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Flammarion, Netflix : tout le monde veut les droits du bouquin de la star Gisèle Pélicot

Les éditeurs et les plateformes vidéo se battent pour acheter les droits du livre à venir de la Gisèle, victime de cinquante violeurs, qui a l’air bien en forme pour ses 70 ans. Elle est désormais un sex symbol.

 

Une première maison d’édition, assure Le Figaro, a mis 1,2 million sur la table, et Netflix, qui peut lâcher dix fois plus, est fan. On parle même d’elle pour un Nobel de la paix... De la paix des ménages ? Croyez-nous, on va en bouffer, de la Gisèle.

Gisèle assume son statut de star et n’était pas choquée, pendant le procès, que ses ébats soient diffusés sur écran géant devant tout le monde. Officiellement, c’est pour que la honte change de camp. L’âme est si complexe...

Trente millions de violées

On n’est pas au bout des paradoxes, avec cette innocente victime qui gère sa nouvelle carrière de star. Bientôt le mug Pélicot, le GHB Pélicot, la bière Pélicot, et peut-être un petit OnyFans.

Son pervers de mari croupit en taule pour vingt ans, gageons qu’il aura des histoires à raconter à ses codétenus, si ces derniers le laissent tranquille, c’est-à-dire s’ils ne le considèrent pas comme un violeur classique. Mais le Pélicot reste sous le coup de deux accusations possibles de meurtre, car au moins deux femmes ont été violées et assassinées selon le même modus operandi, un type qui va voir une agence pour visiter un appart, et qui finit avec un chiffon imbibé d’éther et une cordelette à la main...

 

 

Pendant que les spécialistes d’AnaCrim cherchent des correspondances dans quelques cold cases, la jeune actrice Adèle Haenel gagne son procès contre son réalisateur bourreau, âgé de soixante ans, qui va croupir quatre ans en taule, dont deux ferme mais sous bracelet.

 

 

Le cinéma français, empêtré dans son MeToo, est en train de sombrer. Il n’était déjà pas bien en point, mais là, il touche le fond. On comprend pourquoi plus personne ne veut prendre de risques avec l’amour, le plaisir et les relations hommes-femmes. Pour les amateurs de grand spectacle, il reste Les Tuche et Toutes pour une.

Comme on n’a pas dix balles à perdre et qu’on est abonnés au Figaro, on a eu une idée de génie, qui plus est économique : reprendre sa critique !

Rouve, en plus de coiffer la perruque frisée du patriarche Jeff, passe derrière la caméra. Trois coscénaristes l’ont tout de même aidé à imaginer les Tuche à Londres, sous prétexte d’accompagner le petit-fils à un stage de football à Arsenal. À l’arrivée, moins de frites, mais trois fois plus de clichés et de gags nuls.

Aux toilettes, Jeff urine à côté d’un ourson en ciré - on croyait Paddington au Pérou , on se trompait. On a échappé à Harry Potter aux cabinets. Au pub, un faux Hugh Grant, libraire à Notting Hill, drague la fille Tuche. À Buckingham, un faux Elton John joue du piano. La famille royale est le clou du spectacle, avec Bernard Menez en Charles III. Cathy apprend à la reine Camilla à faire les vitres avec du papier journal.

 

Des gags géniaux, surtout quand Camilla prend un testicule de morse dans la poire, ah ah ah ! Heureusement qu’il y a Les Tuche, ça rattrape un peu du flop de Toutes pour une. Dernièrement, l’actrice Sabina Ouazani n’a pas été très tendre avec le public français.

 

 

Cette petite insulte due à l’énervement devrait heureusement faire revenir le public dans les salles où passe ce grand film. Actuellement il n’y a que deux téméraires par salle.

Notre proposition : les Tuche adoptent Gisèle, qui découvre la beu avec les ados, ne se souvient plus de rien et certains en profitent... C’est un film 50 %, cochon 50 % humour, du LOLX, si l’on peut dire.

Gisèlemania

 






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60 Commentaires

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  • Franchement j’hésite : qu’est ce qui vous rend le plus mal à l’aise ? Le sourire de madonne de la Gisèle ou la joie post-funérailles de la mère de Nahel le petit ange ?

     

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  • Ou étaient les parents d’Adèle Haenel quand cette jeune adolescente allait rejoindre le réalisateur ?
    Ils organisaient les visites de leur fille comme la mère de Vanessa Springora avec Matzneff ou de Samantha Gailey avec Roman Polanski, ou ils tenaient la chandelle ?
    Parce que j’ai un doute qu’à un si jeune âge, comme les autres citées elle puisse avoir tout décidé d’elle-même.
    Il y a des bonnes questions à poser, me semble-t-il. Du genre de celles qui ne seront jamais posées parce qu’elle font désordre dans la monotone rengaine féministe.
    Quelqu’un, ici je crois, avait parlé de couple échangiste et partouzeur à propos des époux Pélicot. Cela éclairerait d’une lumière différente cette tragédie moderne d’une victime de chez victime d’un bourreau de chez bourreau.

     

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  • #3488359

    La Ouazani, elle a pris un peu trop la confiance.
    Parions que le score de 11.000 spectateurs de son film naze (forcément naze puisque inutilement woke) se chargera de la ramener sur Terre.

     

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  • Moi Gisèle je la crois pas . Pour réussir une anesthésie parfaite faut 10 ans d’études de médecine et une structure hospitalière. Un amateur aurait soit tuer le sujet par overdose ,soit echouer a obtenir une veritable inconscience .Le bon dosage est impossible à obtenir 100 fois de suite .En plus y a le phénomène d’accoutumance qui augmente progressivement la tolérance au produit , ce qui compliqué encore le dosage. Gisèle y trouvait son compte. D’ailleurs faut pas oublier que ce n’est pas elle qui a révélé l’affaire .

     

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    • #3488454

      ….en effet, Gisèle utilise La Défense classique des « professionnelles « qui se font gauler par la mondaine , se victimiser, la justice vous classe directement dans la catégorie « espèce protégée « , sinon c’est le fisc qui vous tombe dessus , et adieu votre bas résille bien rempli,
      En outre la « justice a eux » y trouve egalement son compte, puisque cette jolie fable, permet de faire oublier , quelques « disfonctionnents » dans la carrière criminelle de monsieur pelicot…..

       
    • Il faut arrêter le déni : si, ça existe.

      Benzodiazépines + amnésie traumatique liée aux viols... Ainsi, ce genre de sévices peut durer des années et rester inaperçu. La drogue s’accumule dans le corps entraînant par ailleurs des effets secondaires qu’elle a bien décrits. Le phénomène est très certainement sous évalué dans ce pays où ce type de molécule est prescrit à tout va. D’autres affaires comparables sortiront. Ce n’est pas une nymphomane en manque quoiqu’en pensent certains !

       
  • C’est bizarre. Il y a une histoire récemment ou une petite fille de 10 ans était prostituée par sa propre mère et son beau père auprès de dizaines et dizaines de clients comme Madame Pelicot, et exactement sur le même site que celui ou rodait le mari de Gisèle d’ailleurs et là ça n’a pas fait le même scandale ni eu la même ampleur médiatique internationale. Comme quoi quand on veut faire avancer l’agenda du mondialisme contre l’homme blanc la starification est plus favorisée d’un coup...
    Peut être qu’E&R pourrait faire un article dessus d’ailleurs, histoire de bien faire le comparatif et d’afficher ceux qui nous gouverne avec toutes leurs arrières pensées et manipulation derrière.

     

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    • vous avez raison en evoquant le cas de cette malheureuse enfant livree par ses propres parents. Il serait interessant de savoir comment l ’affaire s est divulguée, droguee elle n avait pas conscience de ce qu elle subissait. Mais cette affaire a l inerse de la Pelicot ne pouvait avoir la meme publicite car elle beneficie automatiquement du huis clos. Madame P aurait pu beneficier du huis clot aussi, sinon pour elle,pour ses enfants et petits enfants, car pour elle c’est une forme de vedetariat. je suis desolee de le dire cette affaire est degoutante et illustre bien que notre societe est malade de sa sexualité qui a quité le domaine du sacre donc du péche pour s engluer dans l abjection de la dependance telle une drogue asservissant le paysage mediatique.

       
    • Carlota,
      Je suis tout à fait d’accord avec vous.
      La licence sexuelle, appellée liberté sexuelle, avec sa dépendance aux satisfactions sexuelles, génitales plutôt, à la pornographie qui n’a aucune limite, à la solitude affective et l’immaturité psychologique, ne font que produire toutes sortes de dérives dont celle-là.
      Parler des conséquences sans vouloir mêmem mentionner la possibilité d’un lien c’est refuser de soigner et de prévenir ce dont nous sommes tous malades dès lors que nous ne refusons pas l’ensemble de cette façon de voir l’amour, le corps, la liberté.

       

  • Notre proposition : les Tuche adoptent Gisèle...



    Sur l’affiche, Mamie Suze a été remplacée par Mamie Suce...

     

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  • Et toujours rien sur le réseau Epstein ? Pas de film ? De documentaire ? Une enquête peut être ? Non toujours pas ? Le fait divers "Pélicot" ils peuvent en faire des falafels...

     

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  • Cette histoire Pélicot, c’est pour donner de la France une image méprisable, laide.
    Cette femme âgée sans artifice devient une incarnation de la France. Un mélange de sexualité (apanage de la jeunesse) et de déchéance physique, propre à la vieillesse ; c’est disharmonieux et même révoltant.
    L’autre pendant d’oreille, c’est le mythe Brigitte Macron, flanquée de sa Mimi Marchand, qui elles, ont misé sur l’artifice pour tromper le regard. Cependant, il n’y a aucune beauté à les voir.
    Il y a aussi, pour l’image de la France, l’obèse actrice ou acteur qui singeait Jésus de la "Cène".
    Il y a Sardine Ruisseau et ses airs niais.
    il y a les influenceuses les plus bêtes et putassières possible.
    Le monde est sournoisement prié de compatir à la victimisation d’une personne qui n’inspire pas la sympathie à cause de son âge avancé. Les gens pensent : elle n’est pourtant pas née de la dernière pluie.
    En revanche les petites victimes enfantines innombrables d’abus inspirent une sympathie immédiate.
    C’est pourquoi le médias d’égout n’en parlent pas et nous servent jusqu’à la nausée ces femmes-images dégradées d’un pays haï par eux, qu’ils ont décidé de détruire, il y a longtemps déjà.

     

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  • Je suis une femme et, depuis le début, je ne crois pas un mot de ce bobard.
    Il est impossible qu’à des dizaines de reprises elle ne se soit pas rendu compte le lendemain matin qu’elle avait eu des relations sexuelles pendant la nuit.

     

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  • Selon l’enquête et cité durant le procés, une des exigences de Pelicot, le mari, était que sa femme soit sodomisée . Elle aurait donc été sodomisée 150 fois par des brutes sous viagra et alcool et elle n’a jamais eu mal au derrière !? Elle reçevait des " gorges profondes " . Pas une trace , de sang , de foutre , de merde. Dans son sommeil ? Un coma oui suite à une massive dose de somnifére. Somnolence, migraines l’estomac patraque.
    Rien ne tient debout. Deux pervers et 50 vicieux .
    Et fauchés en plus ? Merci Netflix . Une escroquerie.

     

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