Egalité et Réconciliation
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Il y a plus d’esclaves aujourd’hui qu’au temps de la traite atlantique

Ça doit être ça, le Progrès

Esclave : « Personne de condition non libre, considérée comme un instrument économique pouvant être vendu ou acheté, et qui était sous la dépendance d’un maître. » (larousse.fr)

 


 

« La vie humaine est devenue plus sacrifiable » : pourquoi l’esclavage n’a jamais rapporté autant d’argent.

Une nouvelle étude montre que l’esclavage moderne est plus lucratif que jamais, les trafiquants du sexe engrangeant des bénéfices records.

Aujourd’hui, les marchands d’esclaves enregistrent un retour sur investissement 25 à 30 fois plus important que leurs semblables aux XVIIIe et XIXe siècles.

Siddharth Kara, un économiste spécialiste de l’esclavage et membre du Carr Center for Human Rights Policy de la Harvard Kennedy School, a estimé que le bénéfice moyen généré par une victime au profit de ceux qui l’exploitent s’élève à 3 978 dollars par an. Le trafic sexuel est lucratif de manière si disproportionnée par rapport à d’autres formes d’esclavage que le bénéfice moyen par victime est de 36 000 dollars.

Dans son livre, Modern Slavery, qui paraîtra en octobre, Kara estime que le trafic sexuel correspond à 50% de la totalité des profits illicites de l’esclavage moderne, alors que les victimes de ce trafic ne représentent que 5% des esclaves modernes.

Kara fonde ses calculs, dont il a donné l’exclusivité au Guardian, sur des données provenant de 51 pays sur une période de 15 ans, ainsi que sur des entretiens détaillés avec plus de 5 000 personnes ayant été victimes d’esclavage.

La première tentative d’éradication de l’esclavage a eu lieu en 1833 lorsque le Parlement britannique l’abolit, 26 ans après avoir interdit le commerce d’esclaves. Aujourd’hui pourtant, au moins deux fois plus d’individus que durant les trois siècles et demi de traite transatlantique sont prisonniers d’une forme d’esclavage.

Lire la suite de l’article sur les-crises.fr

Le salarié est-il aussi un esclave ? Des réponses, chez Kontre Kulture :

 

À propos de l’esclavage, voir aussi :

 






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26 Commentaires

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  • #1791897

    Mépris souverain pour les clients de ces "prostitués" qui, à moins d’être attardés, ne peuvent ignorer la condition de ces femmes.

     

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    • #1792042

      @herold...
      mouais n’exagérons rien...
      je vis à lyon près d’un quartier très reconnu pour la prostitution (Perrache)... tu peux me croire, beaucoup (Je ne sais sous quelles proportions, Mais Ca existe), y sont de leur propre gré... les françaises (blanches), les camerounaises, les latinas (Brésil, Colombie etc), les congolaises notamment... par contre vu ma tete des gars (toujours les mêmes) qui rodent du côté des nigérianes ou des filles de l’est, je soupçonnent celles là d’être sous l’emprise de macs...
      le grand danger Avec ce type d’article c’est l’amalgame (volontaire) facile de faire passer toutes prostituees pour des victimes et leurs salauds de clients pour des méchants (Apres, bien sûr, ils ne font pas forcement tous La différence entre les "indépendantes" Et les "maquées". attention, Le féminisme n’est jamais trop loin.
      La prostitution est proteiforme, faire passer toutes prostituees pour des esclaves est un poil exagéré.
      Sans en etre un client, je comprends La raison d’être de la prostitution.

       
    • @Mongo

      Oui, bien sur...Des femmes qui font ça, de leur plein gré, en toute conscience et toute connaissance de cause.

      En toute liberté, elles acceptent, pour 20 balles, de se faire baiser par des tocards dans une bagnole sur le parking du carrefour. Bien sur, bien sur...

      Sérieusement, ce n’est sans doute même pas une femme sur 100 à mon avis. Celle qui font ça, la tête froide, réellement de leur plein gré ; il n’y en a surement pas beaucoup et tu ne les trouves pas dans la rue, hein...Celle de la rue, on leur a probablement volé leur passeport ou alors ce sont des gamines totalement paumées.

      Et tu trouveras toujours un vieux dégueulasse de client pour en profiter...

      Ici, les gens se choquent quand ils entendent quelqu’un dire que l’on peut louer le ventre d’une femme comme on loue les bras d’un homme. Et effectivement, c’est très choquant. Je suis toujours surpris de constater qu’apparemment, ce serait moins grave quand il s’agit de prostitution...

      L’exploitation de l’homme par l’homme, c’est dégueulasse. Point.

       

    • Sans en etre un client, je comprends La raison d’être de la prostitution.



      Non tu ne l’a comprends pas.

      Si elles étaient libres aucunes d’entre elles ne choisiraient comme plan de carrière, élévation de l’âme et contribution sociale de sucer des bites moles.

       
    • #1792176

      @JUL
      Ma "compréhension" de La prostitution concerne les deux bords (La prostituee Et Le client), surtout en 2017.
      Il faut arrêter avec Le cliché de "La pauvre mère célibataire au chômage qui est obligée de se prostituer pour nourrir ses enfants" et autres niaiseries. beaucoup de femmes Le font simplement dans la quête de l’argent rapide et facile, basé sur un raisonnement Que La plupart des femmes ont ingéré depuis leur Jeune enfance : "les hommes désirent tous ce que nous avons entre les jambes.. autant en tirer X avantages" (Une des racines de lhypergamie feminine : La quête du "plus offrant possible", alias "Le meilleur parti" . Et Le fait Que La grande majorité des hommes sont des bœufs dirigés par leur libido leur donne raison !
      Concernant les hommes, ladite hypergamie est tellement devenue dans pitié en 2017 Que beaucoup préféreront payer Une prostituee Et assouvir leur "besoin" Que de s’encombrer de toute la démarche de drague / séduction (qui peut coûter beaucoup en argent, temps, stress, etc.) pour espérer voir La culotte de La jeune demoiselle... attention, Je ne critique pas le phénomène de drague en elle même, Mais le fait que La société féministe, narcissique, égoïste et compétitive a rendu Le "jeu" encore plus difficile pour les hommes "moins favorisés"...
      Les femmes haïssent les prostituées car elles faussent le jeu de l’offre et la demande (concurrence déloyale) : Le mec paie, il faut ce qu’il a à faire, sans Le restau, les cadeaux, les caprices etc..
      je soutiens La prostitution ? Non. Je La dénonce ? Non plus. Je suis pour la responsabilité individuelle surtout en matière de sexualité, Comme On dit vulgairement : "chacun s’occupe de ses fesses"... littéralement.
      Mon quartier est un carrefour de La prostitution lyonnaise, mon analyse est un croisement d’observations, discussions, etc.
      bien sûr La spiritualité apporte un certain rempart à ces bassesses, Mais ne nous mentons pas : des gens comme toi qui ont sûrement compris La vanité de ces choses Et La possibilité de "sublimation" de nos pulsions sont très rares. Je pense qu’au moins 90% des hommes et femmes seront toujours dans la "matrice".

       
  • #1791911

    Moi je suis ulcérée de voir le Pape François encourager l’immigration de masse... dont on sait qu’une bonne partie n’est pas qualifiée (souvent ne maîtrise pas une langue européenne et n’a pas de formation professionnelle adaptée à nos métiers technologiques). Bref de futurs chômeurs à qui Pôle Emploi proposera un job de "travailleur du sexe", comme des chômeurs l’ont déjà signalé.
    J’ai honte.

     

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    • Oui mais il faut voir d’où vient le message. Le Pape est littéralement hors circuit, sur une autre planète en quelque sorte. Il ne faut pas avoir honte pour lui. C’est du même niveau que les leçons de vie des politiciens et autres meneurs : ils vivent dans un autre monde, imposent aux autres des choses qu’ils ne supporteraient pas (comme la mixité éthnico-sociale par exemple). Et puis rien nous oblige à les écouter. La seule chose dont on est obligé, c’est de subir leurs fourberies...

       
    • Disons, que s’il ne veut pas se retrouver au chômage prématurément comme son prédécesseur, il vaut mieux qu’il pisse dans le vent.
      Mais je crois qu’il ne force pas trop. Ils ont bien choisi cette fois ci.

       
  • #1791920

    Donc , après tout les grands discours interminables , les démonstrations dégoulinantes de bien-pensance mielleuse ... et les accusations gratuites envers les " fachos " , v’la le vrai résultat des courses ...

    Et on parle pas de la souffrance animale !!!

     

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  • #1791924

    A partir des définitions suivantes :

    Esclave : « Personne de condition non libre, considérée comme un instrument économique pouvant être vendu ou acheté, et qui était sous la dépendance d’un maître »
    Salarié du privé : « Personne de condition libre, considérée comme un instrument économique pouvant être vendu ou acheté et qui est sous la dépendance d’un patron »

    Discutez de la différence de statut de ces deux éléments économiques et évaluez leur évolution sociale ! (Note : Votre conclusion doit s’appuyer uniquement sur votre réflexion personnelle et ne tenir compte d’aucuns commentaires ou arguments d’autorité)

     

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    • Je ne comprend pas dès qu’on parle d’esclavage ça parle de suite de sexe. Pour moi le salariat est une forme d’esclavage légalisée, peut-être même plus que la prostitution, je parle de celles qui travaillent seules. Pas de contrat pour elles, demain elles peuvent arrêter quand elles le veulent. Pas le cas de l’employé, il y a des conditions.

       
    • #1791998

      @awrassi,

      A mon sens, le salarié non plus n’est pas libre, enfin oui et non !

      Oui il est libre de partir, de chercher ailleurs, ou s’il a les moyens, de monter sa propre activité lucrative pour le faire vivre. Au premier abord, oui il paraît libre ce salarié.

      Seulement, si on n’y regarde de plus près, le salarié n’a bien souvent pas les moyens de se permettre de prendre le risque de ne pas retrouver un taf suffisamment rémunéré vis à vis de ses crédits et emprunts divers et variés, de se permettre pour une durée indéterminé de ne plus avoir de salaire toujours à hauteur de ses engagements financiers.

      Bref, je dirais plutôt que le salarié n’est pas si libre qu’on nous le laisse a penser et de ce point de vue, il reste un esclave non libre du système biaisé par les « cheaters » ! Le système ne serait pas biaisé, il est évident que sans être totalement libre, nous vivrions beaucoup plus en paix les uns avec les autres et que la richesse humaine ré-émergerait à n’en pas douter sur cette planète devenue laide et puante par tant de moisissures humaine répandue à sa surface !

       
    • Mais bien sûr.
      "(Note : Votre conclusion doit s’appuyer uniquement sur votre réflexion personnelle et ne tenir compte d’aucuns commentaires ou arguments d’autorité)" . En imposant cette condition vous faites vous mêmes preuve d’autorité et fermez la question que vous posez. Passons...
      La différence entre les deux conditions, si l’on ose le faire, est que l’un ne perçoit aucun salaire et ne peut pas démissionner (l’esclave) alors que l’autre perçoit un salaire et peut démissionner en toute légalité (le salarié) et sans préjudice pour lui même ; sauf s’il veut toucher les indemnités chômage bien sûr.
      Donc le salarié qui se sent esclave peut se libérer de sa condition quand il le souhaite mais à condition qu’il n’attende pas que d’autres lui payent quoi que se soit. Il devra alors faire preuve d’ un certain nombre de qualités propres pour pouvoir être en mesure d’assurer sa subsistance.S’il a les qualités pour ca il peut y avoir des chances qu’il s’en sorte (contrairement à l’esclave).

       
    • #1792074

      @pol,
      Il faut d’après toi rajouter à la définition de l’esclave : individu non rémunéré !
      Ce n’est plus le deal de départ là !!!

       
    • C’est faux, les esclaves des plantations américaines étaient rémunérés en nature, nourris, logés, instruits, soignés, avec sans doute aussi un pécule.
      Un propriétaire d’esclave était comme un paysan qui n’a aucun intérêt à maltraiter ses moutons ou ses vaches, car si ils meurent c’est une perte pour lui.
      Ce n’est pas le cas d’un employeurs qui se fiche que ses employés qui peuvent être remplacés par d’autres.

      Les esclaves de l’Antiquité étaient des employés ou des domestiques, le salaire était une marque de servitude, seuls les colons indépendants étaient libres.

       
  • Je ne savais pas ,mais cela ne m’étonne pas . Nous vivons dans un monde de plus en plus égoïste ,contrairement à ce qu’on pourrait penser ,parce que il n’y a que l’argent qui compte ,et la valeur humaine n’a plus sa place .Maintenant il faut devenir riche vite et célèbre par la même occasion ,c’est ce qui est devenu la référence .Et avec ce genre de référence influençable pour certains ,la société va droit dans le mur .

     

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  • #1791984

    Encore qu’un esclave n’est pas une personne qui se laisse licencier si facilement. On le fouettait, mais il restait en poste. Il avait un poste, mauvais, certes, mais un poste.

    Les esclaves actuels ont le privilège inouï de disparaître de la vue de leur maître et d’entrer dans le néant dès que celui-ci le décide. Suppression de poste et du type qui va avec. Progrès, astuce, droit, roublardise éternelle des riches. Naïveté des pauvres.

     

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  • #1792010

    Je peux paraître pessimiste, mais force est de constater que l’esclavagisme est intimement liée à la société post-révolution néolithique (apparition des stocks agraires). Il y a 4000 ans, il y avait de l’esclavagisme tout autant qu’il y a 2000 ans, 1000 ans ou aujourd’hui. Tant qu’il y a aura du stockage (matérialisme) il y a aura de l’esclavagisme. Dans l’absolu, à quelques rares exceptions près, les milliardaires et les hommes de pouvoirs sont également des esclaves, mais de leur narcissisme d’origine purement égotique.

    Un certain natif de Bethléem nous a donné les clés de notre émancipation. J’aurais honte de lui montrer ce qu’il est advenu de notre monde 2000 ans après son passage...

     

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    • Les droits de l’Homme ne sont que le prolongement sémantique de "l’abolition de l’esclavage".
      Autrement dit un prétexte universel de "libérer tout le monde"... à coup de bombes et de génocides.
      La stratégie des droits de l’Homme n’a pas changé depuis son origine et se résume en quatre étapes.
      — Inventer des régimes tyranniques imaginaires.
      — Attaquer un pays pour libérer ses prisons vides (la Bastille).
      — Inventer des prisonniers politiques persécutés fictifs, pour donner un peu de consistance et de poids par voie de presse à cette imposture creuse (le Comte de Lorges (fictif) dans les gazettes).
      — Et ensuite veiller à ce que les prisons qui étaient vides de ce pays soient les plus remplies du monde.
      Ainsi, à quoi reconnait-on toujours un pays qui est passé aux droits de l’Homme ?
      A sa surpopulation carcérale. Au motif, là encore, qu’on serait "contre les droits de l’Homme".
      C’est la curieuse conception antinomique et sinistre blague de "libérer les gens".
      Ne pas oublier que l’abolition de l’esclavage à ouvert la voie sur la colonisation de masse.
      Mais alors... au nom des "droits de l’Homme".
      Le plus ironique et qu’ils prétendent que ce n’est pas de l’esclavage... PUISQU’ILS L’ONT ABOLIT !
      AhAhAh !!

       
    • #1792084

      je pense plutôt que suivant le type de stock, le stock ne contribue pas au mêmes effets !

      Un stock non vital, oui il y a des esclave pour concevoir ce que le narcissisme veut or avec un stock vital, je crois en l’intelligence humaine pour s’organiser a ne pas dépérir, probablement l’instinct de survie et de continuité ?

      La relation avec ces deux types de stocks ne sont pas les mêmes il me semble !
      Ce qui ne découlerait pas les mêmes conséquences.

      Le problème majeur aujourd’hui, c’est qu’il y a des petits groupes de personnes dans ce système marchand qui se sont appropriés des stock vitaux avec comme objectif principal de faire du profit et en second contribuer au bien être de tous.
      Tant que le bien de tous ne sera pas porté tout en haut des objectifs humain, alors le chaos régnera.

      D’ailleurs, je trouve cela positif car moins la population occidentale (de ce que je vois autour de moi) a de quoi vivre décemment, et plus cela favorise à ce qu’elle se réveille il me semble. Le retour à la réalité change les comportements et les relations. Mais ce n’est pas encore ça qui est ça !
      Trop de pauvres individus ayant perdu une certaine raison saine n’agissent pas à modifier le monde dans le bon sens.

       
  • #1792018

    Sans compter les esclaves mentaux...

    Plus le nombre d’individus (troupeau) est grand, plus il est difficile à gérer.
    Si vous deviez gérer ce troupeau, seriez vous capable d’appliquer des méthodes permettant un certain ordre ?
    Plus nous serons nombreux, plus il faut maintenir l’ordre. Les méthodes de maintien de l’ordre ne sont pas basées sur le bien être. La mise en esclavage sera toujours visible et mis en avant car elle a pour fonction d’exemple.
    Beaucoup se résigneront à continuer leur vie dénué de sens en comparant à celle d’un esclave (je ne suis pas à plaindre...).

    Si il n’y a plus de misère, quel moyen de pression peut on exercer sur les populations afin qu’elles continuent leurs travaux pour la plupart dénuées de sens.

     

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  • #1792127

    Je pense qu’on va plus vers un servage généralisé que vers un esclavage qui renvoie à des concepts américains pourris comme tout ce qui est américain et qui n’ont pas lieu d’être ;

     

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  • #1792683
    Le 30 août 2017 à 22:06 par Jean Le Chevalier
    Il y a plus d’esclaves aujourd’hui qu’au temps de la traite atlantique

    Nous sommes esclaves de la société de consommation, lobotomisés par des médias et une élite corrompue, incapables d’analyser le monde dans lequel nous vivons et le cauchemar qu’on nous prépare...Prostitution, salariat paupérisé, jeunesse assommée de pensées destructrices et perverses, personnes âgées délaissées, abandonnées sur le bas côté, le Nouvel ordre Mondial est en marche...

     

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