Ou peut-être ne l’avez vous pas entendu de la bonne oreille...
La réconciliation nationale, est pensée pour servir de socle entre gens respectueux, honnêtes et sans illusions.
Mais pour qu’une réconciliation , une paix durable et véritable en somme, puisse avoir lieu, il est nécessaire que chaque faction interne (qui ne disparaitront jamais complètement, ne rêvons pas) soit bien consciente et accordée sur l’idéologie à suivre et à appliquer dans ses propres rangs.
En ce qui me concerne, je vais être très clair.
Les gens se divisent en deux catégories :
Ceux qui sont prêts à porter les armes et à mettre leur vie en jeu avec honneur aux côtés de leurs frères, naturels ou voulus par la fortune, pour le rayonnement de l’esprit français, quelque soit la couleurs de leur peau et leur religion.
Ceux qui ont d’entré de jeu un comportement réfractaire inutile, lâche et individualiste, qui se pensent au dessus de ça et invoquent un état tenu par les sioniste, une police raciste, des souchiens fascisants partout, etc...
Les premiers sont mes frères, et j’espère avoir l’occasion de me battre à leurs côtés pour changer bon nombre de choses.
Et j’ajoute que ceux capables d’entrevoir l’universalisme authentique du vieil esprit français, ont ma pleine bénédiction pour faire partie de ma propre famille quelque soit la couleur de leur peau ou leur religion.
Ceux de la seconde catégorie, de souche ou pas, c’est des ennemis potentiels, et en tout cas des adversaires avec qui aucune fraternité ne sera possible tant qu’ils camperont sur leurs positions.
Et de grâce n’invoquez pas le sionisme, ne ressassez pas le passé, l’État et l’armée soumise aux puissants, etc... Ne me parlez pas non plus des merdes infiltrés dans nos institutions qui après s’être déshonorés ont déshonoré leur uniforme ou leurs fonctions par des exactions.
Car les gens intelligents qui se prétendent courageux mais se tiennent volontairement à l’écart d’une institution officielle, ne doivent pas se plaindre que les minables et les connards qui y entrent également finissent par avoir le champ libre et le dessus pour dénaturer la dite institution.
Quand on veut changer les choses, on s’engage auprès des autres et on mesure la justesse de notre pensée à la crédibilité que les autres y accordent. Et notre courage à nos actions.
Si votre pensée ne peut s’accorder avec cela, ne rêvez pas, lecteur d’E&R ou pas vous êtes un adversaire idéologique pour moi et ceux qui se retrouvent dans mes écrits.