Mardi, j'inaugurerai à @TelAviv, aux côtés de mon ami le Maire Ron Huldai, une statue rendant hommage au Capitaine Dreyfus. Copie conforme de la statue présente à Paris, elle symbolisera l'action résolue de nos deux villes contre l'antisémitisme. https://t.co/HBIVSWE2Kg
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) 26 novembre 2018
Véridique : pendant que la capitale mettait aux prises les forces de l’ordre sioniste aux Français paupérisés par la politique mondialiste de Macron (écrasement par la dette et noyade par l’immigration), le maire de Paris Anne Hidalgo inaugurait le 27 novembre 2018 une statue du capitaine Dreyfus en plein cœur de la capitale de l’entité israélienne, un territoire volé aux Palestiniens !
- Attendez, on vous la remet en grand : qu’est-ce qu’elle est moche en plus !
Comme comportement socialiste, on fait mieux. Mais il semble que la gestion lamentable de la plus belle ville du monde ait jeté l’édile dans les bras de ses sponsors, commanditaires ou maîtres. Car comment expliquer autrement cet empressement à venir évoquer, en pleine lutte sociale, la lutte contre l’antisémitisme, dont les Français n’ont rien à foutre ?
Les Français se préoccupent de travail, d’école, de sécurité, d’immigration et de soins. L’antisémitisme, cet outil inventé par le pouvoir sioniste pour taxer la liberté d’expression et embastiller les récalcitrants, vient en 643e place des urgences des Français. Et encore, c’est pas sûr. La période actuelle a ceci de bon que les masques tombent de partout et nos élites corrompues – corrompues car elles devaient servir le peuple et ne servent qu’elles-mêmes – comprennent [1] qu’elles ont été trop loin dans le mensonge, la compromission, la trahison.
Pour l’instant, il n’y a pas de tribunal populaire mais notre petit doigt nous dit qu’ils vont se monter naturellement (la nature politique a horreur du vide juridique). Et que les juges de la République, qui ont tant saigné les petites gens et ceux qui voulaient les défendre, sont en train de perdre tout leur crédit. Ne se sont-ils pas attaqués aux dernières voix du peuple, celles des dissidents, ceux qui n’ont pas trahi ?
On n’aime pas faire le parallèle avec les procès de Moscou mais en un rien de temps, l’Histoire, cette puissance mystérieuse, peut envoyer les juges d’hier dans le box des accusés et les accusés d’hier sur le siège des juges. C’est ce qui se profile, structurellement parlant. De plus, et ça ce n’est pas nous qui le disons, après avoir brûlé des péages et des centaines de radars (600 minimum dès la première semaine de révolte après le 17 novembre), il se murmure une grève de l’impôt. Si les CRS continuent à taper sur les travailleurs, qui va les payer ? Seront-ils obligés de basculer du côté du peuple ?
Welcome to #TelAviv, @Anne_Hidalgo, Mayor of @Paris ! Today we inaugurated Alfred Dreyfus’ new statue at Ehad Ha’am Street.
Anne Hidalgo is a close and loyal friend of Tel Aviv-Yafo, who has always stood firm against anti-semitism. Merci beaucoup Anne ! pic.twitter.com/U4O3BogrdY— Mayor of Tel Aviv (@MayorOfTelAviv) 27 novembre 2018
Je le dis solennellement, moi qui suis Maire d’une Ville qui ne serait pas elle-même sans sa communauté juive : nous ne céderons pas, nous ne céderons jamais. #antisémitisme #Dreyfus
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) 27 novembre 2018
C’est pourquoi notre combat contre l’#antisémitisme aujourd’hui doit aussi passer par une lutte acharnée contre la violence des mots, qui ouvre la voie à la violence des gestes et des comportements. #Dreyfus
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) 27 novembre 2018
Émue et fière d'inaugurer à #TelAviv, aux côtés de mon ami Ron Huldaï, une statue rendant hommage au Capitaine #Dreyfus. Il s'agit de la copie conforme de l’Hommage au Capitaine Dreyfus, réalisée en 1985 par le sculpteur Tim et qui se dresse à Paris. https://t.co/T6sTWJfhu8
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) 27 novembre 2018
"Il y a un antisémitisme qui s'est greffé sur de l'antisionisme (...), il faut combattre ça" @Anne_Hidalgo, maire de Paris dans #Conversations avec @BPetrover pic.twitter.com/ajYKXQTW1l
— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) 26 novembre 2018
Il y a 5 ans, Anne Hidalgo voulait que les liens entre Paris et Tel Aviv soient « encore plus forts ». C’est gagné. Si la situation dégénère en France, on saura où la retrouver !
Avec un peu de chance, si la révolution perdure, l’Anne ne rentrera pas à Paris, ville qu’elle a de toute façon gâchée et perdue, et restera chez ses donneurs d’ordres. Parce qu’on n’imagine pas un maire quitter sa ville en pleine détresse pour aller inaugurer une statue moche à crever [2] dans un pays dirigé par des racistes fous.
Il doit y avoir une explication rationnelle mais elle nous échappe. Il y a des hommes politiques qui sont prêts à se faire détester par leurs propres électeurs uniquement pour se faire bien voir des autorités israéliennes. Ça veut dire quoi ?