Israël fait face à une crise diplomatique et militaire. Sur le front diplomatique d’abord, l’Etat hébreu essaie de faire retomber la pression après la mort de cinq policiers égyptiens à la frontière lors des attaques de jeudi dans le sud d’Israël.
Et on peut savoir de quoi ils sont morts ? : mort subite du nourrisson peut-être ?
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Militairement ensuite, Israël est aux prises avec les groupes radicaux palestiniens de Gaza. Comme c’est joliment dit : on peut aussi parler de "peuple", de "victimes du calvaire sioniste", de "résistants"...bref de "héros".
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Samedi, une vingtaine d’engins ont atterri dans le sud du pays (NDLR : à Ashdod, ville à 30 km de Gaza) faisant trois blessés, Israël répondant par des raids de son aviation et des tirs de chars. Ouah, des "engins" = des pierres ? des crottes de nez ? Mais, non ! A Gaza ils ont tout ce qu’il faut pour construire des ENGINS énormes à la pointe de la technologie à tête nucléaire pour tuer des milliards de juifs ; antisémites, va.
"Faisant trois blessés" ah, bon, ben c’est pas au point alors. Si, si, 3 blessés (un ongle tordu ? une poussière dans l’oeil ? ) c’est affreux, c’est une nouvelle shoannanas. Au fait, les raids d’avions et les tirs de chars de l’entité sioniste ont envoyés combien d’ENGINS eux sur la gueule des civils palestiniens ? Combien de blessés ? de tués ?...par les sionistes (pas par le temps qui passe, hein !).
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Depuis 48 heures, une trentaine de roquettes et d’obus de mortiers ont été tirés de la bande de Gaza, selon un décompte israélien. Voilà des journalistes qui savent où l’info est fiable. Dommage, moi, leur parole de talmudo-élites c’est vraiment "la seule chose que je ne peux pas prendre pour argent comptant" (cf. la vidéo "casher ou pas casher" ici-même).
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Conclusion : Vite, vite, il faut sauver Israël, la capitale du monde des vrais humains, mise en danger par les sous-hommes qui osent rechigner à se laisser dégommer comme à la foire. PLEURONS...puis, PAYONS.
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Qu’est-ce qu’on dit : Merci, Talmud ! (= la tschuspah, c’est bon comme là-bas, dit).
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