La présentation de la vidéo :
Après l’homéopathie et les teintures mères déremboursés, des huiles essentielles en passent d’être interdites, le CBD [Cannabidiol, NDLR] et la vitamine D sur la sellette, la FDA aux États-Unis accélèrent sa chasse contre les remèdes naturels : aloe vera, alfalfa, curcuma, pissenlit, gingembre, magnésium, papaye, quercetine, resveratrol, rhubarbe, sauge, tea tree, zinc et autres substances sont étudiés de près pour avoir une « nouvelle règlementation ».
À l’heure où une étude explique que le CBD est intéressant pour lutter contre le covid, on vient d’interdire sa vente en France.
De même la psilocybine, principe actif des champignons hallucinogènes considéré un temps comme une drogue dangereuse est, en réalité, un remède et agit favorablement sur 80 % des dépressions au point qu’on lui a accordé le statut de « thérapie innovante » pour traiter la dépression.
Quel est l’intérêt de durcir la règlementation ? Quels poids des lobbys à l’heure des scandales du dioxyde de titane dans les médicaments, au pyrophosphate, aux huiles hydrogénées, au glutamate de sodium, ou encore du chlordécone ?