Il faut avoir été réellement aux prises avec les réseaux pour comprendre leur ampleur tentaculaire et que le coeur de la bête est logé au coeur du pouvoir. Quand j’étais gosse, il y a bien longtemps, mon père racontait une histoire : "Guillot et le loup", pour décourager de se foutre des gens en évoquant des dangers imaginaires - la morale : le jour où il y aura vraiment un danger, personne ne bougera. Il y a six ans, j’ai compris la portée des stratégies des colporteurs de foutaises. Quand on a de vraies informations - c’est-à-dire des preuves matérielles - sur un vrai scandale pdc, on fait face à deux catégories de personnes : les faux alliés comme (cela passera-t-il, sans doute pas, mais je le poste quand même) Montgolfier*, dont j’ai compris pourquoi il avait tant de succès dans les médias mainstream, et les braves gens devenus incrédules à force de bobards. Résultat ? On ne peut rien faire. C’est désarmant et angoissant. *[Peu attentif, j’avais ajouté foi aux bobards des torchons mainstream et je croyais à une collaboration Bertrand-Montgolfier. Ce n’est qu’après que je me suis rendu compte qu’Yves Bertrand balançait au contraire sur EdM, même si c’était subtil, et aussi bien sur l’affaire l’affaire Rosella Hightower que sur l’affaire CLQ : dans les deux cas, le rôle de Montgolfier avait été... de ne surtout rien faire].
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