Alors que l’ensemble du Système – du président déchu Emmanuel Macron à la crêpe retournée Jacline Mouraud en passant par les médiacrates traîtres à la Nation – menace les Gilets jaunes de toutes les foudres du ciel sioniste en cas de poursuite du mouvement, les Français en colère contre les décisions gouvernementales poursuivent leur action pacifique. N’en déplaise à ce pauvre Laurent Nuñez , qui tente vainement de les fasciser :
Loi "Anti-casseurs" : "C'est tout le contraire, cette loi vise à écarter les adorateurs du régime de Vichy, des adorateurs qui sont parmi les casseurs violents", estime @NunezLaurent dans #RTLMatin pic.twitter.com/xQk6DLCjdZ
— Elizabeth Martichoux (@EliMartichoux) 1 février 2019
Il en faudra plus pour empêcher les GJ de Saint-Quentin de défiler pacifiquement ! Le chantage à Vichy, à la Shoah, ça ne fonctionne plus. Les responsables de la sécurité, ou plus précisément de l’insécurité, devraient changer de méthode. À moins que l’objectif ne soit de mettre de l’huile sur le feu en utilisant tous les moyens mis à leur disposition : la police et les antifas. Mais les GJ ne se laissent pas infiltrer comme ça :
Plusieurs dizaines d’antifas viennent perturber le rassemblement des #GiletsJaunes à Daumesnil. Quelques rixes ont éclaté, les GJ tentent de les éloigner de la manifestation @A2PRL pic.twitter.com/HWeKjUF5Ic
— Boris Kharlamoff (@BorisKharlamoff) 2 février 2019
Des #Antifa au abords de la manifs des #GiletsJaunes confrontations avec des manifestants #ActeXII #Macron pic.twitter.com/z10f6lA5wV
— Asterix (@AsterixPatriote) 2 février 2019
Ce 12e rassemblement national est sous le signe de l’hommage aux victimes de la répression du triumvirat Macron-Castaner-Nuñez , le pire qu’on ait eu en France durant la Ve République. Cet exécutif de la honte rendra un jour des comptes devant l’Histoire pour tous les blessés que leur politique a occasionnés. Et on ne parle pas des blessures sociales, invisibles à Paris, et dont les GJ sont l’expression. Pendant ce temps, Brigitte, que la presse people essaye de relancer, relooke le palais de l’Élysée...
La salle des fêtes de l’Elysée avant / après le passage de la tempête Brigitte. L’état de catastrophe naturelle devrait être rapidement décrété...
Aux fous ! pic.twitter.com/U07qaQbnqM— Aramis (@Aramisunchained) 1 février 2019
Jusqu’au bout, on l’aura compris, le peuple de France devra payer pour ces élites dévoyées. Il faut boire le calice ultralibéral jusqu’à la lie ! Fallait pas voter Macron ! En même temps, cette faute historique a permis à tout un peuple de se réveiller et de séparer le bon grain de l’ivraie. Les syndicats, les journalistes, les politiques, tous sont tombés dans la poubelle de l’Histoire. Pratiquement pas un n’a échappé au grand coup de balai, ce dégagisme que prophétisait Mélenchon, sans savoir qu’il allait le dépasser, et peut-être le balayer lui aussi...
Au sommet de l’État, si l’on peut dire, les discours sont tellement mensongers que la loi anti-fake news devrait s’appliquer en comparution immédiate. Sauf si l’on considère que le pouvoir fait tout pour opposer les GJ aux FDO (forces de l’ordre) dans un conflit triangulé d’où la bande ultralibérale sortira encore une fois gagnante.
Christophe Castaner : "Si la loi était respectée, tout simplement, il n'y aurait pas de blessés" pic.twitter.com/rL07MmBcrq
— BFMTV (@BFMTV) 1 février 2019
Du côté du peuple, la venue de Jérôme Rodrigues, éborgné par un tir de LBD, a revigoré les troupes. Le gouvernement est aussi impopulaire que les leaders des GJ sont populaires.
11h30, Place Félix Éboué à Paris. #Acte12 Déja beaucoup de monde sur place. L’apparition de Jérôme Rodrigues fait monter l’ambiance. @T_Bouhafs pic.twitter.com/19JXoGEBjL
— Là-bas si j'y suis (@LabasOfficiel) 2 février 2019
La mobilisation ne s’essouffle que dans les médias dominants. À Saint-Quentin, des centaines de personnes se rassemblent ce samedi 2 février :
[#ActeXII] Beaucoup de monde devant l'hôtel de ville de #SaintQuentin - plusieurs centaines de #GiletsJaunes stationnent devant le bâtiment. Situation calme sur place. Des rassemblements en cours dans toute la #France en ce #2fevrier. pic.twitter.com/bMOLYVNSbi
— La Plume Libre (@LPLdirect) 2 février 2019
Les laquais du pouvoir racontent que les revendications des GJ sont confuses, voire contradictoires. Or elles n’ont pas changé depuis le premier jour, le 17 novembre 2018 : hausse du pouvoir d’achat, fin des ponctions sur les carburants, et aujourd’hui se rajoutent le refus de la répression disproportionnée d’État.
[#ActeXII] Des milliers de #GiletsJaunes sont déjà en train de manifester dans #Paris pour leur pouvoir d'achat et contre les #ViolencesPolicières. Ils demandent l'interdiction du LBD qui a déjà fait plusieurs blessés graves. #2fevrier pic.twitter.com/bO4d5ANlVe
— La Plume Libre (@LPLdirect) 2 février 2019
On l’a écrit de nombreuses fois, l’intrusion des black blocs et autres antifas dans les manifestations sont une décision du pouvoir profond. Mais les GJ ont une conscience politique, et savent de quoi il retourne...
Les #Giletsjaunes chassent les #Blackblocks de la place !! #ActeXII pic.twitter.com/6CN2LJsTOF
— PATRIOTOSORUS (@PATRIOTOSORUS) 2 février 2019