Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

Cette vidéo résume le livre Sociologie du gamer d’Adrien Sajous.

Le sommaire :

- Le rapport entre les jeux vidéo et le lien social
- Un sketch sur une forme de violence
- Le concept de « mobilité du point de vue »
- Le e-sport
- Le fétichisme de la marchandise
- Comment arrêter de jouer aux jeux vidéo si c’est votre souhait

 

 

Se procurer l’ouvrage Sociologie du gamer chez Kontre Kulture :

Lire également chez Kontre Kulture :

En lien, sur E&R :

 






Alerter

33 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #1659485
    Le 6 février 2017 à 13:56 par MttB
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    C’est sincère, sérieux, fin et didactique (+1 pour la saynète devant l’écran !)

    Bravo et vive la création !

     

    Répondre à ce message

  • #1659492
    Le 6 février 2017 à 14:14 par ellal
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Vous voulez arrêter de jouer aux jeux vidéos : trouvez une nana !
    C’est radical.

     

    Répondre à ce message

  • #1659557
    Le 6 février 2017 à 15:52 par Mehdi
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Avec 30 ans de recul sur le jeu video, oui ca peut isoler, oui quand on a 7 10 15 20 25 ans on peut ne penser qu’a ca, c’est 1 3 5 10 15h de jeu par jour sont manges sur le reste la famille, les etudes etc oui cela peut devenir addictif, mais je dirais c’est comme tout.

    Sauf que de cette activite il n’en sort rien, pour ma part j’ai pu apprendre 2 langues etrangeres grace au jeu video pour le reste, si j’avais mis tout ce temps la, a aller a la bibliotheque et lire ou reviser, mon parcours scolaire aurait ete encore meilleure, certains diront que tout est question de dosage ?

    Mais nous ne sommes pas tous egaux devant les differentes addictions possible jeu video ou Poker, casino, drogue, alcool ou meme cigarette.

     

    Répondre à ce message

    • #1659991
      Le Février 2017 à 06:14 par Georges Abitbol
      J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

      Votre critique concernant l’addiction est correcte. Néanmoins je ne pense qu’on puisse dire "que les jeux vidéos apprennent rien". Le jeux vidéo a le même soucis que le Cinéma par rapport au Livres, dans un film faire passer un message est beaucoup plus dur que dans un livre car on n’a que 2h environ pour faire son film , le livre est plus libre a ce niveau la . Dans les jeux cest l’inverse , pour finir un jeu (aujourd’hui en tout cas ) et en comprendre le message , il faut plusieurs dizaine d’heure , et pourtant le message porter sera seulement aussi fort qu’un film.
      Au final le jeux vidéo reprend les traits du cinéma et y ajoute l’interactivité du joueur.

      Et l’homme est flemmard , la preuve en est il yaura toujours plus de vues pour des vidéos de soral que de lecteurs des ses bouquins

       
  • #1659586
    Le 6 février 2017 à 16:47 par Angron
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Cette vidéo et le livre présenté font très "psychologie de comptoir", en tant qu’ancien joueur je ne me reconnais absolument pas dans ce qui est dit ici.
    Il faut bien réaliser que depuis des années le jeu vidéo est tellement démocratisé qu’il représente un échantillon de la population proche de la réalité.
    On y trouve de tout, que ce soit des crétins, des bobos, des subverstifs, des addicts, des gens cultivés, des jeunes, des vieux, des chômeurs, des salariés, etc...
    De la même façon que Soral analyse le féminisme, la femme comme le joueur de jeux vidéo n’est pas une catégorie sociale en soit.
    Ainsi forcément la majorité de cet échantillon ne possédera pas un niveau de conscience suffisant pour atteindre l’épanouissement mais le jeu vidéo n’est en rien le dénominateur commun.
    Au contraire bien souvent il s’agit de personnes très connectées et par extension plus susceptibles d’accéder à l’information alternative.
    il n’y a qu’à voir les 20-30 ans sur les forums de jeuxvideo.com, ils sont un peu taquins mais largement plus réveillés que des jeunes qui passent leurs soirées devant la télé ou à faire la fête.
    Le coup de l’e-sport qui ne serait pas un sport, de nouveau on a l’impression d’avoir ici le point de vue d’un gros nab (histoire de rester dans le thème) qui ne s’y est jamais vraiment intéressé.
    Bref pour moi cette vidéo respire l’égo intellectuel (pourtant il n’a plus d’avatar virtuel lol) de l’ancien gamer inculte tout fier de montrer qu’il est maintenant cultivé et conscient en faisant passer son expérience personnelle comme une vérité absolue.
    Mon message est un peu cru mais je trouve cette vidéo passablement insultante alors disons que nous sommes quittes :)

     

    Répondre à ce message

    • #1659637
      Le Février 2017 à 18:31 par Vlad
      J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

      @Angron
      Pas convaincu non plus par la vidéo. Le type cherche à simplifier et vulgariser excessivement pour faire un format court mais il finit en fait par dépouiller le livre de sa substance et fait baisser le niveau de l’analyse de Sajous.
      Et je ne comprends pas bien d’où vient cette obsession pour WoW quand il s’agit de critiquer le jeu-vidéo. Se focaliser sur un genre n’est pas nécessaire.

       
    • #1659638
      Le Février 2017 à 18:32 par messas
      J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

      "On y trouve de tout, que ce soit des crétins, des bobos, des subverstifs, des addicts, des gens cultivés, des jeunes, des vieux, des chômeurs, des salariés, etc..."
      je pense qu’on retrouve dans les "catégories" que vous citez essentiellement des célibataires car comme j’ai pu le comprendre dans un autre commentaire, la vie de couple n’est pas trop compatible avec une addiction aux jeux .....virtuels ! sachant qu’il y a bien sûr toujours des exceptions.

       
    • #1660318

      Tout à fait d’accord avec vous, propos réducteur et méprisant, qui témoigne peut-être d’un malaise personnel de l’auteur (cf l’heure la plus sombre sur le sujet : "un gamer a peur des filles"...
      Il tombe à mon sens dans le même travers que Clouscard analysant le rapport rock et capitalisme dans "le capitalisme du désir", une généralisation abusive qui transparait notamment dans sa généralisation monolithique du modèle MMO au reste du monde des jeux vidéo.

       
  • #1659593
    Le 6 février 2017 à 16:58 par Heru
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Vidéo intéressante mais qui ne parle que de la partie la plus addictive des jeux vidéos : les mmo. C’est comme parler de la tv avec seulement la tele realité ou parler des livres en général avec juste les romans policiers.

    Bien sûr que ça existe les joueurs qui fuient le réel dans le jeu vidéo et qui au final en deviennent totalement dépendant ou qui utilisent le jeu vidéo pour renforcer leur narcissisme à travers leurs performances, mais il y a aussi de belles choses dans le jeu vidéo :
    - certains jeux proposent des expériences intéressantes par leur immersion, on se retrouve dans la peau d’un personnage à qui il arrive des expériences très intenses dans des univers riches qui amènent à se questionner sur les similitudes avec la vie réelle au niveau politique, sociologique et historique par exemple (deus ex, dishonored, metro, assassin creed, ...)
    - certains jeux permettent d’exprimer sa créativité de belle manière, par de la construction pour de l’esthétique pur ou pour survivre dans des univers plus ou moins hostiles (minecraft, ark survival evolved, etc)
    - certains jeux permettent de passer des bons moments avec des amis en faisant quelques parties le soir après le travail ou le week end un peu comme à l’époque quand on jouait au cartes dans les bars (moba, fps, etc).

    Bref tout n’est pas négatif, l’important c’est d’être conscient de ce que ça nous apporte.

     

    Répondre à ce message

    • #1660192
      Le Février 2017 à 12:37 par Borntogrowl
      J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

      Deus Ex m’avait aussi profondément marqué.
      Le jeu vidéo c’est comme le reste. Il faut y mettre une discipline de soi. Même s’il faut admettre qu’on s’enfoncera plus par le jeu vidéo que par la lecture. Si le système en place rend les supports livresques has-been, ce n’est pas pour rien.

       
  • #1659655
    Le 6 février 2017 à 18:58 par Jean-Luc
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Twitter, Facebook, Pinterest, Google +, Linkedin... causent certainement plus de dommages dans nos relations et notre façon de communiquer que les jeux vidéos qui sont autant un divertissement qu’un moyen d’échapper à cette société complètement pourrie. Pour qu’un gamer, ou même n’importe quel célibataire, puisse trouver une nana dans la "vraie vie", il faudrait déjà qu’il y en existe une qui ne passe pas son temps le nez greffé à son smartphone pour twitter ou facebooker. Il est même de plus en plus difficile de parler avec les commerçants qui sont remplacés par des caisses automatiques ou des bornes pour passer commande avec notre compte facebook afin de bénéficier de quelques avantages ridicules.
    Le monde d’un jeu vidéo n’est guère plus virtuel que la vie d’aujourd’hui, et il a le mérite d’être plus amusant et plus efficace pour rencontrer quelqu’un.
    "Comment arrêter de jouer aux jeux vidéo ?" J’ai plutôt envie de demander, dans un contexte bien plus urgent : "Comment arrêter d’utiliser Facebook ?" qui est en train de devenir la nationalité du nouvel ordre mondial.

     

    Répondre à ce message

  • #1659726
    Le 6 février 2017 à 20:26 par titou
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Faites attention à ne pas mettre les jeux de simulation dans le sac de votre critique, car il sont souvent l’intermédiaire entre la théorie et la pratique, permettant de comprendre la pratique sans en prendre de risque.

    Du coup les simulateurs de vols, vols spatiaux par exemple sont des jeux mais il ne rentrent pas du tout dans la critique faite. Par exemple, beaucoup de personnes comprennent la gravité sur terre mais sont incapables de la comprendre dans l’espace proche et lointain, de plus beaucoup confondent masse et poids ou encore vitesse et accélération, certains jeux vidéo permettent de comprendre ces notions en se passant de la théorie.

    Les simulations permettent de comprendre beaucoup de choses et de représenter des problèmes complexes comme la cartographie des astres et de vérifier que nos formules sont correctes car si notre modèle est bon, on peut anticiper leurs déplacements dans le temps.

    Il y a également des jeux où il faut trouver un maximum de mots sur une grille (un + en Français), ou d’autres comme 2048 où il faut faire des puissances de 2 (un + en calcul mental).

    Il ne faut pas confondre le support numérique à son contenu. (le jeux vidéo est un support interractif, comme la BD est un support imagé au livre, à distinguer du genre qui regroupera des livres d’historiens, mais aussi des romans etc... il existe des BD scientifiques et parfois ce support est plus adapté pour décrire un phénomène)

     

    Répondre à ce message

  • #1659783
    Le 6 février 2017 à 21:24 par UnLienVersLePassé
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Je suis d’accord avec beaucoup d’arguments mais comme beaucoup de mes compères ici je trouve tout ça un peu réducteur. Ce n’est que mon avis personnel mais j’ai tellement de souvenirs vidéoludiques qui me semblent "sains", notamment avec les jeux de la licence Zelda par exemple.

     

    Répondre à ce message

  • #1659925
    Le 7 février 2017 à 01:02 par Mika
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Bonsoir,
    Étant un ancien gros geek de jeux vidéo.il faut comprendre deux choses.
    1) le jeux vidéo off line :
    Vous jouez 10"h ou 110h vous le terminez, et vous attendez que le prochain sorte.
    2) le jeu online mmorpg :
    Alors la faut se tenir, vous avez la pression sociale dans le jeu vidéo, pour être le meilleur... Upper son niveau, son équipement et cc.
    Et là vous êtes emprisonné dans votre bulle. J’ai joué jusqu’à 14h d affilié pour profiter des événements exceptionnels.
    Avec du recul, j’aurai pu améliorer pas mal de chose niveau scolaire, sociabilité..

    Pendant les vacances, je passai plus de 50h par semaine.
    Qu est ce qui a fait que j’ai stoppé ? C’est que je n’avais plus internet...
    Enfin, pour ceux où celle qui ont des enfants qui veuillent stopper les jeux vidéo, inscrivez vous au sport ou à la musique.

    Pour information en Corée du Sud, on joue avec son numéro de sécurité sociale, car il y a eu trop d enfant qui sont mort de faim et de soif à cause des jeux vidéos..

     

    Répondre à ce message

  • #1662274
    Le 9 février 2017 à 22:45 par Desk
    J’ai joué 25 heures de suite – Ma Sociologie du gamer

    Personnellement, plus je grandis, plus je réfléchis, et moins je perds de temps avec les futilités tels que les jeux.

    A chaque fois, par exemple, que j’essaie de trouver un jeu, par exemple sur le portable, je me demande toujours :"pourquoi faire ?" "pourquoi perdre mon temps ?" "qu’elle est la finalité ?" "en quoi ça te serra utile dans la vie ?" etc, du coup je réfléchie, et ça m’enlève l’envie de jouer....

    Et puis c’est vrai, à quoi bon jouer à des jeux vidéos, si la finalité est la perte total de temps...

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents