« Souvent, il semble que l’esprit s’oublie, se perde, mais à l’intérieur, il est toujours en opposition avec lui-même. Il est progrès intérieur — comme Hamlet dit de l’esprit de son père : "Bien travaillé, vieille taupe ! »
La vieille taupe est à l’intérieur de chacun, de l’oligarque au SDF en passant par le monde carcéral qui reproduit à l’intérieur même des maisons d’arrêt les rapports de classe, de dominants à dominés, du marché noir et autres trafics, en passant par le monde de l’entreprise.
La vieille taupe sont ces « deux serpents » lovés à l’intérieur de notre corps le long de notre système cérébro-spinal. Les conditions de reproduction extérieure de cette contradiction, cette querelle atavique faite de tensions puis si tous se passe bien vers des accords, transite par nos pensées, nos sentiments puis nos actions, nos réalisations, nos projection ou projets ainsi que dans nos relations à nous-mêmes, familiales, voisinage, collègues, etc ...
Le Capital n’est pas qu’extérieur puisqu’il ne vit que par l’illusion de nos croyances mais surtant de notre incapacité encore actuelle à harmoniser les deux tendances serpentaires : l’une est égoïste, l’autre altruiste. Ils s’accusent mutuellement. C’est aussi la querelle entre homme&femme, lorsqu’ils ne perçoivent pas, le tiers exclu dans la résolution de leurs difficultés.
Tout ceci se passe encore à notre insu. Il est clair en ce qui me concerne que la fin dite terminale après bien de ses tentatives de jouer les prolongation dans la prolongation, c’est la naissance de la communisation de tous les biens, les services, et la libération des prolétaires car ce sont machines qui effectuent les travaux répétitifs désormais.
Entre les deux périodes qui s’annoncent historiques dans l’Histoire, la rupture s’accentue et ne cessera pas. Nous n’échapperons pas au chaos. C’est la période de l’entre-deux.
Ce n’est seulement qu’à travers lui que se dessinera ou pas la nouvelle ère d’ores et déjà en route, celle que précisément les Schwab & cie veulent initialiser sans rien changer sur le fond, par un communisme de pacotilles préservant leurs intérêts racialistes.
Sauf que l’Esprit, celui évoqué par Shakespeare dans la citation ci-dessus, intervient d’ores et déjà, en ayant désigné la Russie comme garde-fous ...
@ Vieille Taupe : au lieu de communisme qui n’a jamais exister vraiment parlons plutôt de communisation. Expliquez aussi les termes fétichisme et aussi marchandise : il faut développer