Reportage édifiant sur le harcèlement des femmes par des migrants à Paris. Quand le gvt va-t-il ouvrir les yeux ? pic.twitter.com/woKXAY6pXu
— Léa ن (@LeaFrct) 30 septembre 2017
Quand les féministes du verbe et les tenants de l’identitarisme anti Blancs se rejoignent, tout est possible. La preuve : des représentants de cette engeance, emmenés par l’ineffable Éric Fassin, se sont coalisés pour dénoncer la pénalisation du harcèlement de rue annoncée par Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les hommes et les femmes au prétexte qu’elle viserait… les hommes « racisés », comme on dit chez ces gens-là, autrement dit des non Blancs.
La joyeuse bande a signé dans Libération une tribune intitulée « Contre la pénalisation du harcèlement de rue ». Première surprise. Comme l’écrivent les signataires : « On pourrait se réjouir que le droit des femmes à la ville fasse l’objet de l’attention publique ». On pourrait, en effet, même si les insultes et le harcèlement sexuel sont déjà considérés comme des infractions. Dans ces conditions, on peut se demander s’il est nécessaire d’en rajouter une couche, d’autant que l’agression en question ne sera guère facile à prouver. Passons.
Pour nos signataires, ce n’est pas le problème. Non, ce qui les inquiète au plus haut point, c’est qu’ « en insérant la catégorie "harcèlement de rue" dans le domaine pénal, la rue devient précisément la cible renouvelée des politiques publiques. Du même coup, elle vise les populations qui l’occupent, lesquelles appartiennent souvent aux fractions paupérisées et racisées ». Lumineux.
Voilà comment on réussit une double performance de haut vol : 1) Considérer que les « racisés » constituent l’essentiel du bataillon des harceleurs de rue. 2) Décréter que ces derniers doivent être blanchis d’une telle accusation (si j’ose dire) sous prétexte que leur statut de « victimes » les absout de toute condamnation. On croirait lire Houria Bouteldja, l’égérie des « Indigènes de la République » lorsqu’elle écrit que le viol d’une femme noire par un homme noir est une affaire intracommunautaire alors que le viol d’une femme noire par un homme blanc est un crime.
Lire l’article entier marianne.net
Une expérience de drague massive pour Sélim :
Différentes façons d’aborder une femme :
Plus sérieusement, pour les racisés qui draguent trop lourdement, voici une petite démonstration efficace (mais effectuée par un non-racisé) :