Les masques tombent pendant la guerre du Haut contre le Bas, des élites contre les Gilets, et des têtes suivent. Des politiques, des journalistes et des people ont perdu pour toujours leur légitimité, leur crédibilité, le respect du peuple. Ces dignitaires ont révélé leur vrai visage, et les Français ont été estomaqués par la laideur morale de ces soi-disant élites. Une poignée emblématique de ces collaborateurs est jugée ici par un tribunal populaire composé de résistants à l’ordre dominant imposé par l’Occupant.

 

Se couper du peuple c’est se couper de la France car la France, ce ne sont pas ces élites interchangeables qui ont pris le pouvoir par le truchement d’une démocratie falsifiée, mais les Français dans leur ensemble, qui portent l’âme du pays d’une génération à l’autre comme un flambeau. L’élite, acculée au mur de ses mensonges, monte le son de la répression. Peine perdue, le peuple n’en fait plus qu’à sa tête, il n’écoute plus les maîtres, leur crache à la gueule et rend même les coups. Quand le chien cesse d’obéir, il devient dangereux.
Voici les 10 Français qui justifient la rupture de la laisse.

 

 

1 – Jean-Michel Aphatie

À tout seigneur, tout honneur : on commence par le pire anti-Gilets jaunes que le monde ait connu, l’homme qui a tout donné pour ses Maîtres – toutes les parties de son corps et de son âme –, le pseudo-journaliste Jean-Michel Aphatie. Pour lui on a retrouvé un extrait du Petit Livre rouge du président Mao, 3e livre le plus vendu dans le monde après la Bible (4 milliards d’exemplaires) et le Coran (3 milliards).

« Pas d’enquête, pas de droit à la parole. Vous n’avez pas fait d’enquête sur un problème, et on vous prive du droit d’en parler. Est-ce trop brutal ? Non, pas du tout. Du moment que vous ignorez le fond du problème, faute de vous être enquis de son état actuel et de son historique, vous n’en sauriez dire que des sottises. Et les sottises, chacun le sait, ne sont pas faites pour résoudre les problèmes.

Ceux qui font un travail pratique doivent à tout instant être au courant de la situation qui ne cesse d’évoluer […]. C’est pourquoi quiconque fait un travail pratique doit mener des enquêtes à la base. Pour ceux qui ne comprennent que la théorie sans rien connaître de la situation réelle, il est d’autant plus nécessaire de procéder à de telles enquêtes, sous peine de ne pouvoir lier la théorie à la pratique. “Sans enquête, pas de droit à la parole” – cette assertion qu’on a tournée en dérision en la taxant d’“empirisme étroit”, je n’ai jamais regretté de l’avoir avancée ; je persiste au contraire à soutenir qu’à moins d’avoir enquêté on ne peut prétendre au droit à la parole. Il en est beaucoup qui, “à peine descendus de leur char”, s’égosillent, prononcent des harangues, distribuent leurs avis, critiquant ceci, blâmant cela ; en fait sur dix d’entre eux, dix vont au-devant d’un échec. Car leurs discours, leurs critiques, qui ne se fondent sur aucune enquête minutieuse, ne sont que bavardages. »

On sait bien qu’en bon petit toutou de l’oligarchie, Aphatie va nous rétorquer, avec sa culture de poulet, que le communisme de Mao a tué des centaines de millions d’innocents. La famine aussi, et l’histoire est pleine de fosses communes, le capitalisme étant l’un de ses plus grands fossoyeurs. Arrêtons de nous jeter des morts au visage et regardons Aphatie, ce symbole du journalisme docile, couler tranquillement sous nos yeux. Quand le niveau de conscience monte, les imposteurs se noient.

Aphatie, ce sottisier à lui tout seul, incarne ce journalisme de cour qui n’a plus court grâce à l’Internet. Verdict du tribunal : 30 ans de camp.

 

2 – Emmanuel Macron

 

Que dire sur le petit prince de la Banque, le chouchou des milliardos ? Le croisement post-humain entre le CAC et les médias a mis moins de deux ans pour foutre le feu à la France, à ses rues et à ses monuments. L’ultralibéralisme est vraiment un truc de fous dangereux. Sauf qu’il n’y a pas d’HP pour ces gens-là qui sont à la fois les fous et les psychiatres, un cocktail mortel.

Dire que le mage Attali nous avait promis une super croissance en cas de super libération de l’économie… Macron est la preuve de son échec absolu. On ne gouverne pas un pays, surtout la France, comme une entreprise, surtout avec autant de corruption. Et puis quelle leçon recevoir d’Attali, qui ne fait bosser dans sa boîte que des bénévoles et des étudiants ?

 

3 – Lilian Thuram

Salut Lilian, du fond du cœur merci pour les deux buts en demi-finale de Coupe du monde 1998. Pour le reste, le footeux reconverti dans l’antiracisme pour incultes gagnerait à la boucler. Son essentialisme noir qui vire au racialisme fait tache sombre sur son CV.

« Nous sommes des êtres d’émotion, c’est normal que nous soyons touchés. Moi, je suis Parisien, donc c’est normal qu’effectivement, devant une catastrophe comme ça, vous soyez touché, ému. Mais on a l’impression que, parfois, il y a des hiérarchies qui s’installent dans l’émotion... Il y a des gens qui meurent en voulant traverser la Méditerranée et en fait, le monde n’est pas ému comme ça. »

Lilian est repris de volée dans la foulée :

 

 

4 – Thomas Legrand

Le boloss de France Inter ne connaît plus la France. Il lance ses oukases de petit soldat du mondialisme de sa chaire de cureton sans dieu, mais il se garderait bien de la ramener au milieu des gens qu’il méprise. Le naufrage de la profession de journaliste doit beaucoup aux Thomas Legrand.

On ne résiste pas à l’envie de ressortir son tweet de journaliste qui refuse de se poser des questions (on l’a déjà mis ailleurs mais faut bien vivre). N’importe quel prof de n’importe quelle école de journalisme l’aurait foutu dehors direct après une telle assertion.

 

 

5 – Delphine Ernotte

Bien vu le coup des trois Blanches, qui se pensent victimes du sexisme des hommes, et quelle pub pour la diversité... Ernotte qui fout Patrick Sébastien dehors, alors qu’il réalise des scores supérieurs aux bien-pensants, Lapix qui devient incontournable depuis son mariage avec Publicis, et Lemoine qui ne doit sa situation privilégiée qu’à l’influence du lobby gay à la télé et au féminisme qui baigne le service public, jusqu’à le noyer. Ces trois grâces sont le signe que la télé française est en train de crever. Jusqu’à quand devra-t-on payer pour cette crevure ?

 

 

6 & 7 – Laeticia & Gad

 

On les a mis ensemble car ce sont les deux people les plus controversés du moment, pour ne pas dire plus.

Laeticia, on ne l’appellera pas Hallyday, par respect pour Johnny. On a tous en tête des histoires de dilapidation d’héritage par des héritiers plus ou moins talentueux, en général moins. Laeticia, malgré le forcing médiatique d’une Mimi Marchand qui gère son image – bonne chance Mimi – se fait dégommer sur les réseaux sociaux à chaque tentative de manipulation des femmes. Car c’est le public féminin qui fait l’opinion (Dolfi savait déjà que pour gagner les élections, il fallait se mettre les Allemandes dans la poche). Mais les Françaises détestent les ambitieuses quand elles sont dénuées de talent.

 

8 – Michel Houellebecq

 

 

Le truc de Michèvre c’est de faire dire des horreurs à ses personnages – l’islam c’est de la merde, l’homme blanc est foutu, Sarkozy est un ami, Macron est gentil, je fais comment pour défiscaliser tout mon fric – et quand on lui demande si c’est ce qu’il pense, il dénonce son personnage. Le roman, ça permet de tout dire, et du coup, il peut tranquillement aller à l’Élysée avec sa compagne pour toucher sa médaille à la con. La jeune Zoë Sagan a décrit la cérémonie sur Facebook. Attention, certains mots en rapport avec le sexe (la fonction de reproduction animale) et la drogue (des médicaments interdits et chers) peuvent choquer.

 

8 – Bernard Lavilliers

 

« Au début, j’ai signé derrière eux. Mais là, ça vire au poujadisme. Et on sait où le poujadisme mène : au Front national. »

Sacré Bernard, toujours aussi socialiste ! Le chanteur exotique accuse les Gilets jaunes de « poujadisme », comme un vulgaire BHL ou un grossier Castaner. Tout le monde est vulgaire, vous l’avez remarqué, dans l’élite actuelle. Le vulgaire était l’apanage de la foule et, ô renversement, la foule aujourd’hui est transcendée par la lutte, le fleuve jaune a de la gueule.

En face, de l’autre côté du Styx, on fait la gueule et on tremble devant la puissance populaire exprimée. La trouille contamine tous les people, qui pensent tiroir-caisse avant tout : aura-t-on encore des spectateurs, des acheteurs, des fans ? Ben non, ça aussi c’est du passé messieurs-dames. Un grand nettoyage par le vide se prépare, après celui des politiques et des journalistes. La restructuration du People va en laisser pas mal sur le carreau.

Extrait de Paris Match :

« On l’a dit admirateur de Mélenchon, il dit au contraire “plutôt bien aimer Macron, même s’il est entouré d’une bande de stagiaires. Mais à part lui, je ne vois aucune autre alternative”. Bernard réaffirme d’ailleurs, tapant du poing sur la table, qu’il n’est pas un artiste politisé. “Je n’ai jamais soutenu qui que ce soit. Je chante dans les usines, c’est tout. Je suis un anarchiste, je suis du côté des syndicats. Jamais tu ne me verras du côté des hommes politiques”. On lui rappelle ses déjeuners avec François Mitterrand, il répond du tac au tac : “J’étais invité à l’Elysée. En quoi est-ce un soutien ? Ce qui compte, c’est d’être du côté du peuple”. »

N’importe quoi ! Même chopé en flag par la patrouille, il nie le gros Bébert.

 

9 – Castaner & Nunez

 

Les Laurel & Hardy de la répression feraient tout juste pitié s’ils ne donnaient pas ces ordres injustes aux policiers, qui ont ruiné en 5 mois tout le capital sympathie amassé depuis les attentats de 2015. On se demande même si leur image est réparable... Il est encore temps de tourner matraque, les gars !

 

 

 

10 – Marc-Olivier Fogiel

On va terminer ce procès avec un feu d’artifices de tweets, de vidéos et de déclarations du grand journaliste LGBT.

Fogiel patron de BFM TV, c’est logique finalement, qui se ressemble s’assemble. Si la chaîne d’info continue nous avait demandé notre avis (mais personne ne nous le demande jamais, allez savoir pourquoi), on lui aurait dit de faire attention, qu’un type condamné pour injure raciste prenne la tête d’une télé à l’image complètement cramée ça peut ressembler à un suicide organisé.

L’antisémitisme c’est insupportable, c’est vrai, surtout quand on nous bassine toute la journée avec ça pour nous faire les poches. En revanche, acheter des mômes à des pauvrasses du tiers-monde (il y a aussi un tiers-monde dans le monde occidental), ça c’est supportable.

 

 

Marc-Olivier va voir son livre sur la GPA – Qu’est-ce qu’elle a ma famille ? (Grasset, 2018) – adapté à la télévision. Un grand succès pour le progressisme en perspective. Au fait, des pauvres qui veulent s’acheter un môme, ils font comment ? La GPA, c’est que pour les riches ? Marco répond, mais pas à nos questions, comme toujours, plutôt à celles du gentil journaliste du Figaro. En d’autres temps, au Figaro, fidèle au catholicisme, on aurait eu des questions plus dures. O tempora, o mores !

« La biologie ça n’a rien à voir avec la filiation... »

 

Après papa 1, au tour de papa 2 de faire la promo de la famille parfaite :

 

 

Une dernière pour la route...

 

Dieudonné a posé un lapin à Marco