Les super-riches considèrent la Nouvelle-Zélande comme l’ultime refuge en cas d’apocalypse, affirme le magazine The New Yorker. Il se fonde sur l’information récente selon laquelle Peter Thiel, l’un des fondateurs de PayPal qui est aussi l’un des rares partisans de Donald Trump à la Silicon Valley, vient d’acquérir un passeport néo-zélandais, alors qu’il n’a jamais résidé dans ce pays pendant les 3 années, comme cela est requis pour son obtention.
Selon Reid Hoffman, l’un des co-fondateurs de LinkedIn, a récemment indiqué qu’à la Silicon Valley, le nom « Nouvelle – Zélande » était devenu « le mot de code signifiant que l’on s’était préparé pour survivre à une éventuelle apocalypse ».
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Robert Johnson, un ancien directeur de la société de gestion de hedge funds Soros Fund Management, a relaté lors du Forum économique mondial de Davos que les gérants de fonds spéculatifs du monde entier s’achetaient des fermes dotées de pistes d’atterrissages dans des endroits comme la Nouvelle-Zélande, parce qu’ils pensent qu’ils pourraient avoir besoin d’une échappatoire.
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Son ami, l’investisseur américain Sam Altman, a expliqué au New Yorker qu’en cas de guerre biologique, il s’envolerait avec lui à destination de cette propriété.
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