@Rose : Merci pour votre réponse.
Sur le second point, vous amenez la notion de révocabilité des représentants.
C’est bien le problème dans notre système où l’on doit se taper 5 ans de Macroneries alors que ses électeurs (seniors notamment) se sont rendus compte au bout de 18 mois qu’ils étaient cocus. Ensuite vous parlez des "Conseils Ouvriers fédérés" ; voici ce qu’en dit Wikipédia :
« Les conseils ouvriers fonctionnent selon les principes de la démocratie directe. Ils rassemblent l’ensemble des travailleurs dans des assemblées de base. Les élus de ces assemblées sont mandatés, doivent rendre compte de leurs activités devant l’assemblée, et sont révocables à tout moment par l’assemblée. »
C’est bien cela qui fait défaut aujourd’hui dans le système politique français et qui devrait être rétabli comme principe de base...
J’ai, pour ma part, cheminé sur le point 1 :
Aucune revendication clairement délimitée = de nombreuses revendications tout le temps rafraîchies, une lutte continue pour faire valoir ses droits... ce qui manque dans notre société actuelle où règne :
le divertissement (TV abrutissante, sportifs sponsorisés déconnectés du réel),
le Spectacle (Cf. G.Debord),
l’apathie (Tant que le frigo est plein...),
le progressisme (=Privilégier les minorités>>>>>Affaiblir la majorité).
Dans ce "bordel" généralisé, le peuple est divisé (gauche/droite) et il n’y a plus de fédération des travailleurs entre eux pour réclamer leur part de plus-value (Cf. Marx). Ce faisant, les lobbys (FM et autres réseaux tels que B’nai B’rith ou Bilderberg, les banques centrales et la BRI à Bâle, les Consortiums industriels tels que les multinationales ou les GAFAM, etc.), et les politiciens qu’ils manipulent, ont donc prix le contrôle. Nous (le peuple, les travailleurs) devons donc reprendre le pouvoir.
La question qui me taraude est la suivante. Si l’on définit le pouvoir par l’exercice de la violence légitime, ce mouvement des gilets jaunes a-t-il une chance d’obtenir des avancées s’il demeure pacifique ?
N.B. : Je prône la non violence.