Depuis plus de 18 mois, nos gouvernants et les médias complices nous rabâchent :
« Le retour à la vie normale sera possible grâce au vaccin »,
« Vous retrouverez vos libertés quand vous serez vaccinés »
« Les non-vaccinés sont responsables de la poursuite de l’épidémie »
Mais aucune étude dans le monde réel n’a apporté le moindre début de preuve à l’appui de cette propagande marchande pro injection anti-covid.
Et l’analyse des données officielles de l’OMS (consultable à OMS covid dashboard [1]) est très inquiétante. Aucun des champions de la vaccination n’est parvenu à éliminer le virus ni à éviter de fortes reprises de l’épidémie et très peu ont totalement libéré leur peuple vacciné des mesures liberticides prétendument sanitaires imposées sans preuve scientifique de leur efficacité.
La Grande-Bretagne est le champion de l’injection AstraZeneca
Mais son haut niveau de « vaccination » ne l’a pas protégée d’une forte reprise de l’épidémie qui persiste depuis quatre mois, avec une moyenne de 40000 cas quotidiens.
Le 10 août 2021, témoignant devant les députés anglais, le professeur Sir Andrew Pollard chef de l’Oxford Vaccine Group a déclaré « le fait que les vaccins n’arrêtent pas la propagation de Covid signifiait que l’atteinte du seuil d’immunité globale dans la population était "mythique" », ajoutant « avec la variante Delta actuelle, ce n’est pas possible ».
Israël est le champion de l’injection Pfizer
Au printemps 2021, avant l’émergence du variant Delta, Israël avait été le premier pays au monde à croire avoir atteint l’immunité collective grâce à l’injection Pfizer.
Mais son très haut taux d’injection ne lui a pas permis d’éviter une nouvelle vague avec l’établissement d’un nouveau record absolu de contaminations quotidiennes (11000/J soit l’équivalent pour la France de 70000 cas/J). Et la mortalité quotidienne a suivi malgré les troisièmes injections. Cette résurgence de la maladie a fait reconnaître au ministre de la Santé que le taux d’efficacité de l’injection ne dépassait pas 39 % et qu’elle ne durait que quelques mois.
S’adressant à Channel 13 TV News le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a précisé que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées » et « 95 % des patients sévères sont vaccinés » détruisant ainsi la propagande vaccinale prétendant que le vaccin protégerait des formes graves.
Les Pays-Bas ont plus de 75 % de leur population vaccinée...
... mais ce grand succès de vente de pseudo vaccin est actuellement marqué par un record absolu des contaminations quotidiennes (12000/J soit l’équivalent français de 50000 cas/J) qui fait envisager de nouvelles mesures restrictives.
Là aussi la vaccination s’est révélée incapable de protéger la population.
Le 13 novembre le docteur Kuipers, spécialiste des soins intensifs a déclaré :
« La suggestion a été faite de l’immunité collective. Oubliez ça ! »
« Nous travaillons maintenant avec plusieurs scénarios. L’un est le suivant : il y aura toujours un grand nombre de patients corona. Avec un nombre substantiel de patients, nous devons vraiment organiser les soins différemment à long terme. Augmenter la capacité hospitalière pour accueillir tous les patients atteints de Covid-19 et de soins réguliers. »
Singapour est le champion asiatique de la pseudo vaccination anti-Covid avec environ 90 % de la population injectée
Mais ce succès du nombre des injections ne l’a pas empêché de subir un véritable tsunami de contaminations avec un nombre 4 fois supérieur au pic d’avant injection.
Le jeudi 19 août 2021, lors d’un multi- conférence du groupe de travail du ministère, le ministre des Finances Lawrence Wong a averti :
« Singapour n’atteindra pas l’immunité collective pendant la pandémie malgré son taux élevé de vaccination contre le Covid-19. »
« Le chemin pour devenir une nation résiliente au Covid sera une tâche longue et difficile. Même avec des taux de vaccination très élevés, nous n’allons pas atteindre l’immunité collective. »
Le 8 septembre 2021, Tikki E. Pangestu, expert en maladies infectieuses et professeur invité à la NUS Yong Loo Lin School of Médecine à Singapour a déclaré :
« Atteindre 95 % d’immunité collective contre le Delta est un mythe. La variante Delta étant désormais dominante dans la plupart des pays, la cible devrait plutôt être l’immunité aux maladies ou la prévention des maladies graves et des décès dus au virus. »
La Corée du Sud dépasse un taux de vaccination de 80 %
En juin les médias coréens se réjouissaient que l’immunité de groupe était à portée de main.
Ils prétendaient même « qu’elle serait atteinte dès novembre ». Le porte-parole du ministère de la Santé, Son Young-rae, prévenait que :
« Même après que l’immunité collective sera atteinte en novembre, les masques faciaux et d’autres mesures de sécurité resteront nécessaires. »
Mais, depuis octobre leur mirage s’évanouit, l’épidémie explose et la mortalité également :
En octobre, le nombre quotidien de contaminations s’est élevé à 2,5 fois celui du pic de l’épidémie avant la vaccination (2600 Vs 1000) et la mortalité a suivi.
Des chiffres démontrant que les vaccins ne résolvent pas le problème Covid ni celui des restrictions sanitaires.
L’Allemagne a injecté 70 % de sa population
Mais ce succès des ventes de pseudo vaccins n’a pas évité une forte reprise de l’épidémie en juillet avec croissance exponentielle depuis septembre avec un nombre de contaminations quotidiennes (36000) dépassant largement les records d’avant « vaccination ».
Les habitants du quartier gouvernemental de Berlin font un adieu lent et silencieux, sans déclaration, sans communiqué de presse, l’adieu à une illusion, à l’objectif que les politiques poursuivent depuis le début de l’année : l’immunité collective.
« Je peux malheureusement difficilement imaginer à ce stade que nous atteindrons l’immunité collective », a déclaré K. Lauterbach expert en santé des sociaux-démocrates de centre gauche (SPD).
L’euphorie vaccinale a apparemment cédé la place à la lassitude vaccinale, et une partie de la population ne veut toujours pas se faire vacciner, sachant que la protection vaccinale est beaucoup plus faible et plus courte qu’annoncée et les accidents post vaccinaux plus nombreux. Le pays apprend progressivement à vivre avec la pandémie, mais il peine, en partie parce que toutes les conséquences ne sont pas avouées et restent imprévisibles.
La population danoise est vaccinée à plus de 75 %...
... mais ce haut taux de « vaccination » a été incapable de lui éviter une reprise brutale de l’épidémie et une menace de nouveau confinement.
L’agence danoise des maladies infectieuses SSI a déclaré qu’elle ne pensait plus qu’il serait possible d’obtenir une immunité collective dans le pays grâce à la vaccination, ce qui signifie que Sars-CoV 2 pourrait continuer à circuler pendant des années.
« Si les vaccins étaient efficaces à 100 % contre les variantes actuellement en jeu et si nous avions une couverture vaccinale à 100 % chez les personnes de 12 ans et plus, alors nous pourrions parler de l’obtention d’une véritable immunité collective contre la variante delta », a déclaré Krause. « Mais malheureusement ce n’est pas la réalité, nous ne pouvons pas y parvenir. »
« Cela signifie qu’il est désormais logique de traiter Covid-19 de la même manière que nous traitons la grippe saisonnière, et de ne pas répondre aux vagues d’infection avec des restrictions strictes ». « Cela rappellera plus la grippe qu’avant », a-t-elle ajouté.
L’Islande est le pays européen le plus vacciné
Malheureusement, cette couverture vaccinale ne lui a pas évité une récidive majeure de l’épidémie.
En juin 2021 Þórólfur Guðnason l’épidémiologiste en chef de l’Islande déclarait que l’immunité vaccinale progressait bien.
Mais depuis la nouvelle vague, il a dû déchanter et reconnaître dans une interview à la radio publique que :
« La vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts espéraient et qu’en réalité l’immunité collective ne pouvait pas être obtenue par la vaccination. »
Faute de mieux, il tente une dernière fois de l’atteindre en incitant à un rappel (3e dose).
L’Irlande est également très vaccinée (plus de 75 % de la population totalement vaccinée)
En juin le Dr Vellinga déclarait :
« Avec les vaccins, si nous continuons comme nous le faisons, d’ici la fin de l’année, nous devrions avoir une situation assez normale ».
Mais une rechute majeure des contaminations est survenue début juillet 2021 qui s’amplifie encore depuis un mois.
La ville de Waterford a l’un des taux de vaccination les plus élevés d’Irlande contre Covid-19, avec 99,7 % des adultes de plus de 18 ans entièrement vaccinés, mais est devenue l’endroit avec le taux d’infection Covid-19 le plus élevé du pays.
Le taux d’incidence sur 14 jours atteint 1 486 cas pour 100 000 habitants, soit trois fois la moyenne nationale qui s’élève à 493 infections pour 100 000 habitants. La zone électorale adjacente de Tramore-Waterford City West a un taux sur 14 jours de 1 121 pour 100 000, selon les derniers chiffres hebdomadaires publiés par le Health Service Executive’s Health Protection Surveillance Centre.
Que penser de « l’immunité de troupeau » érigée en Graal par nos dirigeants ?
Thierry Breton, le commissaire européen en charge des vaccins, avait jugé possible une immunité collective le 14 juillet 2021 dans l’Union européenne. Devant le Sénat, il exposait ainsi le principe du certificat vaccinal :
« Rien ne sera obligatoire ! »
« On n’utilisera jamais le mot passeport. Ça donne le sentiment d’être obligatoire. Il ne le sera pas. Ce sera volontaire. »
Comment pourrait-on encore le croire ?
L’OMS avait d’emblée prévenu :
« Jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie ».
Le 12/11/2021 le Dr Jefferson Jones, médecin du groupe de travail sur l’épidémiologie Covid-19 du CDC concluait lors de la réunion :
« Penser que nous serons en mesure d’atteindre une sorte de seuil où il n’y aura plus de transmission d’infections peut ne pas être possible. »
Depuis lors, le CDC détourne son attention d’un objectif de vaccination spécifique qui, une fois atteint, présagerait la fin de la pandémie.
L’immunité de groupe ne pourrait être espérée par le vaccin que si celui-ci protégeait totalement les individus vaccinés suffisamment longtemps et les empêchait de transmettre la maladie. C’est le cas des vaccins contre la variole ou contre la fièvre jaune.
Or les faits avérés montrent qu’aucune de ces deux conditions n’est remplie par les pseudo vaccins anti-Covid. Les vaccinés ne sont protégés qu’à 40 % et guère plus de quelques mois, en cas d’infection leur charge virale est égale à celle des non-vaccinés infectés et ils peuvent transmettre parfaitement la maladie. Cela explique que l’immunité collective est irréalisable par la pseudo vaccination actuelle.
Conclusions
Ce panorama de l’évolution de l’épidémie dans ces pays champions de la vaccination, telle qu’elle est décrite par les données de l’OMS et les courbes de l’Université John-Hopkins démontre :
Que les pseudo vaccins Covid ne protègent pas les populations des récidives de l’épidémie
Que les agences sanitaires abandonnent l’espoir d’une immunité collective par la vaccination maintenant qualifiée de mythe par la quasi-totalité des agences qui y croyaient
Que cet échec est la conséquence de l’efficacité insuffisante et de la durée beaucoup trop courte des pseudo vaccins actuels qui n’empêchent ni d’être malade ni de transmettre la maladie
Que beaucoup d’experts pensent qu’il est temps d’apprendre à vivre avec le covid comme avec la grippe saisonnière.
Il est grand temps que notre ministre de la Santé considère les faits avérés et les conclusions des agences étrangères et cesse la quête infructueuse d’un Graal vaccinal illusoire et dangereux.
L’échec maintenant patent des pseudo vaccins est d’autant plus criant que les traitements précoces bon marché ont fait leurs preuves d’innocuité et d’efficacité en Inde comme en Afrique (Nigéria, Madagascar) lorsqu’on regarde leurs données publiées par l’OMS.
L’inde a privilégié les traitements précoces et préventifs par hydroxychloroquine et Ivermectine avec succès.
Le Nigéria a bénéficié des traitements quotidiens par les antipaludéens :
Madagascar est le champion victorieux de l’Artémisine :