L’affaire de Charlottesville semble être devenue le prétexte d’une grande vague de politiquement correct cherchant à imposer honte et repentance dans tout l’Occident.
C’est maintenant au tour de l’amiral Nelson d’être pris pour cible. Cette fois, la campagne est menée à Londres et vise la statue de l’amiral Nelson trônant au milieu de Trafalgar square.
Le journal The Guardian a publié une tribune signée Afua Hirsch réclamant que disparaisse ce monument à la gloire de l’amiral Nelson.
Ce qui lui est reproché dans cet article n’est pas d’avoir vaincu la marine de Napoléon sur mer avec la Royal Navy. Non, ce qui est reproché à l’amiral Nelson, c’est d’avoir été un partisan de l’esclavage.
Et voilà les représentants de la police de la pensée qui en arrivent à conclure que l’amiral Nelson serait aujourd’hui… « un suprémaciste blanc » !
Afua Hirsch écrit donc :
« J’ai immédiatement pensé à des personnalités comme Nelson quand j’ai appris que des statues de confédérés étaient démontées aux Etats-Unis. »
Dans l’article, elle annonce d’ailleurs la suite et estime que les Britanniques devraient collectivement interroger leur passé colonialiste au même titre que les Américains se confrontent aux questions de l’esclavage et de la ségrégation raciale.
Mais qui est Afua Hirsch ? Cette femme est née en 1981 d’un père juif anglais et d’une Ghanéenne. Elle est devenue journaliste pour Sky News et The Guardian, ce qui lui a permis au cours des dernières années de devenir une égérie du politiquement correct au Royaume-Uni, jouant tantôt sur ses origines africaines, tantôt sur ses origines juives, pour revendiquer une politique favorable à l’immigration, au multiculturalisme, agiter les populations de couleur et favoriser la subversion.
Le parallèle est troublant avec le mouvement Black Lives Matter financé par le milliardaire mondialiste apatride George Soros.