Le mondialisme, dont tout le monde parle, c’est quoi en fait ? Ce sont les valeurs de gauche qui ont pour objectif de détruire les valeurs de droite. Ce sont donc des antivaleurs ou des valeurs perverties, car qui peut être contre la solidarité, la justice, la tolérance ?
Mais où est la tolérance quand l’Assemblée vote une loi contre la haine (qui n’est qu’une loi contre la colère légitime) destinée à protéger le pouvoir profond contre la colère du peuple, où est la justice quand des centaines de clandestins investissent un lieu symbole de la République pour réclamer des droits, où est la solidarité quand l’exécutif matraque les pauvres qui se font étrangler par la Banque ?
Les valeurs de gauche n’ont pas failli, c’est la gauche qui a failli. Elle a été trahie et elle a trahi le peuple en troquant ses valeurs (chrétiennes au départ) contre les valeurs mondialistes, qui sont, on l’a compris, la perversion des valeurs chrétiennes. Le but est de manipuler les valeurs chrétiennes pour détruire la société française, chrétienne depuis plus de 1 000 ans. La deuxième colonne vertébrale de notre société, ce sont les valeurs helléniques : le courage, la vertu, l’obéissance à un projet supérieur et à une divinité. C’est l’esprit de combat, le sens du sacrifice pour la communauté, la noblesse des sentiments (mais pas la mièvrerie hollywoodienne, cet euphémisme pour chialerie communautaire), la faculté de se transcender, tout ce qu’on retrouve dans l’esprit chevaleresque.
Les chevaliers, qui n’étaient pas des saints, sont aujourd’hui magnifiés parce qu’ils incarnent les valeurs chrétiennes, celles des faibles, et les valeurs grecques, celles des forts. Cela donne des individus qui utilisent leur force pour défendre les faibles, ce qui se fait de plus noble en termes d’action.
Le mondialisme s’évertue à détruire les valeurs chrétiennes et les valeurs grecques, chacun peut le voir à l’œuvre chaque jour. Il n’est pas une journée sans une attaque contre la solidarité et le courage, tout est fait pour souiller les vertus et abattre toute transcendance. Le monde, notre monde, la France, devient de plus en plus injuste et Paris est le théâtre magnifique et la caisse de résonance mondiale de cette altération. C’est le lieu de la guerre du Mal contre le Bien, notions que nous avons définies plus haut,
Le prof de droit américain qui décrit la France comme la « menace première contre la liberté d’expression » a raison : nous sommes passés dans l’ère post-démocratique. La représentation du peuple est faussée par les dispositifs médiatico-politiques qui filtrent tout ce qui peut déranger les intérêts du pouvoir profond. On en arrive à un pays schizophrène dont les députés votent une loi contre la haine... d’eux-mêmes ou de l’élite, alors que personne dans la France d’en bas ne donnerait la moindre voix à cette infamie. Toutes les représentations sont faussées, car toutes les valeurs sont inversées. En ce sens, Chouard a raison : la crise principale de notre pays est une crise de la représentation.
Cette semaine, plusieurs événements sont venus corroborer cette analyse d’une guerre contre les valeurs françaises par les fausses valeurs mondialistes, cette espèce invasive. Nous allons prendre les choses dans le désordre, car il n’y a plus d’ordre : tout vient en vrac, comme les coulées de lave d’une éruption. Les deux capitaines du Sea-Watch 3, ce navire qui importe contre la volonté des Européens des clandestins destructeurs de vivre-ensemble se voient décorés d’une médaille de la ville de Paris. On répète : les transporteurs d’esclaves modernes sont reçus et célébrés comme des libérateurs !
- Carola Rackete, capitaine négrière
Mieux, l’association d’importation d’esclaves pour le compte indirect de Soros va toucher un chèque de 100 000 euros de la part des Parisiens, qui voient chaque jour s’étaler la misère sous leurs yeux. Carola et ses commanditaires, organisateurs du terrorisme migratoire, sont l’illustration de la perversion de la charité chrétienne : d’ailleurs, la gauchiste allemande ne se définit pas comme chrétienne ; au contraire, elle a pour tâche de convoyer des pauvres d’un pays à l’autre, de vider l’Afrique de ses forces vives pour détruire le filet social européen, un double gain pour les mondialistes qui sont à l’affût des richesses africaines et de la neutralisation des luttes sociales européennes. Nous ne sommes plus dans la charité mais dans un projet grandiose d’extension de la misère et de soumission des peuples. Carola, avec ses dreadlocks et sa cervelle de piaf, ne peut comprendre la manipulation dont elle est l’objet.
Autre coulée de lave, le policier lanceur d’alerte – Alexandre Langlois – qui avait dénoncé la violente répression contre les Gilets jaunes a été suspendu par Castaner pendant un an. Et pour bien montrer la fracture entre le haut et le bas, sa cagnotte se monte déjà à 33 000 euros, un « pied-de-nez » à l’exécutif, pour ne pas dire plus (doigt d’honneur, quenelle, etc.).
« Honnêtement, je ne savais pas à quoi m’attendre. Je suis content de ce succès. C’est un beau pied-de-nez à Castaner qui montre que beaucoup soutiennent une police républicaine et les valeurs que le syndicat VIGI porte. J’ai été très heureux du résultat. » (Alexandre)
Parce qu’il fait partie de ceux qui ont le courage de relever la tête et de s’indigner face à l’injustice et au mépris quand les autres se comportent comme des moutons ... #SoutienAlexandreLanglois https://t.co/HxkbXbvIN4
— François Boulo (@BouloGiletJaune) 4 juillet 2019
Mais comme on vit en Injustice, le nouveau nom de notre pays avant que les Justes ne reprennent le pouvoir, il y a fort à parier que sa cagnotte, comme celle du boxeur Dettinger qui avait atteint la somme record de 127 000 euros, finisse d’une manière ou d’une autre par être bloquée par les autorités.
Pendant ce temps, François Ruffin, l’homme qui se verrait bien Mélenchon à la place de Mélenchon, rejoue la Marseillaise avec le vieux groupe punk La Horde (qui a le nom de l’officine de police politique et de délation anti-nationale infiltrée par le gaucho-sioniste Claude Halphen, un ancien d’Action directe, et gérée par Papathéodorou, du Monde)...
Rappel : Ruffin a appelé en mai 2017 à voter Macron, c’est-à-dire la Banque, contre le « danger » nationaliste, c’est-à-dire le peuple...
Toujours à Paris, on apprend que le banquier pédophile sioniste Jeffrey Epstein avait une résidence dans la capitale, et les hiérarques de notre ville ne pouvaient pas ignorer le pedigree de ce mondialiste en diable. De plus, l’organisateur de soirées pédophiles pour l’hyperclasse (les noms commencent à sourdre outre-Atlantique) est maintenant soupçonné d’appartenir au Mossad... Quelle découverte, quand on sait que le Mossad doit subvenir à ses propres besoins, vu que l’État israélien est radin comme pas deux... Cela explique tous les mégabraquages internationaux avec escrocs qui se replient sur Israël et qui ne sont jamais extradés, n’est-ce pas...
À Paris encore, parce que c’est le centre de toutes les « affaires » et le nouveau réacteur du mondialisme (parions que cette centrale du Mal et de la Dinguerie finira un jour comme Tchernobyl), le comique Gad Elmaleh n’en finit pas de couler, jour après jour, avec la révélation de ses « emprunts » successifs, récurrents, pathologiques. Toutes ses idées les plus juteuses, celles qui l’ont rendu riche (lui qui aime appeler sa mère de sa suite dans un palace), ont été largement inspirées ou pillées à droite et à gauche, du Maroc (pour le sketch du Blond) au Canada, pour ses sketches les plus visuels. Elmaleh représente le showbiz et ses excès, la soif de notoriété, l’avidité, et au final, la chute. D’après nos calculs, ce qui arrive à Gad n’est que le début, car dans ce milieu, tout se tient par le mensonge. L’effet domino va jouer...
Heureusement, la Justice veille : elle vient de condamner l’homme qui a injurié Alain Finkielkraut, le faux philosophe mais vrai national-sioniste (et ex-socialo-sioniste) à deux mois de prison avec sursis. On ne touche pas à un agent sioniste des médias (sionistes) qui tient la plus vieille émission (sioniste) de radio sur le service public (sioniste) !
Il est vrai que le monsieur en jaune y a été un peu fort. Il suffisait de dire que Finky représente la ligne politique en cours : immigrationniste il y a 30 ans, anti-immigrationniste aujourd’hui, mais toujours antifrançais d’une manière ou d’une autre, car 100 % pro-israélien. Dans le fond, l’homme en jaune a raison, mais dans la forme, ce n’est pas bien. Finky est bien un « sioniste » mais le mot « sale » est en trop. La colère doit se coupler avec la raison sinon on va tous finir en taule, même si on a raison. La vérité, aujourd’hui, ça vous mène tout droit à la 17e chambre !
Le Figaro résume la chose :
« Le tribunal a notamment estimé que ces propos “apparaissent viser Alain Finkielkraut comme personne de confession juive”, par le recours aux stéréotypes habituels antisémites, décrivant les personnes de confession juive comme n’appartenant pas à la communauté nationale, selon la décision consultée par l’AFP. “Les injures apparaissent ici avoir été proférées à raison de la religion de la personne visée, le terme ’’sioniste’’ venant ici purement et simplement dissimuler le caractère antisémite des propos”, a encore considéré le tribunal.
“Mon client conteste tout antisémitisme et on considère qu’il y a un deux poids, deux mesures, quand on voit les propos tenus régulièrement sur tous les plateaux télévisés par Alain Finkielkraut et qui n’ont jamais été repris par le ministère public”, a réagi l’avocat de Benjamin W., Me Ouadie Elhamamouchi. Il a annoncé son intention de faire appel. »
Il y a deux justices, il faudra l’admettre une fois pour toutes et arrêter de chouiner : celle d’en haut, du pouvoir sioniste, intouchable, et celle d’en bas, des touchables, des matraquables, des insultables. Qu’on se le dise !
Malgré tout ça, malgré les agressions quotidiennes contre les valeurs que nous défendons – droite des valeurs et gauche du travail –, le mondialisme ne gagnera pas aussi facilement. Certes, les poutres de chêne pétrifié de Notre-Dame ont été réduites en cendres par le Malin, mais nos valeurs ne sont pas de ce bois qui brûle, là où mites et vers rongent... Elles sont dans notre cœur, elles sont malgré l’apathie générale – et parfois le désespoir – bien enfouies dans le cœur du peuple de France (qui ne le sait pas toujours), et il faudra aller les chercher à la Poutine, jusqu’au fond des chiottes !