De plus en plus de pays ne supportent plus l’impérialisme américain nous indique François Asselineau, qui égrène la longue liste des pays soutenant la Russie ou ceux qui condamnent, parfois à demi-mots, mais persistent dans leurs relations commerciales et diplomatiques avec le pays de Vladimir Poutine.
Même BFM TV doit admettre que Poutine n’est pas isolé dans son propre pays et encore moins bunkerisé comme la propagande anti-russe qui inonde les médias d’une manière encore plus folle qu’avec le Covid-19 voudrait nous le faire croire :
« Une fois qu’on a dit, ça s’appelle une démonstration de force, il n’y a pas d’autres mots. Poutine – que le monde entier parce qu’il lit les journaux – qu’on disait complètement bunkerisé, paranoïaque, on avait l’impression qu’à chaque nouveau discours la caméra était dans un cadre de plus en plus serré, Poutine que tout le monde disait pas soutenu par sa population, eh bien vous pouvez appeler ça de la propagande, ce que vous voulez, mais il y a 100 000 personnes qui sont dans le stade Loujniki, on ne connait pas leur profil mais vous voyez bien que la télévision choisit des gens qui... enfin on n’est pas en Corée du Nord, si on regarde ces images, soyons honnêtes ce sont des gens qui sont plutôt jeunes, qui sont avec leur portable, il fait beau, il est 16h25 à Moscou... et très régulièrement vous voyez ces mots en rouge sur blanc "pour un monde sans nazisme", c’est presque un concours de l’Eurovision avec des messages de paix et surtout des messages de fraternité entre les Russes et les séparatistes pro-Russes, puisqu’on le rappelle qu’il s’agit d’un grand meeting concert pour les 8 ans de l’annexion de la Crimée, que la Crimée est revenue dans le giron russe, les frères de la Crimée, et puis maintenant on aimerait bien que les frères de l’Ukraine rejoigne aussi la Russie, mais ce qui compte c’est qu’on a vu Poutine en public, lui qu’on disait bunkerisé et absolument loin de tout. »