne de devenir un genre de The Economist à la française. L’Express adoptera des prises de position plus tranchées, se démarquant ainsi de la presse magazine traditionnelle. L’idée est de traiter davantage l’international tout en se recentrant sur la politique, l’économie, le numérique, les sciences et les idées.
Alain Weill a annoncé un budget de communication de 4 millions d’euros pour annoncer le changement de direction pris par L’Express qui visera les 200 000 abonnements numériques. Cet objectif a été divisé par deux en 2023. L’ambition à court terme est désormais « de maintenir les 100 000 abonnés, en augmentant les prix ». Le prix de vente au numéro est passé de 4,90 à 6,90 euros en deux ans.