C’est triste, mais on pourrait en faire dix comme ça par jour. On est pour la France, la nôtre, pas celle de Macron, ses sbires et ses patrons, mais on se doit de montrer ce que ces sacripants font à notre beau pays : une démolition contrôlée.

Tout en clamant le contraire, ce qui contribue à désorienter les gens, qui ne savent plus s’il faut croire le discours positif ou le réel négatif. Une entreprise de schizophrénisation nationale !

Plus le réel s’enfonce dans le sordide, plus le discours s’envole vers les sommets, c’est le principe de nos ultralibs mondialistes au pouvoir. On paye les gens de mots, de grands mots, comme pour cette fête internationale du sport et de l’amitié entre les peuples qu’on appelle Jeux olympiques. La France macronienne en a fait un delirium sécuritaire qui ressemble plus à l’URSS période NKVD qu’à la France que le Président chante devant les journalistes abasourdis. Même Sotto se réveille ! C’est dire à quel point le contraste est violent.

On ne l’a pas mis en titre parce que ça aurait dépassé de la page : on apprend que la cantoche des athlètes qui sert 40 000 repas par jour doit rationner la bouffe parce que l’organisation n’a pas prévu assez  ! Alors que les sportifs doivent manger deux fois plus que le Terrien moyen : 6 000 calories contre 3 000...

« Un vrai challenge culinaire, un vrai défi logistique... »

Si encore on nourrissait bien les Français et qu’on affamait les autres, on pourrait comprendre, mais là, c’est tout le monde qui déguste. Dans la même veine du rationnement, on en a déjà parlé mais là, les athlètes les ont découverts en vrai, ce sont les lits en carton. On ne fera pas de commentaires, les images suivantes sont suffisamment parlantes :

Troisième couille du jour, le patron de la fédé de judo pète les plombs : on n’a même pas été voir le détail dans Le Parisien à cause de la honte devant le monde entier que cela nous procure.

Gros couac à l’Arena Champ-de-Mars. Alors que les épreuves de judo doivent commencer le samedi 27 juillet, le président de la Fédération internationale de judo a, selon nos informations, piqué une grosse colère, le site n’étant selon lui pas à la hauteur. Marius Vizer, furieux, juge notamment que les tapis ne sont pas d’un standing suffisant pour les Jeux. Mal installés, ils ne répondent pas au cahier des charges fixé par la Fédération internationale.

Selon nos informations, la plateforme de judo et le dispositif pour la pesée ne sont pas encore prêts, ce mercredi. En outre, la salle présente plusieurs marques de saleté. D’un point de vue logistique, la circulation complique la perspective d’enchaîner deux combats en dix minutes comme cela est prévu. Autant de défaillances que souligne la Fédération internationale.

Après le réel pourrave, la version Disney :

Putains de tous les pays, unissez-vous chez nous !

Quatrième et dernière couille, on a gardé la plus grosse pour la fin, la psychose des putes. Oui, les organisateurs ont peur que toutes les putes du monde ou presque se pressent à Paris pour éponger le client. Qu’ils se rassurent : au vu de l’organisation, ni les hôtels ni les Airbnb n’ont fait le plein, et vu les tarifs, les putes auront du mal à trouver des clients solvables. Par exemple, ici, le tarif du coca qui flirte avec celui d’une passe :

C’est Le Figaro qui a titré sur l’effet aspirateur des JO.

En arrière-plan, on distingue une femme en talons aiguilles, auprès d’une voiture. « C’est combien ? », interroge l’affiche en grosses lettres rouges. « En France, c’est jusqu’à 150 000 euros d’amende », réplique la Mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des êtres humains (Miprof), dans sa campagne de lutte contre le système prostitutionnel. Avec l’arrivée de plusieurs millions de touristes pendant les JO, les autorités s’inquiètent « de risques accrus d’exploitation ».

Alors que des milliers de pauvrettes viennent se faire un peu de beurre, l’hypocrite Macronie prend ça pour de l’exploitation. On ne sait pas qui exploite qui : la pute qui exploite la misère sexuelle du client, ou le client qui exploite la femme obligée de coucher pour manger ? Cette histoire bascule évidemment dans le surréaliste avec les assoces pro-putes qui, elles, gueulent contre « le confinement social des travailleuses du sexe ».

Le plus drôle, c’est la division Das Reichette de 14 000 putes qui arrive d’Europe de l’Est et qui a déjà butiné toute l’Allemagne pendant l’Euro 2024 ! Alors que les adultes consentants font ce qu’ils veulent entre eux, les désorganisateurs – on les appellera comme ça, désormais – avancent que les « les JO, ce ne sont pas les mêmes touristes que pour les matchs de foot ; c’est un public beaucoup plus familial » !

Alors les touristes ne seraient pas gênés par 45 000 flics et 10 000 militaires (sur toute la France, hein), des grillages partout, des rats dans tous les coins (de Paris), mais par quelques jolies filles qui officient dans des apparts ?
La France, dans tous les cas, est un immense bordel.

Aurore Bergé, qui est passée par plusieurs partis,
présente son plan anti-prostitution