Il suffit de regarder l’évolution de la dette depuis 1977 et de la mettre en relation aux taux d’intérêt pour comprendre le tournant qui s’opère cette année-là. Que le texte soit tarabiscoté et apparemment anodin, c’est un grand classique dans les législations frauduleuses.
S’il est vrai que le mal remonte à la création de la Banque de France décrite merveilleusement par Guillemin, il n’est pas moins vrai que cette loi devient nécessaire à la finance apatride dès lors que toute référence à l’or est abandonnée dans la création monétaire, car si l’Etat crée de l’argent à partir de rien, les banques perdent tout pouvoir sur lui !
Ce qu’on voit ensuite, ce ne peut qu’être le fait de la création monétaire aux mains des banques privées : avec 5% de dépots et souvent même moins, et par divers subterfuges financiers, celles-ci créent en fait de l’argent à partir de rien pour se le mettre dans les poches avec suffisamment de discrétion. Les crédits dérivés, les leviers, etc. ne sont que des outils amplificateurs qui ont été ressortis pour pallier à la discordance qu’on a entre la quantité de (fausse) monnaie et la valeur réelle existante des produits et productions sur la Planète.
On gagne ainsi du temps, mais on amplifie la dévaluation de toute monnaie papier. Ceci donnera donc probablement lieu à un retour au standard or (que se sont, n’en doutez pas, accaparées les élites mamoniques) et à une situation qui ressemblera à l’époque où l’on créa la Banque de France.
La conséquence de tout ceci est assez logique : on adapte le système selon les besoins de la vraie caste dirigeante pour qu’elle puisse s’adapter à l’évolution de la situation et rester aux commandes. L’interprétation politique et géopolitique, et même philosophique ou mystique représentent l’étape suivante, mais je ne vaux notre maître (au sens traditionnel) pour en présenter la synthèse.
Pour sortir un peu du sujet, cette femme est l’illustration de ce que décrit Otto Weininger dans "Sexe et Caractère", ce qui me la rend parfaitement insupportable. D’ailleurs une phrase lui aura probablement échappé : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France."
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