Frédéric Mitterrand est au cœur d’un nouveau scandale que les médias taisent pour le moment mais qui pourrait bien lui couter très cher : le ministre aurait dépensé pour 120 000 euros de blanchisserie personnelle. Le tout payé par le contribuable…
C’est le scandale qui devrait couter (enfin) la tête à notre ministre présentateur de télévision : le site d’extrême-droite Nationpresse a retrouvé (pas compliqué en même temps, c’est sur le site du ministère de la Culture, ligne 143 du tableau Excel) un appel d’offre qui fait état d’un marché de 120 000 euros annuel pour « blanchissage du linge du ministre », donc pas pour l’ensemble du ministère (ce qui ferait déjà beaucoup), juste 120 000 euros par an pour laver le linge de Frédéric Mitterrand !
Ce n’est pas la première fois d’ailleurs que le neveu de tonton est épinglé pour ses pratiques d’Ancien Régime. Avant de demander à l’État de dépenser 1200.000 euros afin de laver ses draps, Frédéric Mitterrand s’était fait installer une petite sonnette sous son bureau pour appeler le petit personnel.
Tout de même, 120.000 euros, ça reste hallucinant !! C’est tout un club de boxe thaï qui est passé au Ministère ou quoi ??!!?? Ils ont diffusé combien de fois Karaté Kid sur la TNT en 2010 ?! Plus sérieusement, comment Nicolas Sarkozy peut-il conserver (pourquoi l’avait-il appelé d’ailleurs… ?) un tel ministre qui traîne autant de casseroles, ne sert à rien et représente tout ce qui dégoute les Français de la politique ?
Si Nicolas Sarkozy veut se réconcilier avec la France réelle en 2012, il devrait commencer par éjecter ce symbole d’un parisiannisme déconnecté du monde réel, hautain, malsain, et dont les pratiques ne collent pas avec une démocratie moderne.
Car Frédéric Mitterrand empoisonne le gouvernement depuis sa nomination. Pour ceux qui auraient oublié la moralité sans faille du courageux défenseur de ce pauvre Roman Polanski, injustement arrêté par les Américains pour un petit viol sur mineur alors qu’il s’agit tout de même d’un grand réalisateur, voici un extrait de son formidable roman autobiographique où il explique son penchant pour le « marché aux esclaves et aux éphèbes » :
« J’ai pris le pli de payer pour des garçons [...] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici .[...] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément [...]« .
Pourtant, Frédéric Mitterrand explique très bien sur une vidéo disponible ici le but de son livre « La mauvaise vie » dont est tiré l’extrait ci-dessus : « j’en parle franchement puisque c’est ma vie et que je veux faire un livre qui parle de la vie que j’ai menée » ; « le but de ce livre était de ne pas mentir ». Au moins c’est clair.
Donc, Frédéric Mitterrand n’est pas pédophile, il allait en Thaïlande dans des « foires aux éphèbes » afin de se payer des boxeurs de 40 ans comme il l’a expliqué de manière émouvante au JT de Laurence Ferrari. Comme tous les touristes sexuels qui se rendent en Thaïlande, il ne se payait que des majeurs et ceux qui n’auront pas compris que le terme « gosse » dans son livre désigne des adultes consentants, sont de vilains homophobes…
Il est temps de faire le ménage et de renvoyer à leur place les petits monarques qui abusent de leurs positions, ruinent les finances de l’État et usent le linge ministériel plus que de raison…