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Israël, ce faux pays qui terrorise les Européens

Se croyant bénie des dieux, ou de son propre dieu, la société israélienne se rend compte qu’elle est comme toutes les autres sociétés : fragile. Les guerres qu’elle lance un peu partout lui reviennent en pleine gueule, de manière directe ou indirecte. Les Américains commencent à se moquer des Israéliens : une digue est tombée.

 

 

Être vainqueur par les airs ne veut rien dire, les Américains le savent, et les Vietnamiens aussi. Le sol, c’est ce qui compte, le sol et le sang. Assassiner des dirigeants ennemis, bombarder les infrastructures d’un pays ne suffit pas à faire plier une vraie nation. Les Allemands, pilonnés par la RAF et l’US Air Force en 44 et 45, ne se sont pas rendus pour autant. Un vrai pays est irréductible, car le sentiment national n’est pas touché par les bombes. En revanche, un faux pays, s’il est visé par des bombes, peut perdre toute sa confiance, et ses habitants peuvent être tentés de fuir, en France, en Grèce ou à Chypre, par exemple. Ils ne veulent pas verser leur sang pour un sol qui au fond, ne leur appartient pas. C’est la leçon de cette guerre des 12 Jours, qui va peut-être reprendre un jour.

Dans les médias mainstream, c’est toujours la même cuisine : Israël est attaqué, Israël est la victime intouchable depuis 1945. Nous avons retrouvé dans Le Monde diplo l’origine du narratif shoatique qui a servi de bouclier moral aux Israéliens.

« Les millions de Juifs exterminés parce qu’ils étaient sans patrie nous contemplent depuis les cendres de l’histoire israélienne et nous exhortent à coloniser et à construire une terre pour notre peuple », avait proclamé le chef d’état-major Moshe Dayan, en avril 1956, sur la tombe de Roï Rothberg à Nahal Oz, à la frontière de Gaza. Cette exhortation à brandir sans cesse l’épée, renforcée par le lien avec la Shoah au-delà du nécessaire dans le contexte du conflit, fut qualifiée par Dayan de « loi de notre génération ». Depuis et jusque dans les années 2000, ce texte n’a cessé d’être déclamé en de nombreuses occasions et dans diverses circonstances politiques, dont la lutte contre la seconde Intifada.

Ben Gourion et Menahem Begin s’appuiront sur les morts des camps nazis pour justifier leur entreprise impériale, coloniale et meurtrière.

Ce nœud gordien a des racines anciennes. Déjà, durant l’été 1947, David Ben Gourion, lors de réunions à huis clos, avait comparé les Arabes aux nazis : « Ce ne seront pas nos adversaires politiques [les Britanniques] qui se dresseront devant nous, mais les disciples ainsi que les maîtres d’Hitler. » En décembre 1951, dans un débat au sein de son parti sur les réparations allemandes, justifiant la nécessité de recourir à ces fonds pour la construction de l’Etat, il revint à la charge : « Nous ne voulons pas retourner dans les ghettos. (…) Nous ne voulons pas que les nazis arabes viennent nous massacrer. »

Depuis, toutes les guerres d’Israël ont été perçues, définies et conceptualisées dans des termes liés à la Shoah. À la veille de l’entrée des troupes israéliennes au Liban en juin 1982, le Premier ministre Menahem Begin déclara pendant une réunion du cabinet : « L’alternative [à l’entrée des troupes au Liban] est Treblinka, et nous avons décidé qu’il n’y aurait pas de nouveau Treblinka. » Il ira jusqu’à comparer Yasser Arafat à Beyrouth à Adolf Hitler dans son bunker berlinois. « Hitler est mort, monsieur le Premier ministre, lui répondit l’écrivain Amos Oz, Hitler ne se cache pas à Nabatiyeh, à Sidon ou à Beyrouth. Il est mort et calciné. »

Depuis le 8 octobre 2023, la nazification de l’adversaire a changé de camp, ce qui a remis Israël au même rang que les autres nations. Même un Thierry Breton s’énerve contre les méthodes de ce petit pays de rien du tout !

 

 

Thierry a raison : tous les voisins d’Israël vont vouloir avoir la bombe, et certains l’ont peut-être déjà, grâce au Pakistan, qui est sur la liste de Netanyahou, par ailleurs. Si un jour les choses devaient tourner vinaigre, c’est le petit Israël qui disparaîtrait, alors que les autres grands voisins pourront survivre à des bombardements nucléaires. Ça, c’est de la realpolitik.

Depuis le 7 Octobre, tout a changé. Et depuis l’attaque israélienne sur l’Iran, qui est sans conteste une victoire militaire tactique (comme celle des Américains au Viêt Nam), celui qu’on appelle la base américaine au Proche-Orient a brûlé ses jokers. En Europe, le soutien des populations est perdu : la gauche activiste, pourtant construite idéologiquement par les israélistes, se retourne contre le fauteur de guerres.

 

 

L’oligarchie européiste, toujours en retard d’une guerre et d’une réalité, est encore sous domination mentale sioniste. À peine élu, ce pauvre Merz est déjà sorti de l’Histoire :

 

 

Quant à Leyen, la demi-folle qui se réfère aux valeurs du Talmud, c’est-à-dire carrément à l’antichristianisme, elle incarne une direction européenne moralement foutue. Son héritière, la demi-folle Callas, qui dirige les Affaires étrangères de l’UE, se fait ici coller au mur par l’Espagnole Montero :

 

 

La guerre des 12 Jours

 






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27 Commentaires

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  • #3546990
    Le 24 juin à 17:11 par Snayche
    Israël, ce faux pays qui terrorise les Européens

    Pour l’instant au final, du grand tonton Donald...
    Heureusement pour le Moyen-Orient, Israël, l’Iran et le monde que c’était lui le Big Boss des USA lors de cette guerre.
    Même si tout ça peut ne pas avoir servi seulement à diminuer les missiles balistiques et le nucléaire iraniens, mais aussi à diminuer l’arsenal militaire iranien, afin de faciliter l’extension jusqu’au grand Israël et détourner du génocide à Gaza.

     

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  • #3546993

    Mertz, en vrai marcioniste qui vend des armes pour de vrai, veut sans doute dire que la reprise des hostilités est prévue pour plus tard, après la pause musicale hollywoodienne où le méchant devient un héros Marvel.

     

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  • #3546996
    Le 24 juin à 17:39 par Olivier
    Israël, ce faux pays qui terrorise les Européens

    L’option Samson est effroyable.
    Israël devient le pays le plus dangereux pour l’humanité.

     

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  • #3547004
    Le 24 juin à 18:05 par Vigietalmud
    Israël, ce faux pays qui terrorise les Européens

    Les pro-Israël, politiques ou non, sont souvent des complexés. Ils veulent être du côté de ce qu’il pense être le plus fort. Ils veulent plaire. C’est le type de crétin qui pour draguer les nanas dit qu’il n’a rien contre les pédés.

     

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  • #3547010

    Un changement de régime est nécessaire en Israël, pour les peuples israéliens, pour les peuples de la région, pour le monde. Les États Unis devraient y travailler dès maintenant.

     

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  • #3547014

    La scène du mouchoir dans le train entre Merz et Macron ressemblait surtout à l’icône la plus célèbre de Marcion en train de trafiquer des armes.
    C’est ce qu’il fallait voir, pour les "initiés", au lieu de la diversion insignifiante sur laquelle tout le monde s’est jeté.

     

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  • #3547023
    Le 24 juin à 19:27 par Gérard
    Israël, ce faux pays qui terrorise les Européens

    Une société composée de migrants Polonais et Marocains était vouée à l’échec dès le départ.

    L’erreur fatale des pères fondateurs du sionisme a été de sur-estimer le mythe du "vivre-ensemble" (entre polono-russo-ukrainiens et marocco-irako-éthiopiens).

    La solidarité "nationale" entre ces peuples irréconciablement hétéroclites, ne tenait qu’à la menace extérieure.

    Mais maintenant que les voisins Arabes ont été pacifiés par la paix (Egypte, Jordanien, E-A-U, etc.), ou par leur destruction (Syrie, Liban, Libye), cette solidarité artificielle s’effrite, et entrainera inévitablement la dislocation de la sociétale attenante.

     

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  • #3547026
    Le 24 juin à 19:44 par fajs
    Israël, ce faux pays qui terrorise les Européens

    Ben là, c’est certain, ils vont tous mourir dans leurs lits de A à Z, de Atal à Zemmour en passant par BHL et Schiapa ! Tranquille !

     

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  • #3547034

    A force d’entendre les sionistes comme Meyer Habib, Finkelkraut ou BHL répéter qu’ils sont un peuple qui a eu l’histoire la plus ancienne et la plus civilisée du monde, je me suis penché dessus, selon la Bible et les historiens, et je n’ai vraiment rien trouvé de glorieux ou d’intéressant.

    Leur histoire est une suite d’expulsion de tous les pays qui commence quand Dieu les chasse du paradis parce qu’ils ont volé des pommes, ensuite ils se font expulser d’Egypte par Pharaon, de Palestine par Nabucodonosaur l’empereur de Syrie, de Babylone par Darius Ier l’empereur d’Iran, une seconde fois de Palestine par l’empereur Titus, etc.. En Palestine ils ont passé leur temps à massacrer les peuples voisins, ils ont tenté pendant des siècles de conquérir les cinq villes des Philistins à Gaza, avec l’aide de Yahvé, mais ils n’y sont jamais arrivés.

    Jérusalem était la capitale des Jabuzéens, le premier temple y a été construit en bois de cèdre par les Phéniciens, et le second en pierre à la romaine par Hérode, tétrarque romain de Judée. Leur dieu Yahvé était jaloux, féroce, rancunier, coléreux et méchant. A l’époque de Jésus, l’hébreux était déjà une langue morte depuis au moins six siècles, alors que l’arabe n’a jamais cessé d’être parlé et écrit.

    Pendant tous ces siècles et les suivants jusqu’au XIXe siècle, en-dehors de l’Ancien Testament traduit en grec, de son monstrueux commentaire du Talmud en araméen, du Guide des égarés de Maïmonide écrit en arabe, de la philosophie athée de Spinoza en latin, les Juifs n’ont laissé ni architecture, ni science, ni philosophie, ni peinture, ni musique, ni littérature, ni art de la guerre ou équestre, ni théâtre, ni sculpture, ni navires, ni législation, ni agronomie, ni inventions, rien, et ils ont rejetté en bloc l’oeuvre de Jésus le Galiléen.

    Il faut dire que selon leurs historiens, dans les pays étrangers où ils s’installaient, ils exerçaient toujours les mêmes activités : la collecte d’impôts, l’usure, le proxénétisme, le trafic d’esclaves, les fournitures aux armées, le négoce et la médecine.

    On ne trouve rien de comparable avec l’histoire de tous les autres peuples qui ont créé des brillantes civilisations : la Perse, l’Islam, la Grèce, l’Egypte, la Chine, le Mali, l’Inde, les Incas, les Phéniciens, les Hittites, les Celtes, le Japon, le Cambodge, etc..

     

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  • #3547040
    Le 24 juin à 20:38 par Colonel de Montjoie
    Israël, ce faux pays qui terrorise les Européens

    Comme tout est inversé chez ces gens-là, ils usurpent aussi le nom divin d’Israël, qui depuis la venue de Notre Sauveur n’est autre que l’Église pour les catholiques (enfin les vrais, pas les égarés débiles de la secte luciférienne Vatican II qui sont les lèchent-biiiiiip de qui qui l’on sait et hélas la majorité de ceux qui se disent chrétiens et soit ne le sont pas, soit le sont si peu !)

    Une intelligence moyenne considérera quelques-unes des vérités de la foi en s’attardant sur quelques points dont le quotidien nous offre le spectacle de plus en plus sidérant.

    Déjà les exils innombrables - sans que jamais on en interroge les causes... - de ceux-là à Babylone d’abord, puis après la destruction du Temple en 70 par Titus à travers le monde connu puis à travers le Nouveau monde. Soit alors que le monde arrive à son terme, aussi bien temporal que spatial (le bout du monde par sa circonférence achevée signifiant aussi la Fin des Temps).

    Et comme à Satan leur père putatif à qui il a été donnée par Dieu à la fin un pouvoir considérable, qui qui l’on sait manipulent, mentent, corrompent, tuent et génocident comme jamais en total impunité sous le regard mi-terrorisé, mi-complice de leurs laquais occidentaux. Agissant à l’inverse du référent anthropologique dont les 10 commandements - dont ceux-là du faux-Israël se prétendent hypocritement aussi les garants - nous offrent en une page de pierre la vérité de l’agir humain, tous ceux-là en détruisant dans l’homme le meilleur conspirent contre Dieu !

    Bref, à la Fin des Temps, celui de l’Apocalypse et donc de la Révélation Satan et qui qui l’on sait de sa synagogue se déchaînent en renversant tous les principes qui font l’homme créature de Dieu, suscitant a minima chez toute personne dotée d’un minimum de conscience une gêne, voire un rejet viscéral de la part des fervents chrétiens - et de quelques autres - qui font de leur vie un combat sans pitié contre leurs propres vices d’abord, après contre ceux-là qui qui les propagent au plus grand profit de la perte des âmes.

    Et c’est donc dans cette dialectique de la Fin de l’Histoire que s’inscrit non seulement la logique du retour achevé dans un lieu dont ceux-là se réclament - mais qui ni ethniquement ni ontologiquement ne leur appartient - qui qui par la reconstruction du Temple fantasment l’avènement de leur Messie, notre Antéchrist.

    Dans ces conditions, qui qui sont les véritables ennemis de l’Humanité ? « Hein, qui ? »

     

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