52 ans plus tard, pourquoi ne sommes-nous toujours pas retournés sur la Lune ? Bonne question, à laquelle un compte X a répondu sobrement : c’est parce que les gentils Américains avaient enfin battu les méchants Russes, et qu’ensuite, une fois qu’ils avaient gagné, eh ben ils sont passés à autre chose, et en plus ça coûtait trop cher, donc ils ont remballé les fusées, le Lem et les tenues d’astronautes de Noël.
Les Amerloques sur la Lune en 69, c’est comme Gisèle Pélicot femme de l’année pour la presse mainstream : il faut y croire très fort, sinon ça marche pas.
Dans ce sondage du Figaro, probablement établi dans un rayon de dix mètres autour du journal (les journalistes de France 2 faisaient leurs micros-trottoirs juste au bas de leur immeuble, mais en cadrant serré), on découvre évidemment que l’important n’est pas Gaza, mais la rose, c’est-à-dire Gisèle.
Anne-Élisabeth Lemoine : « Le message qu’elle porte est d’une puissance extraordinaire parce qu’avec elle, la honte change de camp. »
Gisèle, c’est la candidate des médias, la victime absolue, loin de la Palestine et du génocide en cours. C’est normal, dénoncer chaque jour le génocide des Palestiniens reviendrait, pour nos médias vendus et soumis, à dénoncer le racisme et la violence terrifiante de l’État juif, et ça, c’est tout simplement interdit. Peu importe qu’il y ait des juifs de gauche, des juifs anti-Netanyahou ou des juifs pacifistes à l’intérieur, c’est tout un pays qui est coupable, comme l’Allemagne en 45.
Justement, Libération a confié la rubrique IP à Alexandra Schwartzbrod que l’on peut qualifier de juive de gauche, évidemment journaliste avant tout. Figurez-vous que dans son édito du 18 décembre 2024, intitulé « Au Moyen-Orient, la tectonique des plaques bouleverse les équilibres géopolitiques », elle utilise un drôle de verbe pour qualifier l’expansion israélienne :
C’est dans cette faille, accentuée par l’allègement du dispositif militaire russe en Syrie pour cause de besoins criants en Ukraine, que se sont engouffrés les rebelles syriens avec l’aval d’Ankara. Ce jeu de dominos fait pour l’heure deux gagnants : la Turquie qui rêve de prendre le leadership du monde musulman. Et Israël qui en profite pour grignoter toujours plus de territoires palestiniens à Gaza et en Cisjordanie ou syrien du côté du Golan. Mais 2025 ne s’annonce pas forcément plus pacifique.
Grignoter, normalement, c’est pour une petite souris, une gentille petite souris qui prend des tout petits bouts du gruyère de la maison, pas pour un pays qui extermine tout un peuple et détruit tout ce qui existe autour à coups de bombes, afin de tout israéliser dans un délire religieux.
On ne va pas faire la fine bouche, mais l’information, c’est pas encore ça, en France.
Faut pas se faire d’illusions, ils mentiront jusqu’à la fin, jusqu’à leur mort totale, et ne se renieront jamais.
Mais ne soyons pas trop tragiques un 1er janvier, il y a encore de quoi se marrer avec les médiacroyants. On va appeler ce qui suit :
On a tous marché sur la Lune
52 ans plus tard… pourquoi ne sommes-nous toujours pas retournés sur la Lune ?
La mission Apollo 17 a quitté la Lune en 1972. Depuis, malgré nos avancées technologiques, l’humanité n’y est jamais retournée.
Mais pourquoi ? Explications
1/7 pic.twitter.com/IxWeMAiDnn
— Fascinations (@fascinations_sp) January 1, 2025
Un coût colossal !
Le programme Apollo a coûté environ 280 milliards de dollars (ajusté à l’inflation).
Après 6 alunissages, les décideurs politiques et le public ont jugé que ces dépenses astronomiques ne se justifiaient plus.
Les missions lunaires ont été… pic.twitter.com/pn0EbBzME4— Fascinations (@fascinations_sp) January 1, 2025
Les priorités scientifiques ont changé
Après Apollo, l’intérêt s’est déplacé vers :
La Station spatiale internationale (ISS), pour expérimenter la vie en microgravité.
Les missions interplanétaires (Mars, comètes, astéroïdes).
L’observation de la Terre depuis… pic.twitter.com/1nPQkCWJYA— Fascinations (@fascinations_sp) January 1, 2025
Un demi-siècle d’attente… mais un futur ambitieux
Retourner sur la Lune, ce n’est plus juste “y aller”, c’est :
S’installer durablement sur la Lune, avec des bases lunaires (une présence continue comme pour l’ISS).
Exploiter les ressources locales (eau glacée aux… pic.twitter.com/kACjETCQJj— Fascinations (@fascinations_sp) January 1, 2025