Nous ne sommes pas juges ni arbitres du conflit palestino israelien, d’autant qu’il prend ses racines dans la rivalité de Sarah et Agar dans l’A.T.
Mais nous pourrions l’exploiter dans l’intérêt de la France.
Par exemple, nous pourrions envoyer un ultimatum au Hamas de nous restituer sains et saufs nos ressortissants binationaux pris en otage le 7 octobre.
Et constatant la fin de non recevoir du Hamas, leur déclarer la guerre aux côtés d’Israël.
Maintenant, listez les conséquences internes de cette décision sur notre politique migratoire, notre préférence "antinationale", nos déficits, nos équilibres des comptes sociaux, la karsherisation de LFI et de l’extrême gauche.
Faites en l’addition et vous verrez qu’en six mois nos comptes publics seront à l’équilibre et que la France ne comptera plus que 55 000 000 d’habitants.
Tous blancs franco français.
C’est bien ce que nous voulons, n’est-ce pas ?
NB : sans un mort en Palestine !
Eh bien, je pense que c’est ce qui finira par se faire et décider pour l’excellente raison que la dette de la France ne nous laissera aucune alternative.
C’est tout l’héritage mondialo kalergiste et communiste de 1945 que nous allons devoir passer par le compte pertes et profits : liquider la CAF, la Sécu, l’ordonnance de 1945 sur l’enfance, la retraite par répartition, le statut de la fonction publique, le Conseil d’Etat, le Conseil constitutionnel, la D.U.D.H. : tabula rasa.
Le grand enseignement de la constituante de 1791 c’est qu’on ne peut pas faire ce reset par l’urne.
Et donc que la guerre fera echo à la dette.
En effet, dès lors que la dette est actuelle et sonne à notre porte, vous ne pouvez pas la résorber par les moyens qui l’ont créée et l’aggrave encore chaque jour. ( I milliard €/jour !)
Vous devez fermer les robinets contre la volonté de tous les pensionnés qui s’y abreuvent.
Or, seule la guerre peut vous donner les moyens juridiques de faire taire les oppositions interessées (et parasitaires).
La guerre est donc la solution dialectique à l’apurement de la dette et le seul moyen de son apurement, "l’abrogation radicale de toutes les pensions".
Ce n’est pas l’Ukraine le danger : nous n’irons jamais.
C’est Gaza : la dette va nous obliger à y aller.
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